"Au Nom de la Loi" enquête sur les conditions d'exploitation et de sécurité des décharges de Braine-Le-Château.

Wallonie poubelle

Au nom de la loi

Le problème de l’accueil des candidats réfugiés en Belgique ne date pas d’aujourd’hui. Au milieu des années 80, les CPAS bruxellois qui ne parviennent plus gérer l’afflux de nouveaux venus, menacent de les transférer vers les communes les plus riches du royaume. Le gouvernement Martens-Gol  décide alors d’ouvrir un centre d'hébergement permanent dans un ancien bâtiment de l’armée : le Petit Château. A partir de ce moment, c’est là et seulement là que les demandeurs d'asile sont logés pendant  l’examen de leur dossier. Ce n'est humanitaire qu'en apparence: un véritable filtrage des arrivants s'organise, notamment à l'aéroport de Zaventem.

La vie de château

"Au Nom de la Loi" se penche sur le problème de l'engraissement des bestiaux avec des hormones et enquête sur le trafic des hormones, dénoncé par un vétérinaire.

Cocktail explosif

Chaque jour des dizaines de camions en provenance de l'Allemagne et des Pays-Bas viennent décharger leurs déchets industriels et ménagers dans des décharges plus ou moins officielles en Wallonie. Sans aucun contrôle douanier car il n'existe pas de législation sérieuse en la matière.

Vides à vendre

A Paris, rencontre avec le peintre et écrivain Michel Seuphor.

Michel Seuphor : entre les lignes

Entretien littéraire

En 1983, le Petit-Château abrite encore la caserne militaire au centre de Bruxelles ; C'est là que se trouve le Centre de recrutement et de sélection de l'armée qui accueille chaque année des milliers de miliciens, candidats officiers de réserve et volontaires. Le service médical et les tests psycho-techniques vont permettre de déterminer l'aptitude des candidats. Les recrues y sont aussi formées aux lois militaires, code pénal militaire et autres questions de discipline.

Le Centre de recrutement et de sélection de l'armée

Le 3 septembre 1992, deux jeunes, Stephen Lespineux et Sébastien Welsh, sont retrouvés sur une route, entre Waremme et Liège. L'un est mort, l'autre dans le coma. En avril 2000, la cour d'assises de Liège condamne trois hommes pour meurtre : Francis et Marco Gottschalk et Francis Petit. Une condamnation prononcée à partir de déclarations hétéroclites sans preuves matérielles.

L'ombre d'un doute : l'affaire Gottschalk

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philippe milet (realisateur)

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