Le tableau de Pablo Picasso "La fillette à la corbeille fleurie" (1905) a été adjugé mardi 115 millions de dollars lors de la première grande vente organisée par Christie's à New York pour disperser l'immense collection Rockefeller.Mardi toujours, la vente a établi des records pour des tableaux de Claude Monet et d'Henri Matisse. La "fillette", achetée directement à l'artiste espagnol par la collectionneuse américaine Gertrude Stein et son frère Leo, alors établis à Paris, a atteint le sixième total le plus élevé pour un tableau vendu aux enchères, commissions et frais compris. Pablo Picasso (1881-1973) est le seul peintre dont plusieurs tableaux ont été vendus plus de cent millions de dollars aux enchères. Il en compte désormais quatre.

Enchères: la "fillette" de Picasso adjugée 115 millions de dollars

Des dizaines de milliers de personnes agitant des drapeaux arc-en-ciel et brandissant des slogans à caractère politique ont défilé et dansé dimanche dans les rues de New York, pour la traditionnelle "Gay Pride", dont la première édition remonte à 1970 à Central Park.

A pied, sur des patins à roulettes, à moto ou sur une centaine de chars particulièrement colorés, les participants ont progressé lentement, par une journée chaude et ensoleillée, sur un parcours de 3 kilomètres partant du bar historique de Stonewall Inn, à Greenwich Village. 

Il était modifié cette année en prévision du 50e anniversaire, l'année prochaine, des émeutes de Stonewall, qui donnèrent naissance en 1969 au mouvement pour les droits des homosexuels aux Etats-Unis.

Beaucoup des marcheurs de ce dimanche étaient légèrement vêtus, l'un d'eux arborant seulement par exemple un bikini, slip arc-en-ciel et haut de couleur rose.

Le thème de la parade de cette année était "Différent avec défi", en réaction au traitement de la communauté LGBT par le président Donald Trump, selon les organisateurs.

Pour la deuxième année consécutive, de nombreux marcheurs arboraient des banderoles et pancartes anti-Trump.

"Comme le dit Lady Gaga, +Je suis né comme ça+" (I was born this way), a déclaré à une télévision locale le conseiller municipal démocrate de New York Corey Johnson, 36 ans, ouvertement gay et malade du sida.

L'ambiance était beaucoup plus légère que l'année précédente, où les participants avaient rendu hommage à 49 personnes tuées dans une fusillade dans un night club gay d'Orlando, en Floride.

Des milliers de personnes défilent pour la Pride de New York

C’est une simple pochette en cuir marron, qui porte l’inscription "Sgt Alvin C. York" en lettres d’or. Elle appartient à un héros américain de la Première guerre mondiale devenu directeur d’école pour les enfants défavorisés.

En 1917, Alvin York, un fermier illettré du Tennessee âgé de 30 ans, est mobilisé pour aller se battre en France. "Il avait toujours vécu à la campagne, il ne connaissait rien du monde extérieur, il ne savait pas pourquoi on se battait", raconte à l’AFP son petit-fils, Gerald York, colonel de l’armée à la retraite, à son domicile de Mount Vernon près de Washington.

En octobre 1918, ce caporal est le héros de la bataille de Meuse-Argonne, près de Verdun, l’ultime offensive alliée qui va faire plier l’armée allemande. Avec son groupe, sous le feu ennemi, ce tireur d’élite tue 25 soldats allemands et fait plus d’une centaine de prisonniers. Il est promu sergent et collectionne les récompenses militaires dont la médaille d’honneur, la plus haute distinction américaine, la Croix de guerre et la Légion d’honneur françaises. Au total, une cinquantaine.

Après l’armistice, il reste en France quelques mois avant d’être accueilli en héros à New York.

"À cause de ce qu’il avait vu en France et à New York, parce qu’il avait senti que son manque d’éducation était un frein réel, il a décidé de créer une école et des infrastructures de qualité dans sa communauté. Il voulait que tous les enfants du Tennessee aient une chance", dit Gerald York.

Le sergent York crée une fondation et, toujours accompagné de sa pochette marron, parcourt le pays, profitant de son statut de héros de guerre pour financer son projet d’école, qui voit le jour en 1926 à Jamestown. Pendant dix ans, et malgré la grande dépression, il paye les enseignants, les bus de ramassage scolaire ou la construction de routes autour de l’établissement.

Ce fervent chrétien, membre d’une petite congrégation pacifiste, disait peu avant sa mort en 1964: "je veux qu’on se souvienne de moi pour ma contribution à l’éducation", assure Gerald York.

L’Institut Alvin C. York, devenu un lycée public, existe toujours.

Guerre 14-18: Alvin York, héros de la guerre et directeur d'école

RESTRICTION SUMMARY: PART MANDATORY COURTESY NYPD/PART MUST COURTESY WABC, NO ACCESS NEW YORK MARKET 

  SHOTLIST:

  NYPD HANDOUT - MANDATORY COURTESY NYPD

  New York City - 30 November 2018

  ++MUTE++

  1. British couple John Drennan and Daniella Anthony looking down sewer

  2. Stills of couple around sewer and lost ring

  WABC - MANDATORY COURTESY WABC, NO ACCESS NEW YORK MARKET

  New York City - 2 December 2018

  3. SOUNDBITE (English) Detective Vincent Fulgieri, New York Police Department: 

  "So we got the we got a phone call from precinct that was on scene around midnight that a couple of dropped the ring down the sewer grate. We took a ride over and we opened up the sewer grate to attempt to recover the ring. Due to the lighting conditions, unfortunately, we weren't able to find it fater spending over an hour in the sewer. At the end of the midnight tour and start of the day tour and let the officers who were taking over to let them know and said they were going to come back over and look for it in better conditions."

  4. Wide of police detectives together

  5. SOUNDBITE (English) Detective Joseph  Bucchignano, New York Police Department: 

  "Detective Blackman and I came back up here during the daylight hours and about 9 a.m. or so figured maybe with daylight we'd have some better or better luck finding the ring down there. So we contacted Detective Fulgieri at home. He was kind enough on his own time to let us know exactly where the grate was. We opened it back up went back down there and fortunately after about 10 or 15 minutes we were able to recover it from the from the sewer grate."

  6. Police detectives together

  7. SOUNDBITE (English) Detective Joseph  Bucchignano, New York Police Department: 

  "There was a lot of muck and a lot of just typical stuff that you would find at the bottom of a sewer grate down there but fortunately it was actually kind of sitting up on top of that stuff so it really wasn't hard to find it was just a small object like that amidst all the garbage."

  8. Detectives together

  9. SOUNDBITE (English) Detective Joseph  Bucchignano, New York Police Department: 

  "Well, I mean it feels good. Once again based on the circumstances behind this, the time of year that it is, the fact that they were a newly engaged couple, you know, and being able to return to a sentimental item like that back to somebody. In  a lot of senses with the type of work that we do, it might seem like something that's small but to them it's a big deal. So that's kind of what you know what really matters."

  10. Detectives together

  11. SOUNDBITE (English) Detective Brian Glacken, New York Police Department/Detective Joseph  Bucchignano, New York Police Department: 

  Glacken: "It's New York City. We have a lot of gates."

  Bucchignano: "I'm surprised we didn't find more than this one down there, so.. this is the ring."

  (Zoom on ring as Buchignano holds it up)

  "I'm a little more nimble. It's probably about eight feet but there's a ladder that leads down there."

  12. Zoom on ring as Bucchignano holds it up

  STORYLINE: 

  A trans-Atlantic love affair has sprouted between a once anonymous English couple who lost an engagement ring down a Times Square utility grate, returning home thinking it was gone forever, and the New York City police officers who found it in the muck eight feet (2.4 metres) under.

  "I cannot thank you enough, although I will try," Englishman John Drennan said in a tweet directed at the New York police Sunday. "A few cold beers when we come back to NYC! We are completely overwhelmed and you will definitely get a mention at our wedding!"

  The NYPD had been looking for Drennan and his fiancee, Daniella Anthony, since they retrieved the

La police retrouve la bague de fiançailles (en anglais)

A deux jours de la nouvelle année, des new-yorkais détruisent leurs mauvais souvenirs de 2018

On le sait les talents belges s’exportent bien. Dieter van Beneden était fleuriste à Malines. Après plusieurs voyages à NY il décide d’y poser ses bagages pour réaliser son métier dans une ville où tout est possible. C’est le coup de cœur de Marie-Hélène VANDERBORGHT.

Un fleuriste belge à New York

A la veille de ces importantes commémorations du 20ème anniversaire du 11 septembre, quelle est l'atmosphère à New York ? Quel est le ressenti de la population ? La blessure est-elle encore béante ? On en parle de 7h à 8h avec nos différents invités et envoyés spéciaux. 
-	Notre envoyé spécial Damien ROULETTE est allé à la rencontre de cette population. 
-	Louis MICHEL, ministre des Affaires Etrangères à l’époque. 
-	Alain GERLACHE, porte-parole de Guy Verhofstadt à l’époque.

Première partie

Matin Première spécial 11 septembre 2001

Anne-Lise Blanchard a grandi dans la région de Mons. Elle est scientifique de formation, Bachelier aux Etats-Unis en psychologie & études de genre, Master à KU Leuven, elle est maintenant Doctorante en psychologie à UCLouvain. Ses recherches se concentrent sur le burn-out parental et les systèmes familiaux.

Extrait des Belges du Bout du Monde, une vidéo réalisée par Lisa Beken

Portrait d'Anne-Lise Blanchard

Said, est Parisien, il adore notre Jean-Claude Van Damme nationale et ne tarit pas déloges sur lui . Les serveurs et les pourboires tout un monde de différence entre New-York et Paris.

Said Marshall - Les serveurs

Tarmac Comedy

Si vous voulez assister à un miracle, il ne faut absolument pas aller à Lourdes, mais se rendre plutôt à Wall Street, au cœur de la ville de New York. Je parle de miracle car il n'y a pas beaucoup d'entreprises cotées en bourse qui peuvent bondir d'un seul coup de 200 milliards en une seule séance. C'était pourtant le cas, fin de la semaine dernière, de la société Nvidia, qui a gagné 200 milliards de dollars en une seule journée de cotation boursière. Nvidia a donc gagné, en une seule séance, la valeur boursière totale d'une firme aussi importante que McDonalds. Je parle aussi de miracle car Nvidia affiche une hausse de 130 % depuis le début de cette année. Et comme si ces records n'étaient pas suffisants, cette société frôle aujourd'hui la barre des 1000 milliards de dollars de capitalisation boursière. En clair, elle entre, ou va entrer, dans le club ultra select des sociétés qui pèsent plus de 1000 milliards de dollars. Et il n'y en a pas 25. Il y en a exactement cinq au monde : Apple, Microsoft, Alphabet, la maison mère de Google, et Amazon. Mais pourquoi? Nvidia fabrique des puces électroniques destinées, à l'origine, à améliorer la création d'images dans les jeux vidéo notamment. Et c'est sur la base de ce savoir-faire technologique très puissant que Nvidia a donc pu se diversifier dans l'intelligence artificielle. Ces produits sont très demandés. En clair, comme vous le savez, nous assistons en ce moment à une bataille de géants entre Microsoft, qui a investi 10 milliards de dollars dans ChatGPT, et la Bourse a tellement crû dans cet investissement que Microsoft a pu voir sa valeur augmenter de 500 milliards. Et donc, dans cette bataille entre Microsoft et Google, Google qui est en train de réagir fortement aussi pour ne pas se laisser distancer dans la course à l'intelligence artificielle. Les historiens le savent bien, parce qu'ils l'ont remarqué auparavant dans la course au pétrole, ceux qui ont le plus gagné d'argent sont les vendeurs de pelles, de pioches. Et aujourd'hui, en 2023, l'or noir sur lequel se bataillent Microsoft et Google, c'est l'intelligence artificielle. Ceux qui vendent aujourd'hui des pelles et des pioches s'appellent Nvidia ou AMD ou SML. Et donc, au-delà de ces chiffres, au-delà du fait que le fondateur de Nvidia est devenu en quelques jours l'un des hommes les plus riches du monde, ce qu'il faut surtout retenir de cette modeste chronique, c'est que la Bourse estime que l'intelligence artificielle, c'est comme l'arrivée d'Internet, c'est comme l'arrivée de l'iPhone. C'est un moment crucial. C'est sans doute donc le début d'une nouvelle révolution technologique.
 --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.

Il y a eu un miracle à Wall Street et ce miracle nous concerne tous

Chronique Economique

En compagnie de Patrick van Rosendaal, le guide touristique et auteur de best-sellers que tout le monde s'arrache, Jérôme Colin partira à la rencontre de Diane Von Fürstenberg, la créatrice de mode de la célèbre robe portefeuille à qui l'on doit aussi la High Line et Little Island, espaces publics prisés des New-yorkais. Au détour d'une artère, c'est au tour du jeune acteur, Will Van Moss de raconter son rêve américain. Puis, ce sera la succès story de Maxime Quoilin, réalisateur de clips notamment pour Beyoncé, Miley Cyrus ou encore Pharrell Williams. Pamela Berkovic, la photographe attitrée de Stella McCartney n'est pas en reste avec ses portraits, ses reportages dans les coulisses des défilés de grands couturiers comme des événements marquants de l'actualité. Et pour finir, on retrouvera la comédienne Laurence Bibot au concert de sa fille, la chanteuse Angèle qui s'est produite au Terminal 5.

New York by day

Hep taxi !

Le dimanche 24 septembre sur La Trois, c'est New York by Night. Jérôme Colin rencontrera la danseuse et chorégraphe Angel Kaba qui a collaboré avec Rihanna et Kanye West. On y croise également en plein tournage, la réalisatrice Julie Deffet primée pour son film, " Fire in Water ". Ainsi que le jazzman Yotam Ben-Or qui fait swinger les salles de concerts les plus prestigieuses de New York. Mais aussi François Vaxelaire, fondateur de The Lot Radio dont le bar est l'une des terrasses les plus courues de Brooklyn. Et pour finir, le chanteur Philippe Swan, auteur du tube " Dans ma rue " également artiste peintre connu sous le nom de Le Closier.

New York by night

Hep Taxi ! embarque le guitariste et producteur de génie, Nile Rodgers. Ce faiseur de tubes au parcours musical phénoménal nous fera découvrir son New York. Dans les seventies, son groupe Chic, figure de proue du disco a fait danser la planète avec les tubes "Good Times", "I Want Your Love" ou encore "Le Freak". Nile Rodgers a aussi propulsé les Sisters Sledge en tête des charts avec "We Are Family". Il a collaboré avec la reine de la Motown, Diana Ross produisant son album "Diana" qui regroupe les hits indélébiles "Upside Down" et "My Old Piano". C'est lui qui a relancé la carrière de Sheila avec "Spacer". Pour Madonna, Nile a écrit l'album "Like a Virgin". Et pour David Bowie, l'album "Let's Dance" où l'on retrouve "China Girl" et "Modern Love". INXS lui doit "Original Sin" et Duran Duran, "The Reflex" et "Wild Boy". C'est encore Rodgers qui joue les entêtants riffs de guitare de "Get Lucky" et "Lose Yourself to Dance" des Daft Punk.

Nile Rodgers

Michael Stipe referme cette série d'Hep Taxi ! à New-York. Une rencontre exceptionnelle. L'ex-chanteur de REM n'accordant que de rares interviews depuis les adieux du groupe rock devenu légendaire avec les titres Losing My Religion, Shiny Happy People ou encore Everybody Hurts. Si Michael Stipe a renoué avec la musique en solitaire, il a aussi et surtout poursuivi sa carrière de photographe et de plasticien. Trois livres d'art témoignent de son regard sur le monde et ses contemporains. Dans son objectif, ses amis intimes de Patty Smith aux regrettés Kurt Cobain et River Phoenix. Tout comme de multiples personnalités inspirantes pour leur courage et leur engagement sociétal. Michael Stipe est également vidéaste et producteur de cinéma. Les films " Velvet Goldmine " de Todd Haynes et le délirant " Dans la peau de John Malkovich " réalisé par Spike Jonze sont les fleurons de ses productions cinématographiques.

Michael Stipe

Elle vient d’être classée la ville la plus chère du monde. À Manhattan, des penthouses se vendent à 200 millions de dollars et les agents immobiliers spécialisés dans le luxe sont devenus les nouveaux rois de la cité. New York, terre d’accueil historique, serait-elle en train de devenir un repaire pour millionnaires ? Qui peut encore croquer dans la Grosse Pomme ? De Central Park au Bronx menacé par la gentrification, des théâtres de Broadway aux refuges pour SDF pleins à craquer, Martin Weill a rencontré ceux qui courent après le rêve new-yorkais… et ceux qui n’y croient plus. Bienvenue dans la ville la plus attractive du globe mais aussi l’une des plus inégalitaires.

Martin Weill - New-York, la fin du rêve ?

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new york

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