Face à l'urgence climatique : seriez-vous prêt à changer radicalement votre mode de vie en 21 jours ? Prendre exclusivement les transports en commun, abandonner son smartphone, se passer de viande, tenter le zéro déchet ? Plusieurs jeunes ont relevé le défi dont le DJ Beba Storm ou Adelaïde Charlier. La coordinatrice francophone du mouvement Youth for Climate a passé 21 jours dans une Tiny house. Un " défi énergie " pour prouver que vivre dans 17 mètres carrés est une clé pour consommer moins. Mais combien pèsent ces gestes individuels dans l'effort global à fournir ? Ces jeunes auront l'occasion de débattre avec les décideurs pour une action plus large. Lors d'une soirée au Rockerill à Charleroi présentée par Laurent Mathieu et Gwenaëlle Dekegeleer, ils interpelleront le Premier Ministre ainsi que les grandes entreprises (Google, Carrefour) sur le virage à prendre. Il est temps d'agir : il n'y a pas de planète B.

Cap de changer votre mode de vie en 21 jours ?

Y a pas de planète B - Le Prime

Au programme dans Alors On change! Cette fois-ci, c'est nous qui nous sommes invités. Alors On Change a été à la COP26 à Glasgow. Une émission exceptionnelle pour faire vivre de l'intérieur cet événement majeur. Et on commence dans le train avec une interview de Tiem Van der Deure, co-organisateur de Rail to the cop. Une campagne qui permet à 500 personnes du monde entier de se rendre à la COP et qui rappelle notamment la nécessité de voyager de manière plus durable. Nous partons à la rencontre de Vinz, l'animateur et créateur de contenus aux 300.000 abonnés sur Facebook. Aujourd'hui, il s'apprête à lancer une nouvelle plateforme entièrement dédiée au climat. Parce qu'il ne veut plus cacher son engagement. Nous suivons des jeunes et notamment Adélaïde Charlier, membre du mouvement Youth For Climate. L'occasion de voir les coulisses de leurs réunions avant de filmer leur rencontre avec Alexander De Croo. Il y a aussi un portrait d'Appoline Dupuis, une activiste tournaisienne qui a organisé la dernière grève étudiante à Mons. François Boueyrie s'intéresse à l'éco-anxiété. Un mal qui peut ronger les gens quand ils ont pris conscience de la gravité de la crise écologique. Mais l'éco-anxiété n'a pas que des mauvais côtés. Elle peut même être bénéfique. Enfin, l'économiste Sybille Mertens nous donne son point de vue sur l'économie sociale, alternative au capitalisme pour lutter contre le réchauffement climatique. Chaque mois, Alors On Change ! : le magazine des acteurs du changement.

COP26

Alors on change

Au programme, dans Alors On Change¿! Ce mois-ci, Alors On Change nous livre un état des lieux de la pollution numérique. Une pollution encore méconnue, qui représente pourtant déjà plus de 4% des émissions de CO2. Nous en parlons avec Guillaume Pitron, journaliste ayant enquêté plus de deux ans pour sortir cet ouvrage¿: "¿L'enfer numérique¿: voyage au bout d'un like ". Focus sur deux entreprises belges d'économie circulaire¿: Out Of Use, qui récupère et recycle à peu près tout ce qui une batterie et une prise, ainsi qu'aSmartWorld, qui se concentre quant à elle uniquement sur le reconditionnement de smartphones. Rencontre avec Guillaume Vilain, fondateur de l'application Kiligi¿: un réseau social non pas centré sur les likes et l'ego trip, mais plutôt sur la bienveillance et l'entraide. L'exploratrice Caroline Pultz nous parles des low-tech¿: des technologies proches de la nature prenant les high-tech à contrepied. De son côté, François analyse notre addiction au smartphone. Car oui, nous y sommes accros et c'est exactement l'objectif des plateformes sur lesquels nous surfons au quotidien. Enfin, zoom sur le World Digital Cleanup Day en compagnie d'Anneli Ohvril, sa fondatrice. Elle nous explique l'importance de nettoyer nos données numériques et nous invite à rejoindre le mouvement. Chaque mois, Alors On Change¿!¿: le magazine des acteurs du changement.

Guillaume Pitron

À la rencontre des justiciers de l'océan Des milliers de volontaires posent leur candidature chaque année pour rejoindre la grande aventure " Sea Shepherd ". Mais seule une petite poignée de candidats ont l'opportunité de participer aux opérations de protection de l'océan sur les navires de cette ONG qui consacre l'immense majorité de ses moyens à l'action directe. Pour " Un Monde à part ", François Mazure a passé plusieurs jours en Golfe de Gascogne sur le navire " Sam Simon " pour une opération de protection des dauphins. Une campagne de dénonciation des méthodes de pêche intensive et non-sélective qui n'a pas du tout plu aux pêcheurs qu'ils ont croisés sur place.

À la rencontre des justiciers de l'océan

Un monde à part

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