C'est le moment des tulipes dans nos jardins. Un passionné en a planté plus de 25.000 bulbes dans son jardin, c'est un octogénaire, qui a commencé ses plantations il y a près de 70 ans derrière sa maison à Evregnies (Hainaut).

JT 13h

Collectionneur de Tulipes à Evregnies

On l'appelle "la cave en or" ou la caverne d'Ali Baba. Dans un petit village, à côté de Poitiers, se cache la plus belle collection de vin au monde. Plus de 40 000 bouteilles prestigieuses. On peut y trouver des magnums de Cheval Blanc 1947, mais ce n'est pas tout !

JT 19h30

Portrait d'un très important collectionneur de vin en France

Tous les matins l'équipe du 8/9 avec Benjamin Maréchal, Christophe Grandjean, Sara de Paduwa  Cathy Immelen et Jérôme de Warzée passent en revue la presse. 

Sur la presse en ligne :

- Johnny Hallyday s'est éteint,  toute la presse en ligne en parle. Quelques uns des titres cités :  Sud info : "La terrible nouvelle est tombée, Johnny Hallyday s'est éteint", Le Soir "Johnny Hallyday est décédé à l'âge de 74 ans",  Le Parisien :  Mort de Johnny Hallyday : "Mon homme n'est plus", écrit Laetitia.

- Facebook lance un "Messenger" conçu pour les enfants. Leur compte sera lié au compte des parents.

- André, un collectionneur de Momignies, possède plus de 1000 trèfles à 4 feuilles référencés avec lieu et date! Jérome de Warzée dit, lui qu'il préfèrerait avoir "4 trèfles à 1000 feuilles" ;-)

- Le belge consulte son smartphone 76 fois par jour

Le 8/9 : la revue de presse

La collection d'un chanceux : 1000 trèfles à quatre feuilles !

La question qui dérange : Alors les funérailles de Johnny Hallyday auront lieu demain, sur des sites de seconde main se met en place un business autour des objets en lien avec la star… Des vieilles revues people avec Johnny en Une sont passées de 10 à 75€, un essuie qu’il aurait lancé lors d’un concert est proposé à 400€. Qui sont ces gens qui font de l’argent sur la mort de Johnny Hallyday ? La police alerte même dans la presse ce matin. Attention : il y a énormément d’arnaques et sous le coup de l’émotion, les gens sont prêts à tout. Sans certificat ou photo qui prouvent l’authenticité d’un objet, il faut éviter d’acheter… Puis, d’après les gens du business, un vrai collectionneur attendra plusieurs mois voire plusieurs années avant de vendre. On trouve aujourd’hui des vieilles revues people avec Johnny en Une qui sont passées de 10 à 75€, un essuie qu’il aurait lancé lors d’un concert est proposé à 400€ . Qui sont ces gens qui font de l’argent sur la mort de Johnny Hallyday ?

C'est vous qui le dites !

Suite au décès de Johnny Hallyday, un véritable business se développe

François Van Kerkhoven est tout simplement fou de l’Expo 58. Chez lui, tout est lié à l’EXPO. 13 000 pièces originales sont rassemblé dans cette pièce invraisemblable
Je suis fier de ma collection. C’est une passion, une sorte de virus…
Hé oui, parmi les pièces étonnantes, cette machine à écrire unique au monde avec le sigle de l’expo, l’étoile sur le clavier, là !
C’est la seule machine qui a été équipée de cette touche très spéciale. Cette machine était celle de la secrétaire du directeur général de l’expo 58, le Baron Moons de Ferny. M. Moons de Ferny concluait ses courriers avec le sigle de l’expo et en dessous il signait de sa main.
Un uniforme qui a toute une histoire…
Après l’expo, la dame a continué à porter cette veste mais elle a remplacé les boutons et fait disparaitre la poche pour que ça ne ressemble plus à une veste de l’Expo 58
Mais la dame avait aussi gardé tous les éléments enlevés qui ont été replacé ! Cette veste vaut très cher
Ce cendrier Ricard Expo 58 vaut lui aussi une fortune, il n’en reste que deux au monde, 
Car beaucoup ont été cassés. François est donc harcelé de demande d’achat par les collectionneurs Ricard du monde entier
Je ne réponds à aucune offre, le cendrier restera ici
Même pour une somme énorme, oui.
Ce cendrier vaut certainement 10 000 euros.
Ces petits pots de cirage floqués EXPO étaient offerts aux clients des hôtels partenaires.
C’est le véritable début du merchandising !
Les marques se déchainent alors pour s’associer à l’EXPO 58. C’est LE début oui d’une nouvelle ere commerciale. 
C’est un morceau du revêtement des toilettes de l’atomium !
Encore une pièce unique au monde.
Cette mini fusée russe Spoutnik était vendue dans le pavillon de l’union soviétique
Ils en avaient emmené des milliers à la vente, de mini spoutniks, mais ils sont repartis avec car ça n’a pas marché du tout. C’était cher et puis personne n’avait envie d’acheter des gadgets provenant de l’ennemi russe à l’époque
Ce morceau de l’atomium fait également partie de cette collection atypique. François Van Kerkhoven est un malade de l’expo 58 et il n’a pas l’intention de se soigner

C'est du Belge

Un collectionneur fou de l’Expo 58

A Jamioulx, Stéphane nous ouvre les portes de sa maison. Une maison remplie de collections coups de coeur comme il les appelle.

Je suis belge (une fois) !

Un collectionneur de coups de coeur

Incarnations est une exposition d’été présentée à Bozar jusqu’au 6 octobre. Elle propose un autre regard sur le patrimoine esthétique africain. Elle rompt avec l’approche européocentriste Conçue par l’artiste sud-africain Kendell Geers, elle puise dans le fonds du collectionneur congolais Sindika Dokolo, l’un des plus renommés d’Afrique.

l'interview de Pascal Goffaux

Sindika Dokolo, collectionneur

Christophe Licop est un agriculteur actif, mais aussi et surtout un passionné acharné de la marque Fendt. Ces tracteurs allemands sont partout présents chez lui, tant à la ferme qu’en dehors. Sa collection entièrement dédiée aux productions du constructeur de Marktoberdorf est plutôt hétéroclite puisqu’elle se compose de tout ce qui touche de près ou de loin à la marque, qu’il s’agisse d’ancêtres, d’objets publicitaires etautres goodies, de miniatures ou encore d’une impressionnante compilation de documents techniques et commerciaux.

Les Ambassadeurs

Collectionneur...de tracteurs !

Nous sommes en janvier 1955, à Antibes, entre Cannes et Nice, sur la Côte d'Azur, en France. Un peu plus de deux mois avant de se donner la mort, Nicolas de Staël écrit à l’excentrique collectionneur britannique Douglas Cooper : « On fonctionne comme on peut. Et moi j’ai besoin pour me renouveler, pour me développer, de fonctionner toujours différemment d’une chose à l’autre, sans esthétique a priori … Ce qui importe c’est que ce soit juste ». En à peine cinq années, l’artiste d’origine russe, vient de peindre presque mille œuvres. Un travail acharné répondant, peut-être, autant à un besoin de survie qu’à un appel de l’abîme. Nicolas de Staël fait partie d’une génération d’artistes prêts à sacrifier leur vie pour leur ouvre. « Il poussait la vie jusqu’à l’impossibilité de survivre », résumera, plus tard, sa fille Anne. A vingt-trois ans le peintre avait confié : « Je travaille sans cesse et je crois plutôt que la flamme augmente chaque jour et j’espère bien mourir avant qu’elle ne baisse. » Son physique ténébreux, son allure aristocratique, sa personnalité puissante et charismatique, sa trajectoire tragique ont nourri sa légende. Revenons à l’homme et à l’artiste : Nicolas de Staël… Avec nous : Stéphane Lambert, écrivain « Nicolas de Staël – La peinture comme le feu » aux éditions Gallimard.

collectionneur

Collectionneur de Tulipes à Evregnies
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Sindika Dokolo, collectionneur
l'interview de Pascal Goffaux

Collectionneur...de tracteurs !
Les Ambassadeurs

Un Jour dans l'Histoire
Nicolas de Staël : abîme et création

Collectionneur de tourne-disques : par P. Wuidart (30/11/23)

collectionneur

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