nazi

Argentine : vestige d'une habitation nazie

C'était il y a quelques jours, aux Etats-Unis : les autorités américaines faisaient retirer certaines statues de soldats confédérés esclavagistes, symboles d'un passé difficile à porter. Eh bien, cette polémique s'exporte, à sa manière, chez nous. En Flandre, un bourgmestre limbourgeois demande aujourd'hui que l'on change le nom de l'une des rues de sa commune. Elle porte en effet le patronyme d'un collaborateur nazi.

JT 19h30

Flandre : un nom de rue qui dérange

Parce qu’il a fait venir des officiels du Soudan, pays trouble, pour identifier et récupérer leurs migrants, les jeunes d’Ecolo ont diffusé un photomontage de Theo Francken en uniforme nazi, arme à la main. 


C’est la crise opposition/gouvernement du moment. Theo Francken, qui ne veut pas d’une jungle de Calais à Bruxelles derrière la gare du Nord, veut renvoyer les migrants qui ne veulent pas demander l’asile en Belgique d’après lui. Pour organiser un retour forcé, il faut les identifier comme " Soudanais ". Il a donc, avec la collaboration du Soudan, déployé et accueilli une mission d’identification. C'est la colère générale. Le Soudan est décrit comme une dictature. Son président est poursuivi par la Cour pénale internationale pour génocide, on y maltraite les populations, etc. Theo Francken est à New York aux Nations unies, c’est donc Jan Jambon qui devra s’expliquer au Parlement tout à l’heure. Hier, Ecolo a diffusé un photomontage de Theo Francken en tenue nazi accompagné d’un texte qui évoque le pillage des effets personnels, la collaboration avec un président accusé de génocide et de crime contre l’humanité.

c'est vous qui le dites !

Nos deux débatteurs ne partagent pas le même avis sur le photomontage de Theo Francken

Émission " C'est vous qui lme dites ! ", présentée par Benjamin Maréchal. Extrait du débat sur l'action de la CGSP administration pour contrer la photo de Jeholet/Francken : Joël de Limal

Choquée par le selfie Pierre-Yves Jeholet / Theo Francken… La CGSP Administration demande à ses affiliés d’envoyer au ministre de l’Emploi des photos avec un ami ET la mention : " Un selfie avec un ami, pas avec l’ami d’un nazi ". On peut utiliser en permanence la référence aux nazis ou ça devient… ?

C'est vous qui le dites

Joël : " Je me suis fait traité de nazi par un voyageur "

L'U-3523. C'était le matricule du sous-marin (U-Boote) qui fut coulé le 6 mai 1945. Des spécialistes du musée de la guerre marine du Jutland auraient retrouvé des traces de l'épave du géant de fer au large des cotes danoises (côté Mer du Nord). Il se trouverait à 123 mètres de profondeur.

Des chercheurs danois présentent des images d'un sous-marin nazi coulé en Mer du Nord

Beate Zschäpe, l'unique survivante d'un groupuscule néonazi, a été condamnée mercredi en Allemagne à la réclusion à perpétuité pour sa participation à une dizaine de meurtres racistes, une affaire hors normes qui avait profondément choqué le pays. Elle fera appel de cette condamnation, a annoncé son avocat Wolfgang Heer. Le tribunal de Munich a également privé l'accusée de 43 ans, unique survivante du trio baptisé "Clandestinité nationale-socialiste" (NSU), de la possibilité de demander une libération conditionnelle au bout de quinze ans, en raison de la "gravité particulière" de sa "faute".

Meurtres néonazis en Allemagne: perpétuité pour la principale accusée

Un ancien garde de 94 ans du camp de concentration nazi de Stutthof comparaît à partir de mardi à Münster en Allemagne pour complicité de centaines de meurtres, un procès à la fois symbolique et moral.Cet allemand vivant à Münster est accusé d'avoir servi entre juin 1942 et septembre 1944 dans ce camp situé à quarante kilomètres de Gdansk. Le parquet n'a pas divulgué l'identifié de l'accusé qui selon le quotidien Die Welt est un paysagiste à la retraite prénommé Johann.

A 94 ans, un ex-garde d'un camp de concentration nazi devant la justice allemande

Les images d'une visite historique : Angela Merkel est à Auschwitz. C'est la première fois que la chancelière allemande se rend dans l'ancien camp de concentration nazi. Elle va même faire un don pour la conservation du site.

JT 13h

Auschwitz : première visite d'Angela Merkel

Selon les historiens, 35.800 détenus sont morts sur le site qui dépendait du camp principal de Mauthausen, situé à 3 km de là. Aménagé depuis longtemps en musée, Mauthausen est le lieu de mémoire le plus visité d'Autriche, tandis que Gusen offre un visage d'abandon.Il n'existe plus que deux baraquements de la SS, la maison du commandement et le crématoire, à proximité duquel un lotissement pavillonnaire a été construit dans les années 1950.

Vues extérieures du camp de Gusen - Autriche

Vues intérieures du Mémorial du camp de concentration de Gusen (Mauthausen), en Autriche

Un patron de restaurant qui diffuse un chant à caractère nazi et les accompagne d’un salut hitlérien, voilà qui a de quoi interpeller. L’incident a en tout cas choqué plusieurs clients du célèbre établissement liégeois "Café Lequet" ce dimanche. Plusieurs ont rapporté les faits sur les réseaux sociaux. Le (nouveau) patron du café, s'est exprimé face à la caméra à propos de cet incident.

Salut nazi au Café Lequet à Liège: "J'aurais pu me gratter les cheveux, c'est le même geste"

C'est une belle histoire d'amitié qui lie à présent des hommes qui à la base tout opposait: l'un est juif et a miraculeusement échappé à la Shoah, l'autre se dit "gosse de nazi", pétri de culpabilité. Deux Belges éprouvés par la tragédie de la Seconde guerre mondiale témoignent désormais côte à côte de leur histoire et de l'amitié profonde qui les unit.

Quelques images de la rencontre entre Simon Gronowski et Koenraad Tinel à Vollezele

Dans une jeunesse marquée par la menace nazie perpétuelle, Boris Cyrulnik a réussi à jouer avec son destin et à en sortir vainqueur. Alors que ses parents ne survivront pas à l'horreur des camps, le jeune garçon de sept ans à peine échappe de manière spectaculaire à une rafle à Bordeaux. Un récit dont il nous partage les faits.

Hep Taxi ! avec Boris Cyrulnik

Comment Boris Cyrulnik a échappé à la mort

Nous voyons beaucoup de messages de mécontentement sur la situation actuelle et c'est bien normal. Cependant le couvre-feu a donné une envie à certains de se comparer… Gaëtan Delferière leur répond!

C'est presque sérieux

Gaëtan Delferière - Non 2020 ce n'est pas 1943

Dans une galaxie lointaine, près d'un soleil brûlant, vivent sur une planète en forme de poêle, deux hommes-Oeufs, Brandon et Kevin Oeuf , un flamoeuf et un walloeuf. C’est certain, un jour ils cuiront!!!

Benjamin Schoos - Les hommes-oeufs sous surveillance

Le coup de cœur d’Etienne PIRET, « Libraire de la Reine » à Binche : ERIKA SATTLER, d’Hervé BEL, éd Stock, 2020.
La « banalité du Mal » dans sa glaçante vérité.
Erika a 16 ans. Elle va se trouver fascinée par un homme avec une petite moustache et un uniforme terne dont la voix douce va enfler. Une voix qui éveille en Erika, des émotions musicales et toutes sortes de sentiments, colère, exaltation, tristesse, et joie, une joie indescriptible. On croyait Hitler et on voyait presque ce qu’il annonçait. Cet homme était habité, porteur d’un message extraordinaire. Les gens l’écoutaient bouche-bée, les émotions de chacun excitant celles de l’autre. Erika avait seize ans. Elle était rentrée chez elle transformée. Elle serait « national-socialiste ». Janvier 1945. Les Russes approchent de la Pologne. Sur les routes enneigées, Erika Sattler fuit avec des millions d'autres Allemands. La menace est terrible, la violence omniprésente. Pourtant, malgré la débâcle, Erika y croit encore : l’Allemagne nazie triomphera. Dans ce livre puissant, dérangeant et singulier, Hervé Bel brosse le portrait d'une femme qui se rêve en parfaite ménagère national-socialiste.

Le coup de coeur du libraire

La « banalité du Mal » dans sa glaçante vérité

Cette semaine, Gilles, fidèle à sa mission de toujours répondre aux attentes de son public, a tenu à répondre personnellement à l’avalanche, au tsunami, à la cascade de courrier reçu cette semaine.

C'est Presque Sérieux

Gilles Dal - Du courrier de nos auditeurs

En juillet 1946, l'organisation "Solidarité juive" filme les activités d'un camp de vacances pour enfants juifs à Presles. Ce document a été retrouvé par Léon Buhbinder, ex-pensionnaire...

Camp de vacances pour enfants juifs à Presles

Inédits

Toute la Belgique le cherche et personne ne le trouve. Mais Edgar Szoc a une idée sur l’endroit où se cache Jürgen Conings…

Edgar Szoc - Où se cache Jürgen Conings?

Sous couverture avec Stefan Hertmans

"Une ascension" Stefan Hertmans

Lili, rescapée de la Shoah

Philippe Robinet, Directeur général des Editions Calmann-Lévy et Annette Wieviorka, historienne française, spécialiste de la Shoah et de l'histoire des Juifs au XXe siècle pour les 75 ans de la première publication du "Journal d’Anne Frank", le 25 juin 1947.

À cette occasion, Calmann-Lévy ressort une nouvelle édition du Journal d’Anne Frank, traduite du néerlandais par Philippe Noble et Isabelle Rosselin.

Anne Frank est née le 12 juin 1929 à Francfort. Sa famille a émigré aux Pays-Bas en 1933. À Amsterdam, elle connaît une enfance heureuse jusqu’en 1942, malgré la guerre. Le 6 juillet 1942, les Frank s’installent clandestinement dans « l’Annexe » de l’immeuble du 263, Prinsengracht. Le 4 août 1944, ils sont arrêtés, vraisemblablement sur dénonciation. Déportée à Auschwitz, puis à Bergen-Belsen, Anne meurt du typhus en 1945, peu après sa sœur Margot. La jeune fille a tenu son journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944, et son témoignage, connu dans le monde entier, reste l’un des plus émouvants sur la vie quotidienne d’une famille juive sous le joug nazi.

Entrez sans frapper

Les 75 ans du Journal d’Anne Frank avec Philippe Robinet et Annette Wieviorka

Bande-annonce du documentaire "Les enfants de la collaboration"

Les enfants de la collaboration (Bande-annonce)

Nous sommes en 1823, en Allemagne. Heinrich Heine, jeune poète de 26 ans, fait paraître une tragédie intitulée « Almansor ». L’action se déroule vers 1500, dans la région de Grenade, en Andalousie au sud de l’Espagne. Un jeune Maure revient d’exil dans l’espoir de revoir son amante Zulima. L’écrivain s'intéresse, de façon détaillée, à la culture islamique en Andalousie mauresque. Une culture qu'il célèbre et dont il déplore la disparition. Les musulmans ont envahi l'Andalousie en 711, Les Maures, c'est-à-dire les berbères arabisés, installés après la conquête, s’y sont maintenus jusqu'en 1492, année où ils sont chassés de Grenade. Ceux qui restèrent furent persécutés jusqu'au début du XVIIe siècle. Dans son texte, Heinrich Heine écrit : « Là où on brûle des livres, on finit par brûler des hommes. » Ces mots vont résonner puissamment, violemment, au cours des siècles qui suivront. Ainsi en 1933, le 10 mai, lorsqu’au cours d'une cérémonie organisée devant l'opéra de Berlin et dans 21 autres villes allemandes, des dizaines de milliers de livres sont publiquement jetés au bûcher par des étudiants, des enseignants et des membres des instances du parti nazi. On connaît la suite. En août dernier, c’est l’écrivain anglo-américain, d’origine indienne, Salman Rushdie, qui était poignardé, victime du fanatisme religieux. Que peuvent les livres face à l’intolérance ? Quel est le rôle des intellectuels lorsque l’on attaque la liberté, les valeurs démocratiques ? Retournons à Voltaire, Zola, Sartre, Camus et quelques autres… Invité : Daniel Salvatore Schiffer, professeur de philosophie de l’art à l’Ecole supérieure de l’Académie Royale des Beaux-Arts de Liège. « Penser Rushdie », ouvrage collectif, éd. de la Fondation Jean Jaurès et de l’Aube. Sujets traités : intelllectuels, Heinrich Heine, musulmans, Andalousie, Maures, culture, Grenade, livres, nazi, Salman Rushdie, fanatisme, intolérance, Voltaire, Zola, Sartre, Camus ,

De l’affaire Calas à l’affaire Rushdie : l’engagement des intellectuels

Un Jour dans l'Histoire

Allemagne: images de l'ex-secrétaire d un camp nazi condamnée à deux ans de prison avec sursis

(Le 20-12-22)

White Right : Meeting the Enemy nous présente Deeyah Khan face à face avec des néonazis et des nationalistes blancs après avoir reçu des menaces de mort et des courriers haineux à connotation raciale de la part du mouvement d'extrême droite à la suite d'une interview télévisée de la BBC prônant la diversité et le multiculturalisme. Dans le film, Deeyah Khan tente d'aller au-delà de la haine et de l'idéologie violente, pour essayer de comprendre pourquoi certaines personnes se tournent vers l'extrême droite.

Pourquoi certains se tournent vers l'extrême droite ?

White right : meeting the enemy

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nazi

Argentine : vestige d'une habitation nazie

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C'est vous qui le dites

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Gaëtan Delferière - Non 2020 ce n'est pas 1943
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White right : meeting the enemy
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