C'est une première en Belgique. La ville de Liège va ouvrir une salle de consommation de drogue à moindres risques, mercredi prochain. Les lieux ont été officiellement présentés à la presse ce vendredi, vous les découvrez. Ils seront ouverts 365 jours par an. L'objectif est d'apporter des réponses aux problèmes de toxicomanie et aux nuisances qui en découlent dans la Cité Ardente.

JT 19h30

Ouverture d'une salle de shoot à Liège

Le 29/03/1985, Marco Lamensch et Jean Libon dressent le portrait de Sophie et Eric, deux jeunes, davantage unis par leur dépendance à la drogue que par l’amour. Ils refont surface de temps en temps. La prise de conscience est dure : environnement et relations toxiques, aide insuffisante du CPAS et difficultés à trouver du travail. En 1988, suite à leur décès, "A Suivre" leur rend hommage.

Faut pas plonger

A suivre

En 1985, "C'est à voir" consacre une émission au sida, ce nouveau virus qui se propage. Reportage dans ce qu'on appelle les milieux à risque, auprès des personnes les plus exposées : les homosexuels, les prostitués et les drogués.

Le Sida, cancer du sexe

C'est à voir

Un reportage consacré à la drogue en France et la consommation de drogue lors de rave-party, tourné avec la collaboration de Médecins du Monde.

Mission rave

L'Hebdo

Le Prix Première 2023 est attribué à Anthony Passeron pour son premier roman Les Enfants endormis aux éditions Globe. 

Son livre a été choisi par un jury composé de dix auditeur et auditrices de La Première parmi une sélection de dix premiers romans proposés par un comité de professionnels du livre.

Le Prix Première, qui en est à sa 17ème édition, récompense un premier roman francophone. Ce prix s’est imposé en 17 ans comme une des récompenses majeures en littérature belge francophone. Il est doté de 5.000€ et a été remis par Jean-Paul Philippot, administrateur général de la RTBF, ce jeudi 30 mars 2023 dans le cadre de la Foire du Livre de Bruxelles à Tour et Taxis.

Le roman en quelques mots :

"Près de Nice, à la fin des années 80, une famille traverse le drame du sida dans la solitude. Un premier roman qui mêle l’histoire particulière faite d’ignorance, de larmes, de colère et de honte, au long travail des chercheurs pour comprendre le virus. Des recherches marquées par une rude compétition entre la France et les États-Unis. En suivant ce fil qui va de l’intime à l’universel, Anthony Passeron rééclaire l’histoire de façon magistrale".

Né en 1983, Anthony Passeron a grandi à Nice. Professeur de lettres pendant douze années, il est aujourd’hui concepteur pédagogique. Il est à l’origine du groupe pop-folk The dead Fox on the Road et l’auteur d’un recueil de poésie. Les Enfants endormis est son premier roman.

Anthony PASSERON, lauréat du Prix Première 2023 pour "Les Enfants endormis" (Globe)

Prix Première 2023

“ Amy, tu dois chanter. ” Mais Amy, déjà, n’est plus là. Elle est partie. Dans moins d’un mois, elle sera morte, pour toujours, emportée par cet ouragan de sentiments qu’elle n’a pas su gérer. Elle, ce qu’elle voulait, c’était devenir serveuse à roller. Un petit appartement avec un chat et un mari aimant avec lequel fonder une famille. Rien d’autre. Pas la gloire, pas la scène, pas le chant pour vivre, mais le chant, pour passion. Et au lieu de ça, la fame, les Grammy’s, les fans par millions et surtout, un mec qui la cloisonne sous une emprise malsaine, les drogues en tous genre, l’alcool … Et la douleur. Toujours. Comme le leitmotiv d’une autobiographie dont la fin était courue d’avance. 27 ans, l’âge de tous les possibles. L’âge auquel il est interdit de mourir. Le chiffre mythique, aussi. Celui des génies perdus, de Janis Joplin à Hendrix. Aujourd’hui, l’heure H est loin d’être joyeuse. Elle raconte le destin d’une musicienne de génie qui n’avait pas envie d’être célèbre et qui paya sa fragilité le prix fort. Plongez dans ce syphon d’émotions et tentons ensemble de comprendre pourquoi de Dr Jekyll, Amy est devenue Mr Hyde.

Amy Winehouse : et si l’amour pouvait tuer ?

L'Heure H

Elles s’appellent Barbara ou Fabienne, elles ont vécu dans la rue pendant plusieurs années. À Evere, au nord de Bruxelles, une association leur donne une nouvelle chance : Sorocité accompagne 22 femmes dans leur retour à un logement pérenne. Les occupantes de Sorocité ont toutes un parcours difficile : sans-abrisme mais aussi handicap physique et/ou mental et/ou problèmes d’addiction. Sorocité leur donne accès à des logements à prix réduits (120€ par mois) tout en les accompagnant au quotidien avec les associations de terrain. Pour ces femmes qui ont connu la rue et sa violence, revenir à un mode de vie classique est une chance mais aussi un challenge.

toxicomanie

Ouverture d'une salle de shoot à Liège
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