Dirk Braeckman est l’artiste choisi par la communauté flamande qui représentera la Belgique à la 57e Biennale de Venise. Il occupera le Pavillon belge dans les Giardini du 13 mai au 26 novembre 2017. 
L’artiste Dirk Braeckman et la curatrice Eva Wittocx lèvent un coin du voile sur l’exposition à découvrir au Pavillon belge.

l'interview de Pascal Goffaux

Dirk Braeckman, à la Biennale de Venise

Les artistes Harald Thys et Jos De Gruyter occuperont le Pavillon belge à la Biennale de Venise du 11 mai au 24 novembre. Anne-Claire Schmitz, la directrice de La Loge, est la commissaire qui accompagne le travail des artistes. Le projet porte le nom de "Mondo Cane".

Jos De Gruyter, Harald Thys et Anne-Claire Schmitz à propos du Pavillon belge à Venise

Juan d'Oultremont - L’art est un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un le fasse. C’est Juan qui s’y colle aujourd’hui…

C'est Presque Sérieux: Juan d'Oultremont - L’art est un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un le fasse. C’est Juan qui s’y colle aujourd’hui…

Arne Quinze est l’un de nos artistes à la renommée internationale. Vous connaissez sûrement certaines de ses œuvres qui habillent nos villes, comme the Passenger à Mons ou encore Rock Stangers à Ostende. Prochainement, il exposera à la prestigieuse Biennale de Venise. Aujourd’hui, il ouvre les portes de son jardin secret à Marie-Hélène Vanderborght.

Extrait C'est du Belge du 16.02.24

Le jardin secret d’Arne Quinze

Avec ses cheveux noirs, ses tatouages, son décolleté, Julia dénote.
Julia, une des géants de charleroi
Icône du néofolklore carolo, elle quitte momentanément le Pays noir pour la prestigieuse Biennale de Venise.
Elle sera exposée aux côté de 6 autres géants belges, français et espagnols dans le pavillon belge de la Biennale. 
Un sacré événement pour Charleroi,

Julia, l'icône du néo-folklore Carolo en route pour la Biennale de Venise

Coup d’œil sur l’actualité des arts plastiques. Expositions, Musées, Galeries, Ateliers par le prisme de l’interview et du reportage.

Biennale de Venise, Tom Herck, Once we ruled the world

La Matinale - Arts visuels

Tom Herck est un artiste limbourgeois né à Saint-Trond en 1984 qui, en Belgique, réside à Ordingen. Artiste indépendant, il a toujours financé ses projets. Créateur autodidacte, il a été formé à l’école du graffiti. Il investit aujourd’hui encore l’espace public avec des installations qui expriment son caractère rebelle et construisent son identité artistique. 

Les œuvres de Tom Herck s’apparentent à des vanités ou à des memento mori. Elles rappellent la finitude de la vie et, plus que les dérives de la société contemporaine, elles racontent la fin d’une histoire ou de l’histoire. 

"Once we ruled the world", la sculpture d’une hauteur de dix mètres, représente un squelette humain surdimensionné à l’instar de l’ego de l’homme. Il tient en main une canne à pêche. Au bout de la ligne est accroché un squelette de dinosaure, petit et malingre. L’homme dominait la nature. Après la disparition des dinosaures, il y a 66 millions d’années, Homo sapiens allait s’imposer tardivement comme le super prédateur ultime, croyait-il orgueilleusement, mais sa vanité l’a mené à sa perte. 

L’œuvre qui évoque l’extinction des espèces invite à réfléchir à l’aventure humaine. Elle nous projette dans l’histoire, mais elle nous situe également dans le temps présent. La pêche stigmatise la prédation et l’impact environnemental des activités humaines. Le présent qui est marqué par la révolution numérique initie la mutation de l’homme et incite à penser à la vertigineuse trajectoire du progrès humain. A proximité de la sculpture, un QR Code permet de vivre une expérience visuelle augmentée qui provoque la réflexion.

L’image simple, mais forte illustre la puissance expressive, « brute de décoffrage », de Tom Herck qui a d’ailleurs scanné son propre crâne pour réaliser la partie supérieure du squelette humain. 

"Once we ruled the world" sera présenté à la Biennale de Venise à partir du 20 avril, dans une ville phare qui fut une grande puissance et pourrait aussi sombrer dans les eaux et disparaître. La sculpture de Tom Herck installée dans le Jardin du Palazzo Balbi Valier sera visible du Grand Canal. La présence d’un pêcheur à proximité de l’eau sera tout à fait plausible... 
L’œuvre peut être vue jusqu’au 31 mars dans la cour du château d’Ordingen à Saint-Trond, avant son départ pour la Sérénissime.

Tom Herk au micro de Pascal Goffaux

Une installation à voir à Saint-Trond avant Venise.

Biennale de Venise, Once we ruled the world, Tom Herck (itw anglais)

Tom Herck est un artiste limbourgeois né à Saint-Trond en 1984 qui, en Belgique, réside à Ordingen. Artiste indépendant, il a toujours financé ses projets. Créateur autodidacte, il a été formé à l’école du graffiti. Il investit aujourd’hui encore l’espace public avec des installations qui expriment son caractère rebelle et construisent son identité artistique. 

Les œuvres de Tom Herck s’apparentent à des vanités ou à des memento mori. Elles rappellent la finitude de la vie et, plus que les dérives de la société contemporaine, elles racontent la fin d’une histoire ou de l’histoire. 

'Once we ruled the world', la sculpture d’une hauteur de dix mètres, représente un squelette humain surdimensionné à l’instar de l’ego de l’homme. Il tient en main une canne à pêche. Au bout de la ligne est accroché un squelette de dinosaure, petit et malingre. L’homme dominait la nature. Après la disparition des dinosaures, il y a 66 millions d’années, Homo sapiens allait s’imposer tardivement comme le super prédateur ultime, croyait-il orgueilleusement, mais sa vanité l’a mené à sa perte. 

L’œuvre qui évoque l’extinction des espèces invite à réfléchir à l’aventure humaine. Elle nous projette dans l’histoire, mais elle nous situe également dans le temps présent. La pêche stigmatise la prédation et l’impact environnemental des activités humaines. Le présent qui est marqué par la révolution numérique initie la mutation de l’homme et incite à penser à la vertigineuse trajectoire du progrès humain. A proximité de la sculpture, un QR Code permet de vivre une expérience visuelle augmentée qui provoque la réflexion.

L’image simple, mais forte illustre la puissance expressive, « brute de décoffrage », de Tom Herck qui a d’ailleurs scanné son propre crâne pour réaliser la partie supérieure du squelette humain. 

'Once we ruled the world' sera présenté à la Biennale de Venise à partir du 20 avril, dans une ville phare qui fut une grande puissance et pourrait aussi sombrer dans les eaux et disparaître. La sculpture de Tom Herck installée dans le Jardin du Palazzo Balbi Valier sera visible du Grand Canal. La présence d’un pêcheur à proximité de l’eau sera tout à fait plausible... 
L’œuvre peut être vue jusqu’au 31 mars dans la cour du château d’Ordingen à Saint-Trond, avant son départ pour la Sérénissime.

Tom Herck au micro de Pascal Goffaux. Extrait traduit.

Biennale de Venise, Once we ruled the world, Tom Herck (itw traduite)

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biennale de venise

Dirk Braeckman, à la Biennale de Venise
l'interview de Pascal Goffaux

Jos De Gruyter, Harald Thys et Anne-Claire Schmitz à propos du Pavillon belge à Venise
l'interview de Pascal Goffaux

C'est Presque Sérieux: Juan d'Oultremont - L’art est un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un le fasse. C’est Juan qui s’y colle aujourd’hui…
Juan d'Oultremont - L’art est un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un le fasse. C’est Juan qui s’y colle aujourd’hui…

Le jardin secret d’Arne Quinze
Extrait C'est du Belge du 16.02.24

Julia, l'icône du néo-folklore Carolo en route pour la Biennale de Venise

La Matinale - Arts visuels
Biennale de Venise, Tom Herck, Once we ruled the world

Biennale de Venise, Once we ruled the world, Tom Herck (itw anglais)
Une installation à voir à Saint-Trond avant Venise.

Biennale de Venise, Once we ruled the world, Tom Herck (itw traduite)
Une installation à voir à Saint-Trond avant Venise.

biennale de venise

Dirk Braeckman, à la Biennale de Venisel'interview de Pascal Goffaux

Jos De Gruyter, Harald Thys et Anne-Claire Schmitz à propos du Pavillon belge à Venisel'interview de Pascal Goffaux

C'est Presque Sérieux: Juan d'Oultremont - L’art est un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un le fasse. C’est Juan qui s’y colle aujourd’hui…Juan d'Oultremont - L’art est un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un le fasse. C’est Juan qui s’y colle aujourd’hui…

Le jardin secret d’Arne QuinzeExtrait C'est du Belge du 16.02.24

Julia, l'icône du néo-folklore Carolo en route pour la Biennale de Venise

La Matinale - Arts visuelsBiennale de Venise, Tom Herck, Once we ruled the world

Biennale de Venise, Once we ruled the world, Tom Herck (itw anglais)Une installation à voir à Saint-Trond avant Venise.

Biennale de Venise, Once we ruled the world, Tom Herck (itw traduite)Une installation à voir à Saint-Trond avant Venise.

Dirk Braeckman, à la Biennale de Venise
l'interview de Pascal Goffaux

Jos De Gruyter, Harald Thys et Anne-Claire Schmitz à propos du Pavillon belge à Venise
l'interview de Pascal Goffaux

C'est Presque Sérieux: Juan d'Oultremont - L’art est un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un le fasse. C’est Juan qui s’y colle aujourd’hui…
Juan d'Oultremont - L’art est un sale boulot, mais il faut bien que quelqu’un le fasse. C’est Juan qui s’y colle aujourd’hui…

Le jardin secret d’Arne Quinze
Extrait C'est du Belge du 16.02.24

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Biennale de Venise, Tom Herck, Once we ruled the world

Biennale de Venise, Once we ruled the world, Tom Herck (itw anglais)
Une installation à voir à Saint-Trond avant Venise.

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Une installation à voir à Saint-Trond avant Venise.