musee de la photo charleroi

Le "Musée de la Photo à Charleroi" consacre une vaste exposition au photographe belge Michel Vanden Eeckhoudt décédé en 2015 à l’âge de 67 ans. Le musée et les éditions "Le Bec en l’air" publient un remarquable album de 348 pages et 300 photos dont de nombreux clichés inédits qu’on découvre aussi aux cimaises.

Cofondateur de l'agence VU  avec Christian Caujolle, Michel Vanden Eeckhoudt était un photographe en prise avec le réel. Ardent défenseur du noir et blanc, il était connu entre autres pour ses clichés d'animaux : un chien errant, hurlant seul face à l’océan ou un caniche bondissant, comme un chien savant fou. Des clichés de "Zoologies" en 1982 aux photos d’enfants prématurés à l’hôpital Erasme en 2006, les portraits d’animaux et les reportages sur des questions sociales parlent de la condition humaine et jettent un éclairage à la fois grave et léger sur un monde lourd de sens. Un "Photo Poche" était consacré à Michel Vanden Eeckhoudt en 2006. Le "Botanique" présentait une rétrospective de son travail en 2007. Les "Rencontres Photographiques d’Arles" présentait son projet "Doux-amer" en 2013.  Le "Musée de la Photo" présente des images iconiques et inédites de ce maître de l’instant suspendu. Henri Cartier-Bresson appréciait beaucoup les images de Michel Vanden Eeckhoudt qui était aussi à sa manière un photographe de l’instant décisif. Il était né à Bruxelles d’une mère assistante sociale et d’un père docteur en sciences naturelles.

Michel Vanden Eeckhoudt au micro de Pascal Goffaux. Archives.

Grande rétrospective présentant des oeuvres iconiques et inédites.

Michel Vanden Eeckhoudt, l'instant suspendu, au Musée de la Photo

Le "Musée de la Photo" à Charleroi consacre une vaste exposition au photographe belge Michel Vanden Eeckhoudt décédé en 2015 à l’âge de 67 ans. Le musée et les éditions "Le Bec en l’air" publient un remarquable album de 348 pages et 300 photos dont de nombreux clichés inédits qu’on découvre aussi aux cimaises.

Cofondateur de l'agence VU  avec Christian Caujolle, Michel Vanden Eeckhoudt était un photographe en prise avec le réel. Ardent défenseur du noir et blanc, il était connu entre autres pour ses clichés d'animaux : un chien errant, hurlant seul face à l’océan ou un caniche bondissant, comme un chien savant fou. Des clichés de "Zoologies" en 1982 aux photos d’enfants prématurés à l’hôpital Erasme en 2006, les portraits d’animaux et les reportages sur des questions sociales parlent de la condition humaine et jettent un éclairage à la fois grave et léger sur un monde lourd de sens. Un "Photo Poche" était consacré à Michel Vanden Eeckhoudt en 2006. Le "Botanique" présentait une rétrospective de son travail en 2007. Les "Rencontres Photographiques d’Arles" présentait son projet "Doux-amer" en 2013.  Le "Musée de la Photo" présente des images iconiques et inédites de ce maître de l’instant suspendu. Henri Cartier-Bresson appréciait beaucoup les images de Michel Vanden Eeckhoudt qui était aussi à sa manière un photographe de l’instant décisif. Il était né à Bruxelles d’une mère assistante sociale et d’un père docteur en sciences naturelles.

Xavier Canonne, directeur du "Musée de la Photo", commissaire de l’exposition, au micro de Pascal Goffaux.

Rétrospective Michel Vanden Eeckhoudt au Musée de la Photo à Charleroi.

Michel Vanden Eeckhoudt, l'humain au centre, Musée de la Photo.

Le "Musée de la Photo" à Charleroi consacre une vaste exposition au photographe belge Michel Vanden Eeckhoudt décédé en 2015 à l’âge de 67 ans. Le musée et les éditions "Le Bec en l’air" publient un remarquable album de 348 pages et 300 photos dont de nombreux clichés inédits qu’on découvre aussi aux cimaises.

Cofondateur de l'agence VU  avec Christian Caujolle, Michel Vanden Eeckhoudt était un photographe en prise avec le réel. Ardent défenseur du noir et blanc, il était connu entre autres pour ses clichés d'animaux : un chien errant, hurlant seul face à l’océan ou un caniche bondissant, comme un chien savant fou. Des clichés de "Zoologies" en 1982 aux photos d’enfants prématurés à l’hôpital Erasme en 2006, les portraits d’animaux et les reportages sur des questions sociales parlent de la condition humaine et jettent un éclairage à la fois grave et léger sur un monde lourd de sens. Un "Photo Poche" était consacré à Michel Vanden Eeckhoudt en 2006. Le "Botanique" présentait une rétrospective de son travail en 2007. Les "Rencontres Photographiques d’Arles" présentait son projet "Doux-amer" en 2013.  Le "Musée de la Photo" présente des images iconiques et inédites de ce maître de l’instant suspendu. Henri Cartier-Bresson appréciait beaucoup les images de Michel Vanden Eeckhoudt qui était aussi à sa manière un photographe de l’instant décisif. Il était né à Bruxelles d’une mère assistante sociale et d’un père docteur en sciences naturelles.

Mary van Eupen, épouse du photographe, co-commissaire de l’exposition.

Photo inédite, la première et la dernière photo d'une mouette.

Michel Vanden Eeckhoudt, la première mouette, Musée de la Photo

Chaque matin à 7h30, Pascal Goffaux et François Caudron font le tour de la scène culturelle, agrémenté de reportages et de rencontres.

Frankenstein, Karine Birgé / Michel Vanden Eeckhoudt, Xavier Canonne, Musée Photo

L'info culturelle de 7h30

"Le Dîner" au Théâtre de Namur. m.e.s. Jean-Michel Frère. /Expo "Arbres Troncs" de Zoé van der Haegen au Musée de Photo à Charleroi

Le "Musée de la Photographie" à Charleroi inaugure une nouvelle exposition consacrée à la photographie amateur. "En dilettante" puise dans le fonds d’archives de "La Conserverie" dédié à la photographie vernaculaire. La structure créée par l’artiste Anne Delrez en janvier 2011 comprend un lieu d’exposition, une maison d’édition, un centre de ressources et une librairie. Le lieu situé à Metz est aussi dénommé "Le Conservatoire national de l’Album de famille".

L’histoire de la photo amateur suit l’évolution technique du médium. La photographie tout d’abord réservée à la classe aisée se démocratise dès 1888 lorsque Kodak fabrique le premier appareil portable. Le matériel lourd et d’un emploi compliqué est remplacé par un objet léger et d’un usage simplifié. Il suffit d’appuyer sur le bouton. Kodak fait le reste.

"En dilettante. Histoire et petites histoires de la photographie amateur" retrace l’évolution de la photographie vernaculaire en sortant des collections de Michel F. David des séries d’images de la fin du 19e siècle. Les photos rondes, les autochromes et les vues panoramiques sont les œuvres d’amateurs avertis, membres de clubs ou d’associations de photographie. La démocratisation de la photographie verra apparaître une nouvelle génération d’amateurs qui s’illustrera dans la photo de famille.

L’exposition rassemble plus de deux cent cinquante photos anonymes prises entre 1888 et 1970.

Le "Musée de la Photographie" et les éditions "Le Caïd" publient un magnifique album qui retrace l’Histoire et les petites histoires de la photographie amateur. "En dilettante" est le fruit d’une collaboration exemplaire entre Anne Delrez, fondatrice de "La Conserverie" ; Michel F. David, fondateur des éditions "Sur la Banquise" ; et Adeline Rossion, collaboratrice scientifique en charge de la collection au Musée de la Photographie à Charleroi.

Michel F. David  au micro de Pascal Goffaux

Le collectionneur Michel F. David : photos rondes, autochromes et vues panoramiques .

En dilettante, la photo amateur, au Musée de la Photo. Images de Michel David.

Le "Musée de la Photographie" à Charleroi inaugure une nouvelle exposition consacrée à la photographie amateur. "En dilettante" puise dans le fonds d’archives de "La Conserverie" dédié à la photographie vernaculaire. La structure créée par l’artiste Anne Delrez en janvier 2011 comprend un lieu d’exposition, une maison d’édition, un centre de ressources et une librairie. Le lieu situé à Metz est aussi dénommé "Le Conservatoire national de l’Album de famille". La photo de famille occupe une place de prédilection

Les cimaises accueillent des œuvres d’artistes contemporains qui recourent à la photographie vernaculaire dans leur processus de création. Célia Muller, artiste associée à "La Conserverie", puise dans le fonds iconographique du centre. Elle s’inspire d’un portrait photographique et dessine sur un papier de soie blanc l’image recadrée. L’artiste révèle la texture de la photo dans ses infimes détails. La photographie originale a été longtemps vénérée et souvent touchée. Le toucher a effacé des parties de l’image. Le dessin rend perceptible l’affection vouée à un être. Le vide de l’absence et la fragilité de toute vie. Beau à pleurer. 

Célia Muller, artiste, au micro de Pascal Goffaux.

Célia Muller révèle la texture d'un portrait photographique dans un dessin aux infimes détails.

En dilettante, la photo amateur et l'art contemporain au Musée de la Photo.

Karin Borghouts est née à Kapellen, en 1959. Elle a étudié la peinture et la sculpture avant de découvrir et de pratiquer la photographie. Le regard sur l’architecture et l’urbanisme est aiguisé par sa formation première. Photographe d’architecture, elle est un artiste constructeur ; les lignes droites et fuyantes, les formes et les volumes géométrisent l’image. Le compas dans l’œil, elle architecture sa perception en arpentant l’espace. Elle photographie bâtiments et sites dans l’espace public. Depuis 2011, elle documente la rénovation du "Musée royal des Beaux-Arts" d’Anvers. En 2012, elle réalise le projet "The House". Elle photographie les intérieurs calcinés de sa maison d’enfance qui avait subi un incendie. L’humain absent physiquement, sa présence est latente dans les lieux habités.

"Paris Impasse" est une série de photos de culs-de-sac, réalisée entre 2011 et 2021. Karin Borghouts procède méthodiquement. Arrondissement par arrondissement, elle répertorie les rues sans issue de la capitale française. La ville compte plus de six cents impasses. Elle en photographie plus de quatre cent cinquante. Le travail technique à la chambre détermine l’approche rigoureuse de la photographe qui recourt aujourd’hui aux technologies numériques. La rigueur de la composition et l’absence de la figure humaine suscitent l’attention et la tension.

Les éditions "Snoeck" ont publié Paris Impasse de Karin Borhouts, en 2020. Le "Musée de la Photographie" à Charleroi expose des photos de la série jusqu’au 18 septembre.

Karin Borghouts au micro de Pascal Goffaux.

Les culs-de-sac de Paris vus par une photographe d'architecture. Images au cordeau.

Paris Impasse, Karin Borghouts, au Musée de la Photo à Charleroi.

Simon Vansteenwinckel est né en 1978 à Bruxelles. Il est photographe et graphiste. Lors du 17e "Prix national Photographie Ouverte", il reçoit le "Prix Nikon Belux". Les images primées sont exposées au "Musée de la Photo" du 9 décembre 2017 au 22 avril 2018.

Pendant la période de confinement, Simon Vansteenwinckel ouvre une fenêtre sur le monde via "Google Street View" et il voyage à Wuhan sans sortir de sa chambre. La ville chinoise associée à l’origine de la pandémie de Covid-19 livre des images qu’il projette sur un écran de télévision. Photographiées ensuite avec un film argentique utilisé en médecine pour diagnostiquer les maladies pulmonaires, les images accentuent l’effet de contraste du noir et blanc. Le grain masque l’identité des lieux et des habitants. La poussière infecte l’atmosphère. La vie est brûlée par les rayons. Un bruit sourd émane de l’image. L’œil ne parvient pas à entendre la situation.

Les photos recadrées sont déposées sur des tableaux lumineux rétroéclairés. 

A voir au "Musée de la Photographie" à Charleroi jusqu’au 18 septembre.

Simon Vansteenwinckel au micro de Pascal Goffaux

Radiographie de la ville chinoise de Wuhan via Google Street View et le regard d'un photographe.

Wuhan Radiography, Simon Vansteenwinckel, au Musée de la Photo à Charleroi.

Clyde Lepage a suivi un double enseignement. Elle s’est d’abord initiée à la photographie dans une approche documentaire, à l’ESA "Le75". Elle a suivi ensuite une formation en performance et installation, à l’"ERG". 

"Pazea Sovni" est un projet singulier qui mêle les disciplines : la photo, le documentaire social et l’action dans un espace et un temps, ouverts à la relation. "Pazea Soveni", réunit deux mots de wallons différents. "Pazea" signifie le sentier qui coupe à travers bois et champs. "Sovni" désigne le souvenir dans le sens de l’objet qui rappelle un lieu ou une personne. Clyde Lepage a mené un reportage poétique dans sa région natale, entre Namur et Liège. L’enfant a enregistré les paysages en traversant les lieux, derrière la vitre d’un moyen de transport. L’adolescent a nourri le plaisir de découvrir l’envers du paysage. La jeune adulte a arpenté les lieux et retrouvé les personnes familières et rencontré les inconnus de passage. Le paysage et le portrait se sont mêlés. L’œil de la photographe a instillé une dose de fantastique au terrain vague et au mur de fabrique, au pont envahi par les lianes et au papier peint aux motifs de lézardes. Les visages peu expressifs et les regards en soi mettent en scène un arrêt sur image qui dispute les réminiscences de l’enfance aux projections improbables du temps présent. 

"Pazea Sovni", de Clyde Lepage, dans la galerie du "Soir" au "Musée de la Photographie" à Charleroi jusqu’au 18 septembre. 
Un album éponyme a paru aux éditions "Yellow Now".

Clyde Lepage est au micro de Pascal Goffaux.

Sentier et Souvenir. Paysage et Portrait au coeur d'une région natale extravagante.

Pazea Sovni, Clyde Lepage, au Musée de la Photo à Charleroi.

Cinema "Sun Screens" au Cinéma Palace à Bxl. Expo "Wuhan Radiography" de Simon Vansteenwinckel au Musée de la photo à Charleroi.

Chaque matin à 8h30, Pascal Goffaux et François Caudron font le point sur l’actualité culturelle et s’arrêtent aux pages culture de la presse.

En dilettante, Musée de la Photo Charleroi. Magical Theatres, Musée de la Porte de Hal Bruxelles.

L'info culturelle de 8h30

Expo "Paris Impasse" de Karin Borghouts au Musée de la Photographie à Charleroi. / Livre "Tenir sa langue" de Polina Panassenko aux Ed. de l'Olivier.

Ivan Alechine (pseudonyme d'Ivan Alechinsky) est un poète et romancier belge, né en 1952. "Mexico solo" révèle le photographe qui fait de nombreux séjours au Mexique depuis une trentaine d’années. De 2010 à 2018, il élit résidence dans la ville de Oaxaca ou dans le bourg de Tuxpan de Bolanos, domaine des Indiens Huichols. Le village est situé dans la région de la Sierra Madre occidentale. La communauté indigène organise tout au long de l’année de longues cérémonies religieuses, d’une rare exubérance. Ivan Alechine choisit la photographie argentique en noir et blanc ; il capte des moments de vie simple, hors des temps de cérémonie. Le Rolleiflex est chargé d’une bobine de douze poses. Le nombre limité de prises de vue aiguise le regard. Le cliché essentialise la vision du photographe.

Dans la communauté huichol, la tradition et le monde contemporain se mêlent et se heurtent. Les habits traditionnels voisinent avec une serviette de bain à l’effigie de Blanche Neige. La bombe Monsanto participe aux travaux des champs à côté du bâton de semences. Une photo rappelle la scène de L’Angélus dans le célèbre tableau de Millet. L’acculturation opère dans un Mexique où l’exode conduit les paysans dans les villes. Dans le District Fédéral de la ville de Mexico, des immeubles en verre aux fenêtres quadrillées cachent la précarité des familles qui organisent leur bric-à-brac de survie, loin de leurs origines paysannes et de leurs traditions ancestrales.

Mexico solo, Ivan Alechine, Musée de la Photographie, Charleroi, jusqu’au 22 janvier 2023.

Ivan Alechine  au micro de Pascal Goffaux.

Mexique des villes et des champs.

Ivan Alechine, Mexico solo, au Musée de la Photo.

La fascination que l’Iran exerce sur le photographe Sébastien Cuvelier a sa source dans son histoire familiale. Dans les années 1970, son oncle explorait le pays du Shah et tenait un journal de son périple. L’an 1971, il assistait aux festivités du 2500e anniversaire du grand empire perse, dans les ruines de Persépolis.

Sébastien Cuvelier est parti sur les traces de son oncle pour construire sa propre image du pays, mêlant les temporalités. Le présent est ancré entre les réminiscences de la fin de l’empire et la projection d’un ailleurs futur et utopique. 

Sébastien Cuvelier traque l’image insaisissable d’un paradis sur terre tel que le peuple d’Iran le conçoit. Le mot "paradis" qui vient de l’ancien persan "paridaida" signifie littéralement "jardin clôturé". L’Iran aux anciens jardins persans est devenu une république islamique cadenassée. Tantôt, l’habitant rêve de renouer avec le monde des grands-parents et la culture ancestrale. Tantôt, il se projette en Europe ou aux Etats-Unis, à la recherche de paradis artificiels, ou à quelques encablures de Téhéran où s’élève "Pardis Town", une cité artificielle en construction. Fuir et s’enfuir dans le phantasme, quel qu’il soit.

Sébastien Cuvelier au micro de Pascal Goffaux.

Le paradis est un jardin clôturé.

Sébastien Cuvelier, Paradise City, Musée de la Photo

"En attendant Saïgon" est un projet autour de l’identité. Joris Degas est né loin des origines de sa famille maternelle. Sa grand-mère a quitté le Vietnam à l’approche de la trentaine. Sa mère, née à Saïgon, a été déracinée très jeune. Le temps brouille l’image réelle ou fantasmée du pays originel. L’attente retarde la rencontre avec la ville souche qui a sombré dans le passé. Saïgon n’existe plus. Le nom a disparu. Le fantasme de la ville est alimenté par les récits de la grand-mère, la charge d’un objet souvenir et la présence d’images qui entretiennent avec l’ici et l’ailleurs des relations ambiguës.

"En attendant Saïgon" interroge la transmission et la perte de l’héritage culturel au sein d’une famille immigrée qui vit « à l’étranger chez soi » et hybride le réel et l’imaginaire dans l’esprit de la troisième génération.

Le projet premier de Joris Degas était la réalisation d’un livre qui se décline à présent en images photographiques accrochées aux murs de la "Galerie du Soir" au sein du musée. Les photos nouent entre elles des liens subtils, générateurs de récits multiples. 
Exposition au Musée de la Photographie à Charleroi, jusqu’au 22 janvier 2023.

Joris Degas au micro de Pascal Goffaux.

La transmission et la perte de l’héritage culturel au sein d’une famille immigrée.

Joris Degas, En attendant Saïgon, Musée de la Photo

Music Chapel Festival, Shuichi Okada / Paradise City, Sébastien Cuvelier, Musée Photo

Benoît Giaux, A Christmas Journey, Concert Monnaie/Joris Degas, En attendant Saïgon

https://bff-service.rtbf.be/auvio/v1.15/mosaic/tag?tagSlug=musee-de-la-photo-charleroi-87541

musee de la photo charleroi

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Grande rétrospective présentant des oeuvres iconiques et inédites.

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Michel Vanden Eeckhoudt, la première mouette, Musée de la Photo
Photo inédite, la première et la dernière photo d'une mouette.

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En dilettante, la photo amateur et l'art contemporain au Musée de la Photo.
Célia Muller révèle la texture d'un portrait photographique dans un dessin aux infimes détails.

Paris Impasse, Karin Borghouts, au Musée de la Photo à Charleroi.
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Wuhan Radiography, Simon Vansteenwinckel, au Musée de la Photo à Charleroi.
Radiographie de la ville chinoise de Wuhan via Google Street View et le regard d'un photographe.

Pazea Sovni, Clyde Lepage, au Musée de la Photo à Charleroi.
Sentier et Souvenir. Paysage et Portrait au coeur d'une région natale extravagante.

L'info culturelle de 7h30
Cinema "Sun Screens" au Cinéma Palace à Bxl. Expo "Wuhan Radiography" de Simon Vansteenwinckel au Musée de la photo à Charleroi.

L'info culturelle de 8h30
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Ivan Alechine, Mexico solo, au Musée de la Photo.
Mexique des villes et des champs.

Sébastien Cuvelier, Paradise City, Musée de la Photo
Le paradis est un jardin clôturé.

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