Le 24 novembre 1964, les paras-commandos belges sautent sur Stanleyville au Congo. Objectif : libérer les centaines de Belges et d'Européens retenus en otages depuis six mois par les Simbas, les paysans rebelles emmenés par Pierre Mulele.  25 ans après, le Journal télévisé revient sur cette page d’histoire …

1964 : les paras belges sautent sur Stanleyville

Bulletin d'information

Rencontre avec le colonel Laurent, chef des paras commandos à son retour à Bruxelles après sa mission à Stanleyville.  Il évoque d'abord les opérations précédentes auxquelles il a participé et évoque ensuite la mission de sauvetage à Stanleyville.

Colonel Laurent, chef des paras belges à Stanleyville

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Récit de l'opération de sauvetage des Européens - parmi lesquels de nombreux Belges - retenus en otages par les mulelistes. Le journaliste belge Frédéric François, qui accompagnait une colonne de l'armée nationale congolaise (ANC) commente en direct la progression de l'armée vers Stanleyville et la jonction avec les parachutistes belges.

Opération de libération des otages à Stanleyville

Interview d'un Belge (assistant technique de l'assistance belge) arrivé à Stanleyville quelques semaines seulement avant les rebelles. Il décrit l'atmosphère assez lourde qui régnait dans la ville à ce moment là, l'arrivée des rebelles mulélistes, l'attitude de l'ANC et les jours passés aux mains des rebelles. Rencontre avec un autre Belge, agent commercial à Stanleyville et son épouse. Le mari évoque son emprisonnement dans un camps, l'aide dont les Belges ont bénéficié de la part des communautés grecques et indoues, l'arrivée des paras belges, la libération et les massacres. L'épouse raconte la manière dont elle a vécu les évènements alors qu'elle était seule chez elle avec son bébé.

Stanleyville : témoignages des otages belges

Situation à Stanleyville, 4 mois après la parachutage des mercenaires belges pour libérer les centaines de Belges et d'Européens retenus en otages pendant plusieurs par les Simbas, les paysans rebelles emmenés par Pierre Mulele. Etat d'esprit des expatriés européens et interview du Colonel Mulamba, commissaire de la République.

Stanleyville, 4 mois après

Dans la brousse entre le Congo et le Burundi, une route sert de passage secret aux mulélistes pour se rendre au front. C'est là, dans la plaine de la Ruzizi que vit Michel Marinos, un grec de 48ans. Depuis le début de la rébellion, il a choisi le camp des Simbas. Plus Lumumbiste que Lumumba selon ses dires, grand ami de Soumialot, il donne des conseils techniques et met au point des plans d'attaque pour les Mulélistes. Un Simba de 20 ans, déclare que les armes dont ils disposent sont des armes récupérées à l'ANC, mais que d'autres sont d'origine étrangère non identifiable. Il raconte les embuscades, les exécutions auxquelles il a participé et les combats contre les mercenaires lors de la prise d'otages de Stanleyville.

Congo : la parole aux Simbas

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Opération de sauvetage à Stanleyville

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1964 : les paras belges sautent sur Stanleyville

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Colonel Laurent, chef des paras belges à Stanleyville

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Opération de libération des otages à Stanleyville

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Stanleyville : témoignages des otages belges

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Stanleyville, 4 mois après

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Opération de sauvetage à Stanleyville

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