"Les inconnus connus" d'Éric Russon : Porte des lilas.

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Porte des lilas

Retour sur un succès mondial de la Motown. La firme de Detroit s’appelle Tamla Motown pour l’international. Initié en 1964 par Dave Godin et avec la bénédiction de Berry Gordy, Tamla prend son envol au Royaume-Uni et les premières sorties ont lieu en 1965. Les stars de Detroit comme Marvin Gaye, Stevie Wonder ou encore Diana Ross sont désormais disponibles en pressage anglais. Ce sera également le cas d’Edwin Starr, né à Nashville, TN en janvier 1942. Il sera d’abord, et comme beaucoup à l’époque, membre d’un groupe de doo-wop The Future Tones et sort ses premiers disques en solo dès le milieu des années 60 sur le label Ric-Tic. Parmi ceux-ci ''Twenty-Five Miles'' et ''Agent Double’O’Soul'' titre faisant référence à James Bond. Irrité par le succès insolant du petit label Ric-Tic, Berry Gordy parvient à racheter le label, faisant d’Edwin Starr la prochaine machine à tube de Motown. Edwin Starr fut une figure très importante de la scène northern soul anglaise, et ses 45 tours sont toujours dans les playlists des disc-jockeys spécialisés, même aujourd’hui. Installé en Grande-Bretagne, il est victime d’un infarctus, il décède en avril 2003, à son domicile proche de Nottingham. Retour sur son succès de 1970 "Time", Edwin Starr produit et coécrit avec le pianiste Richard "Popcorn" Wylie et c’est Wade Marcus qui s’occupe des arrangements. "Time", classique absolu de la scène northern soul, garder l’espoir, avant que ce monde qui est le nôtre soit en mauvais état… A méditer. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

"Time" d’Edwin Starr un succès mondial pour la Motown

Save My Soul

Entre les tribulations d'Anne Boleyn à la cour d'Henri VIII, la naissance du moonwalk de Michael Jakcson, la célébration de la journée mondiale contre l'homophobie et la transphobie, le poème qui a inspiré Fantasia à Disney et la trace laissée par Malcolm X, il n'y a qu'une folle semaine dans l'Histoire! Sujets traités : Anne Boleyn, Henri VIII, Catherine d'Aragon, Michael Jakcson, Motown, Disney, Fantasia, Malcolm X

La folle semaine de Lucile Poulain du 15 au 19 mai

Un Jour dans l'Histoire

Cité du Michigan qui pourrait recevoir le titre honorifique de ville la plus musicale de la planète, Detroit est aussi la ville des Big Three, les trois géants de l’industrie automobile américaine, c’est-à-dire Ford, General Motors et Chrysler. C’est là qu’est née la Motown, contraction de Motor Town, le surnom de Detroit. ''Garage Rock'', le très beau livre écrit par Pieter Ryckaert, nous rappelle que c’est Berry Gordy Jr qui a lancé le terme. Avec Jackie Wilson, ils écrivent ''Reet Petite'' leur premier succès. Mais sa vraie découverte, c’est le groupe The Miracles. D’abord Tamla Records, puis Motown Record Corporation engage une liste incroyable de musiciens qui donneront une réputation mondiale à la firme : Diana Ross et les Supremes, Marvin Gaye, The Temptations, the Four Tops, Gladys Knight and The Pips, The Commodores, Martha Reeves and the Vandellas, Stevie Wonder, the Jacksons 5… Detroit demeure pourtant, une ville où naissent une multitude de musiciens. La star la plus connue : Madonna. Sont nés aussi à Detroit : Bill Haley, Bob Seger, Ted Nugent, the Romantics, Sonny Bono, Eminem, Electric Six, the White Stripes, Suzi Quattro, George Clinton… ---De la (pink) Cadillac à la Rolls en passant par la Mini ou la Renault 5, les voitures ont souvent influencé les rockers. Source d’inspiration, objet de passion, théâtre de scènes cocasses ou dramatiques, les bagnoles ont une trajectoire parallèle à la musique rock et pop. ''Rock Gear'' le lundi à 13h45, retrouvez Dominique Dricot dans Lunch Around The Clock pour cette séquence sur fond de V8 et de guitare Fender.

Detroit l'ancien royaume de l'automobile, berceau de la Motown...

Rock Gear

Un trio d’acharnés à l’imagination sans limites, des bourreaux de travail (on dirait workaholic de nos jours…), un trio de producteurs/auteurs/compositeurs qui a écrit l’histoire de la soul music et a surtout composé les plus grands succès de la Motown. Mais pas que… Place au trio Holland-Dozier-Holland ! Brian et Eddie Holland et Lamont Dozier, alias H.D.H. sont dans la musique depuis toujours et dès les années 50, ils sont tous chanteurs de rythm and blues ; Eddie Holland, quant à lui, collabore déjà avec Berry Gordy. Les frères Holland rentrent chez Motown et vont composer une foule de hits pour Mary Wells, Marvin Gaye et surtout les Supremes. Lamont Dozier, qui est déjà un producteur en vue, rejoint Motown en 61. Ensemble, jusqu’en 67, ils signent en lettres d’or, l’histoire et le succès de la firme de Detroit. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Holland-Dozier-Holland, les faiseurs de tubes de la Motown et de la soul music

Nous sommes le 14 février 1981. Il est à peu près 15 h lorsqu’un paquebot arrive dans le port de la ville d’Ostende. À son bord, un homme regarde avec curiosité et attention le littoral qui se met à apparaître devant lui. En ce milieu d’hiver maussade, le ciel et les barres d’immeubles du long de la « Reine des plages » se confondent. Et si cet homme a l’air si songeur, c’est qu’il est assez tourmenté. Il quitte une vie de paillettes outre Atlantique. Vie dont le revers de la médaille l’a mené à une dépression tenace, le tout saupoudré de problèmes d'argent et d’addiction. Cet homme, ce n’est autre que Marvin Gaye, le chanteur américain à la renommée internationale, surnommé le « Prince de la soul ». Mais qu’est-ce qui a bien pu amener l’un des chanteurs américains les plus célèbres de sa génération à venir trouver refuge dans cette ville côtière de la mer du Nord ? Seulement trois ans avant de connaître une mort tragique, retour sur l’escapade belge méconnue de Marvin Gaye, les raisons qui l’y ont poussé et le terrible destin qui l’attend. Il est 15h : c’est l’heure H de mon histoire.

D'Ostende à Los Angeles, le tragique destin de Marvin Gaye

L'Heure H

Destination Detroit dans le Michigan, ville ultra-industrielle des USA, capitale de l’automobile, à tel point qu’on la surnomme Motor Town et en abrégé, ça donne Motown et là, ça va tout de suite mieux ! En 1959, le jeune Berry Gordy décide de fonder un studio. Il transforme sa maison qui servait de boutique photo et son garage en studio d’enregistrement et il accroche un panneau sur sa façade qui dit " Hitsville, USA ". La ville des tubes est née ! En 7 ans à peine, le label Motown va occuper 7 maisons adjacentes supplémentaires sur le West Grand Boulevard de Detroit et devenir un des labels les plus influents de la musique afro-américaine. Stevie Wonder, Marvin Gaye, The Temptations, the Supremes, Smokey Robinson ou Michael Jackson ne sont que quelques-uns des monuments signés par Berry Gordy. --- Véritable invitation au voyage, Erik Lenoir revient sur les endroits à ne pas manquer pour tout amateur de rock en vacances : du célèbre passage pour piéton d’Abbey Road à la statue de Freddie Mercury à Montreux, les lieux marqués par l’empreinte des plus grands sont autant d’occasion de raconter l’histoire de ceux qui en sont à l’origine. Lemardi à 8h45 dans Coffee on the Rocks sur Classic 21 votre radio rock'n'pop.

A la découverte de Detroit et de la Motown, label phare de la soul et du R’n’B

Rock-Trotter

Dans le catalogue de la célèbre firme de Detroit, Motown, un des premiers girls groupe superstar chez Motown, Martha and The Vandellas, reprend un titre des Velvelettes pour en faire le succès de l’année 1969. Quelle épopée que celle de Berry Gordy, ex-boxeur "poids plume", ex-disquaire féru de jazz, songwritter avant de devenir homme d’affaires. On lui doit notamment le titre ''Reet Petite'', un succès chanté par Jackie Wilson. Ainsi, en soul music, on retrouve V.I.P, Soul, Tamla, Mo-West, Motown, Gordy ou encore Mel-O-Dy. Mais la firme de Detroit a aussi pressé de la country music, du rock, du jazz, du gospel, et même des discours et autres sermons. C’est un groupe de filles qui va apporter à la Motown son premier hit : The Marvelettes et inspirer d’autres groupes féminins comme Martha and The Vandellas. Martha and The Vandellas devient LE groupe à succès de Motown jusqu’au début des années 70, où Martha Reeves se lance en solo. On les retrouve ici en 1969 avec une reprise des Velvelettes "(We’ve Got) Honey Love". ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Tube de l'année 1969 : Martha and The Vandellas et la reprise de "(We've Got) Honey Love"

The Opals, le girls band qui n’a jamais quitté Windy City (Chicago) en termes de renommée, malgré leurs quatre hits chez Okeh Records, dont "I’m So Afraid", composé par un certain Curtis Mayfield. Okeh Records, label plutôt ancien fondé par Otto Heinemann, manager de la firme allemande Odeon Records. L’un des 1ers à mettre en place un studio d’enregistrement, ainsi qu’une presse à microsillon à New York au début du 20e siècle. Première maison de disques a enregistrer une chanteuse de blues noire, en 1920, à savoir Mamie Smith. Dès les années 50 et 60, Okeh Records va presser une foule d’artistes comme Major Lance, Billy Butler, Screamin’Jay Hawkins, Walter Jackson. Les Opals sont réapparues des compilations de rare soul, et des titres vintages, souvent introuvables, sont réédités. Sorti en 1965, sur Okeh Records "I’m So Afraid" écrit par Curtis Mayfield. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

Un girls band 60's de Chicago à découvrir : The Opals

Décédé en 1994, à 55 ans, Major Lance est une figure incontournable de la soul et une icône de la northern soul anglaise. Major Lance et Curtis Mayfield ont souvent travaillé ensemble. Le label Okeh Records ( Billy Butler, Screamin’Jay Hawkins, Walter Jackson ou Major Lance...), fondé par Otto Heinemann, manager de la firme allemande Odeon Records, un des 1ers à mettre en place un studio d’enregistrement, une presse à microsillon à New York au début du 20e siècle, 1re maison de disques à enregistrer une chanteuse noire, en 1920, Mamie Smith et va presser de la country, du jazz, du blues et des orchestrations dans l’air du temps. Curtis Mayfield, le génial musicien, compositeur et aussi producteur et Jerry Butler fréquentaient la même école que Major Lance à Chicago. "Ain’t It A Shame" produit par Carl Davis qui a travaillé avec Jackie Wilson et Gene Chandler. ---Replongeons dans cette période bénie, entre sixties et seventies, une époque où les 45 tours se vendaient par millions, et parmi ces quantités astronomiques de galettes, des disques tantôt rares, tantôt introuvables, que les DJ’s de l’époque faisaient tourner dans les clubs branchés et spécialisés en soul music. ''Save My Soul'' avec Jean-Yves Louis, le vendredi à 13h45 sur Classic 21 dans Lunch Around The Clock.

"Ain’t It A Shame" de Major Lance, la vedette du label Okeh Records

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Holland-Dozier-Holland, les faiseurs de tubes de la Motown et de la soul music

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"Ain’t It A Shame" de Major Lance, la vedette du label Okeh Records

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