Qui est pénalement responsable de l’explosion à la cokerie d’Ougrée, le 22 octobre 2002 ? Pour le tribunal correctionnel de Liège, pas Arcelor. Ce qui suscite incompréhension et colère parmi les treize travailleurs blessés et les familles des trois ouvriers qui ont trouvé la mort dans l’accident.

Cockerill : le verdict

Actuel

Le 22 octobre 2002, une explosion dévaste la cokerie à Ougrée. Trois personnes sont tuées, 27 autres sont blessées dont 14 grièvement. Catastrophe annoncée ou erreur humaine ? Trois mois après les faits, Faits Divers revient sur cette matinée tragique.

Cockerill: 08H52"

Faits divers

Reportage sur les causes du déclin de l'industrie textile en Belgique et des difficultés rencontrées par diverses entreprises du sud du pays.

L'industrie textile en Belgique

A suivre

La première partie de ce film retrace l’histoire de la sidérurgie liégeoise développée par John Cokerill et du mouvement ouvrier. La seconde partie, permet de découvrir, à travers les témoignages de plusieurs ouvriers sidérurgistes dont Henri Brenu, Henri Cornelis et Julien Marchand, leur travail, leur vie, leur engagement syndical et de s’interroger sur leur avenir.

Les métallurgistes liégeois

Ce pain quotidien

Emission consacrée aux sites industriels et à leur avenir après fermeture des usines, notamment à Athus, Gosselies et à Liège.

Quand tombent les usines

Autant savoir

Elles ont entre 15 et 20 ans. Elles travaillent à la «Gaufrerie Champagne» à Moustier-sur-Sambre. Leurs conditions de travail sont exécrables : huit heures par jour pratiquement sans pause dans un atelier vétuste et enfumé, avec interdiction de se syndiquer sous peine de licenciement. Mais quand le tribunal de commerce de Namur, déclare la faillite de leur entreprise, parce que le patron a empoché les cotisations de sécurité sociale, et creusé un trou de trente millions de francs, elles décident d’occuper le bâtiment et de s’autogérer. Une re-naissance pour ces filles qui jusque-là avaient tout supporté sans broncher.

L'atelier à 15 ans

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L'usine Motte, au cœur de l'industrie textile mouscronnoise, a vécu une longue descente aux enfers, avec deux faillites spectaculaires et diverses tentatives de relance. En 1982, le magazine "A Suivre" avait consacré un reportage aux déboires des travailleurs de cette entreprise. A quelques jours de la fermeture du dernier atelier de filature en 2005, Marc Preyat a retrouvé quatre de ces ouvriers.

La nostalgie camarades !

FAITS DIVERS du 10/02/1999

FAITS DIVERS

26 août 1974:  Les 2500 femmes-machines (ouvrières non qualifiées) de la FN (Fabrique nationale d'armes de guerre et de chasse de Herstal) partent en grève spontanée. Elles revendiquent une augmentation de 10 francs de l'heure, le ralentissement des cadences et plus généralement, l'amélioration des conditions de travail. Leur grève va durer trois semaines. Trois semaines durant lesquelles, ces femmes vont batailler contre la direction mais aussi contre leurs propres représentants syndicaux.     
Mais ce conflit social est aussi l'occasion de s'interroger sur les conditions de la femme au travail.

F.N ou une femme, des machines

La mise en liquidation de l’usine Cuivre et Zinc, en 1987, à la suite d’une occupation ouvrière et d’un lock-out patronal, a sonné le glas du travail du métal rouge en région liégeoise. Tout avait commencé par une grève pour le respect des horaires...

Concerto pour Cuivre et Zinc

C'est à voir

Portrait de Roger Marit, patron d'une entreprise métallurgique du Brabant Wallon. Un patron qui considère que les délegués syndicaux  sont des parasites qui vivent aux dépens des travailleurs et des sociétés. Et qui n'a d'ailleurs pas hésité a déposé plainte contre 6 d'entre eux pour séquestration. Une séquestration contestée par les ouvriers.

Du côté de la direction

Treize femmes ont été licenciées à l'usine Bekaert-Cockerill de Fontaine-L'évêque, parce qu'elles ont refusé de travailler à temps partiel afin de céder leur place à des hommes qui, pour certains, étaient au chômage économique. Au cours de leur lutte, les ouvrières ne se sont pas seulement heurtées à la direction de l'entreprise mais elles sont aussi entrées en conflit avec leurs collègues masculins et leurs délégués syndicaux qui ne les ont pas soutenues. Quand l'emploi manque, tout le monde s'accorde, semble-t-il, à vouloir renvoyer les femmes à la maison. Mais les ouvrières de chez Bekaert n'ont pas baissé les bras...

Les femmes de Bekaert-Cockerill

https://bff-service.rtbf.be/auvio/v1.23/mosaic/widget?id=19404&context%5BprogramId%5D=17307

Industries et économie en Wallonie

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Faits divers
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L'atelier à 15 ans

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FAITS DIVERS
FAITS DIVERS du 10/02/1999

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F.N ou une femme, des machines

C'est à voir
Concerto pour Cuivre et Zinc

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Du côté de la direction

A suivre
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