C'est un documentaire exclusif que la rédaction des sports et Auvio vous proposent de découvrir en digital.  De l’apparition du football en 1895 à l'épopée des Diables Rouges lors de la Coupe du Monde 1986 au Mexique, c'est un siècle d'archives footballistique que vous allez découvrir. 90 minutes de souvenirs d'une extrême rareté à regarder sans modération.

Football

100 ans de football en Belgique (1895-1995)

Les chiffres, vous connaissez, mais connaissez-vous les chiffres romains ? Gwen vous apprend à les lire…

Y'a pas école, on révise !

Savoir lire les chiffres romains

Vous allez découvrir la lettre préférée de Gwen, la lettre "S".et vous allez voir qu'elle a plein de rôles différents dans un texte.  On va vous expliquer, également, le concept de siècle, une période de 100 ans. Et enfin, on s'amuser à faire un carré magique pour faire 10.

Le rôle du "S", le siècle et le carré magique

Avec les 5e et 6e, on va parler d'un concept qui commence par un S aussi, le siècle...

Le concept de siècle

Nous sommes le lundi 15 février 2003, à Anvers. Et plus précisément, dans l’Hoveniersstraat, au pied d’un bâtiment emblématique : l’Antwerp World Diamond Centre… En plein cœur de ce qu’on appelle le “kilomètre carré du diamant”. Des policiers en nombre entrent et sortent de l’immeuble… Un spectacle bien étrange pour un lundi matin, de si bonne heure. Il est en effet à peine 7h15 et la rue, qui commencerait normalement seulement à se remplir, a été fermée à la circulation. La tension est palpable… C’est que dans la nuit, il s’est passé un événement pour le moins… inattendu, pour ne pas dire : inimaginable. 7h15 : c’est l’heure h de mon histoire.

Le casse du siècle : Anvers dépouillée de ses diamants

L'Heure H

Nous sommes en octobre 1752, à Versailles. Madame de Pompadour, maîtresse en titre du roi Louis XV, adresse un courrier à son père, François Poisson. Elle lui dit : « Je suis excédée de visites et d’écriture ; j’ai cependant bien encore une soixantaine de lettres à écrire. » Et la marquise n’est pas la seule dans ce cas. L’écriture de lettres occupe une place essentielle dans la vie d’une partie des femmes du XVIIIe siècle : aristocrates, bourgeoises, favorites, chefs d’Etat. Elle rythme, bien souvent, la journée des plus aisées et parfois aussi celle des plus modestes. Les épistolières du XVIIIe ont compris le pouvoir de l’écrit. Mais que font-elles de ce pouvoir ? Revendiquent-elles leur statut de femmes de lettres ? Manifestent-elles l’ambition de créer une œuvre littéraire ? Écrivent-elles pour être lues en dehors de leurs seuls correspondants ? Ecoutons ce qu’elles ont à nous dire… avec Karin Hann. « Reine des Lumières » paru aux éditions du Rocher.

Le XVIIIe : Le siècle des épistolières

Un Jour dans l'Histoire

Nous sommes en 1755. Dans son ouvrage intitulé « Lettres Iroquoises, Ou Correspondance Politique, Historique Et Critique Entre Un Iroquois Voyageant En Europe, Et Ses Correspondans Dans L'amérique Septentrionale », Henri Maubert de Gouvest, né à Rouen, aventurier, espion, officier d’artillerie, précepteur, met en scène un chevalier qui, chemin faisant, se moque des noms extravagants que l’on peut donner, au XVIIIe siècle, à la cour ou à la ville, aux couleurs nouvelles. A propos des provinciaux qui s’étonnent autant qu’ils s’extasient, il écrit : « Les femmes s’entretinrent de modes, et demandèrent au Chevalier quelles étaient les couleurs les plus en vogue ; il leur répondit qu’on portait maintenant le « soupir étouffé », la « cuisse de Nymphe émue », « les désirs satisfaits », « la passion dévorante », le « lendemain de noces ». On raisonna beaucoup sur toutes ces couleurs, et l’on ne concevait pas comment il était possible de trouver celle d’un « soupir étouffé » ; d’un « désir satisfait », d’une « passion dévorante », etc. Le Chevalier leur en fit l’explication de la manière la plus plaisante ; mais, leur ajouta-t-il, il en va paraître une nouvelle, qui sera appelée « l’indépendance de l’Amérique ». Elle n’est encore connue qu’à la Cour ; il n’y a que le roi, la famille royale et nos ministres qui la portent ; c’est un habit coupé ; la veste et la culotte sont couleur du Congrès. […] Mademoiselle Alexandre, le nec plus ultra de nos marchandes de modes de Paris, est occupée dans ce moment à imaginer comment nos Dames porteront les rubans de cette couleur. Lorsque je suis parti on tenait chez elle des comités pour décider cette grande affaire ; et l’on m’écrira à Lyon ce qui aura été résolu, afin que j’ordonne les étoffes qui doivent être faites pour l’hiver prochain ». Alors de « Saumon intimidé » à « Tabac d’Espagne », en passant par, Violet d’Evêque, Ventre de Carmélite, Souci de hanneton, Carnation de vieillard, Poil de bœuf ou encore Gueux nouvellement arrivé, le siècle des Lumières est bien celui des couleurs qui éclatent. Parons-nous de nos plus beaux atours et allons y faire un tour … Avec nous : Marcel-Étienne Dupret, conférencier. Sujets traités : Lumière, couleur, siècle, Henri Maubert de Gouvest, epsion, chevalière, passion, saumon,Violet d’Evêque

Les couleurs du siècle des lumières   

Nous sommes en 1960, à Charleroi. Robert Dussart, responsable local du Parti communiste belge, le PCB, est élu au Comité central. Cette année-là, l’ambiance est à l’austérité, avec le programme prévu par la Loi unique décidée par le gouvernement. Les Belges sont en colère. La veille des discussions au Parlement, la direction de la FGTB hésite toujours à déclarer la grève générale. Robert Dussart, contre l’avis de sa hiérarchie, va mobiliser les ACEC de Charleroi et déclencher, in fine, ce qu’on appellera la « grève du siècle ». Moins d’une vingtaine d’années plus tard, en 1979, il revendique la semaine de 36 heures. Les travailleurs se mettent en grève et décrochent la victoire. Dussart déclarera à la presse : « Le travail syndical, ce n’est pas de faire de la propagande abstraite, c’est d’essayer d’entraîner, dans l’adhésion conjuguée travailleurs-délégués, vers des objectifs, même s’ils sont énormes. Mon message, c’est qu’il faut parler aux travailleurs, les convaincre, cibler et clarifier les objectifs, savoir où frapper fort, faire comprendre jusqu’où il faut aller. Quand les gens l’ont compris, ils sont prêts pour faire des grèves, comme celles de 32, 60-61 ou 79. » Robert Dussart est-il représentatif du syndicaliste communiste des Trente Glorieuses ? Peut-on en tirer un portrait type, de l’Allemagne à la France, en passant par l’Italie, le Portugal, l’Espagne ou l’Ecosse : bref en parcourant l’Europe de l’Ouest ? Avec nous : Adrian Thomas, Historien du syndicalisme, associé au CArCoB (centre des archives du communisme en Belgique)". 

Sujets traités : Robert Dussart, communiste, loi, gouvernement, grève, siècle, travailleurs, syndicat, Trente Glorieuses ,

Un portrait du Syndicaliste communiste dans les trente Glorieuses

https://bff-service.rtbf.be/auvio/v1.23/mosaic/tag/251243

siecle

100 ans de football en Belgique (1895-1995)
Football

Savoir lire les chiffres romains
Y'a pas école, on révise !

Y'a pas école, on révise !
Le rôle du "S", le siècle et le carré magique

Le concept de siècle
Y'a pas école, on révise !

L'Heure H
Le casse du siècle : Anvers dépouillée de ses diamants

Un Jour dans l'Histoire
Le XVIIIe : Le siècle des épistolières

Un Jour dans l'Histoire
Les couleurs du siècle des lumières

Un Jour dans l'Histoire
Un portrait du Syndicaliste communiste dans les trente Glorieuses

siecle

100 ans de football en Belgique (1895-1995)Football

Savoir lire les chiffres romainsY'a pas école, on révise !

Y'a pas école, on révise !Le rôle du "S", le siècle et le carré magique

Le concept de siècleY'a pas école, on révise !

L'Heure HLe casse du siècle : Anvers dépouillée de ses diamants

Un Jour dans l'HistoireLe XVIIIe : Le siècle des épistolières

Un Jour dans l'HistoireLes couleurs du siècle des lumières

Un Jour dans l'HistoireUn portrait du Syndicaliste communiste dans les trente Glorieuses