mines

Orphelin congolais

Le témoignage de Luigi Pascucci sur ces années passées en Belgique

Kiruna

Jeudi matin, "l'Alliance pour la sortie du charbon" a été lancée à Bonn par le Royaume Uni et le Canada. Parmi ses membres figurent l'Angola, la Belgique, la Finlande, la France, l'Italie, les îles Marshall, le Portugal, le Salvador, mais aussi plusieurs Etats américains et canadiens (Washington, Alberta, Vancouver...). Tous se sont déjà engagés à éliminer graduellement leurs centrales au charbon, avec des dates limites différentes. Vues de mines de charbon à ciel ouvert en Inde et en Allemagne.

Illustration: mines de charbon à ciel ouvert en Inde et en Allemagne

Une idée de visite originale à présent... A la recherche du silex. Nous allons sous terre, dans les minières néolithiques de Spiennes. Ce site, reconnu par l’UNESCO, est l’un des plus vastes centres d’extraction de silex d’Europe. Et il réserve encore quelques surprises même aux archéologues.

JT 13h

Réouverture des mines de Silex à Spiennes

Il y a aussi le fait que c'est la Pologne qui préside cette réunion qui a donc lieu à Katowice, en Silésie. Une région où l'industrie du charbon a ses défenseurs acharnés. Les mines de charbon existent là bas depuis des siècles et sont loin d'être fermées.

JT 19h30

Cop24 : la Pologne se chauffe toujours au charbon, principal pollueur du pays

Une partie des régions ukrainiennes de Donetsk et Lougansk sont contrôlées depuis 2014 par les séparatistes prorusses, dont la guerre avec les forces de Kiev a fait plus de 10.000 morts.
Selon Kiev et l'Occident, la Russie soutient militairement les séparatistes, ce que Moscou nie malgré de nombreux témoignages recueillis par des médias.
Les accords de paix de Minsk conclus en février 2015 ont permis de réduire considérablement les affrontements, mais des flambées de violence régulières et des explosions de mines plantées par les belligérants continuent d'alourdir le bilan des victimes.

Ukraine: images de villages détruits par les combats, dans la région de Donetsk (Est) - mars 2018

On n'est pas des pigeons !

Couvin, le village qui tremble

Répétition de la chorale des mineurs de Frameries "La Fraternité" qui chante devant le charbonnage.

Chorale des mineurs

Folklore de Wallonie

Au début des années 60, le Borinage, dans la province du Hainaut, paraît rongé par un mal implacable qui ferme les charbonnages et les usines. Quel est-il ? Et existe-t-il un remède ?  Pierre Manuel a posé la question à d’anciens mineurs, d'anciens travailleurs, d'anciens patrons et hommes politiques de la région.

Le circuit de la mort au Borinage

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Cinq ans après la catastrophe du Bois du Cazier, où 262 mineurs de fond, des Italiens pour la plupart, ont péri, Pierre Manuel retourne à Marcinelle, à l’occasion de la Toussaint 1961. Son reportage donne la parole aux familles des victimes et s’interroge sur la sécurité des charbonnages.

Marcinelle, 5 ans après ...

Le 30 septembre 1976, un incendie suivi d'une explosion tue seize mineurs dans le charbonnage de Freyming-Merlebach, en Lorraine. Le puits numéro 5, le plus productif du continent européen, est provisoirement fermé. Au-delà du deuil, la colère gronde à propos des manquements à la sécurité.

Charbonnage de Freyming-Merlebach : le puits numéro 5

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Moins d’un an après la catastrophe du Bois du Cazier, Paul Danblon s’initie au dur travail du mineur de fond, avec le chef porion de sécurité, Raymond Michot, qui compte quarante ans de carrière dans un charbonnage carolorégien.

Avec ceux du fond

Reportage

Visite de la province du Hainaut, de son patrimoine minier, de ses principales villes, de ses habitations et fermes rurales, ses châteaux. Evocation de la réhabilitation des monuments et sites remarquables à l'aide de subsides des pouvoirs publics.

La Province du Hainaut

Ce pays est à vous

Le charbonnage de Blegny Trembleur ferme ses portes. Reportage lors du dernier jour de travail et rencontre avec les mineurs. "Dans la mine on est tous mineurs, Belge ou étranger". Les mineurs regrettent cette fermeture, mais qui aurait pu arriver bien plus tôt, si la main d'œuvre étrangère n'était pas venue faire le travail.

Fermeture de Blegny Trembleur

Antenne soir

Emission en hommage aux mineurs du charbonnage du Roton qui effectuent leur dernière descente avant la fermeture définitive du site. Bernard Balteau, journaliste, passe cette dernière journée en compagnie des mineurs et recueille leur ressenti, leurs émotions et leurs souvenirs, bons et mauvais, de leur vie par 800m de fond. La dernière remontée conduit tous ces hommes vers une autre vie : prépension, pension, chômage ou retour au pays.

La dernière descente au Roton

Ce soir

Enquête en région liégeoise sur les problèmes liés à la fermeture des charbonnages. Des dégâts subsistent et peuvent apparaître jusqu'à 15 ans après la fermeture d'une concession. Rencontre avec des propriétaires d'habitations construites sur des anciens sites d'exploitation minière qui se détériorent.

Problèmes liés à la fermeture des charbonnages

Au début des années ’60, des travailleurs turcs viennent remplacer les Belges, les Italiens et les Grecs dans les charbonnages. C’est une main d’œuvre à bon marché : 20.000 francs par tête en formalités et préparatifs. En 1964, ils sont déjà 6000…Il suffit qu’ils présentent un passeport en règle, un certificat médical et un contrat d’emploi pour devenir au bout de quelques mois un mineur de fond "convenable". Mais pour quelle vie ? Reportage à Zwartberg, en Campine.

Les Turcs à 20.000

Longtemps après la fermeture d’une houillère, des affaissements de terrains peuvent encore survenir. A tel point qu’à la fin des années 60, malgré le déclin de l’industrie du charbon, le fonds des dégâts miniers, créé pour indemniser les dommages aux maisons voisines des puits, est proche de l’asphyxie. Or à Farciennes, les gueules noires descendent encore au fond …

Farciennes, la terre qui bouge

Un charbonnage ne se résume pas à ce qu’il inscrit dans le paysage : un terril ou un châssis à molettes. C’est en sous-sol que ça se passe. Mais depuis quand les hommes descendent-ils dans les entrailles de la terre pour en extraire la houille ? Qui sont les mineurs ? Quelles sont leurs conditions travail ? Quels sont les risques ? Voici un portrait des houilleurs du Borinage réalisé en 1974.

Un regard sur le monde des houilleurs

Marcel Capouillez tente d'identifier un site minier au travers d'images d'archive. La silhouette de l'église, les baraquements en bois, la forme caractéristique des châssis à molettes et le terrain de football lui permettent de déterminer qu'il s'agit du site d'Hautrage.

Le site minier d'Hautrage

Inédits

Etat des lieux de l'avancement des travaux et des prochaines phases de restauration du Bois-du-Luc, aussi bien l'ancien site industriel que les quartiers d'habitation attenants à l'ancien site minier.

Restauration du Bois-du-Luc

8 août 1956 : le journal télévisé est présent sur les lieux de la catastrophe du Bois du Cazier à Marcinelle, pire accident de l’histoire industrielle et minière belge, avec un bilan de 262 morts dont 136 Italiens. Certaines de ces images sont privées de son, mais elles sont pourtant très parlantes. Elles montrent l'attente des familles aux grilles de la mine et le va-et-vient des sauveteurs. Elles sont complétées par le témoignage d’un rescapé de l'accident, par celui d'Adolphe Calicis (ingénieur-directeur qui coordonne les secours) et par les déclarations du Premier ministre belge, Achille Van Acker.

La catastrophe du Bois du Cazier

Bulletin d'information

Des milliers d’Italiens sont venus travailler dans les charbonnages à partir de 1946 pour effectuer des tâches dont les ouvriers belges ne voulaient plus. Ils furent indispensables au redémarrage de l’économie wallonne d’après-guerre. Rencontre avec des migrants de la première génération.

Des hommes et du charbon

Sindbad

En 1952, Michel Steinier filme à Tamines une des dernières "Sainte Barbe" des mineurs. Après avoir évoqué les activités des charbonnages, il montre les festivités partagées par la famille d'un mineur italien. Quelques années plus tard, la fermeture des charbonnages entraînent la disparition de ces manifestations.

Sainte-Barbe des mineurs à Tamines

Un accord de 1946 a fait venir en Belgique des milliers de travailleurs italiens, destinés au travail de mineurs. Ainsi commence l'histoire des Italiens de Wallonie. Le Musée de la photo de Marcinelle a recueilli des photos d'époque et des photos de Franco Meraglia au sein d'une exposition.

Exposition à Marcinelle : les Italiens de Wallonie

Courants d'art

Groenland : l'exploitation des mines au cœur des élections

Le site industriel du Grand-Hornu, visé par la loi sur l'assainissement des sites charbonniers, était destiné à disparaître. Mais un projet de rénovation et de création d'un musée de la mine assurent son sauvetage.

Le sauvetage du Grand-Hornu

Le ministre Achille van Acker s'adresse aux mineurs en grève. Après son allocution du 19 janvier 1945 sur le statut des mineurs, il s'étonne de cette grève. Il en appelle à la conscience et à l'effort de tous pour gagner la bataille du charbon et la guerre. Car sans charbon, pas de transports, pas d'école, pas de soins, pas d'économie et donc, pas de victoire sur l'ennemi…

Achille van Acker, retourner à la mine pour gagner la guerre

Achille van Acker, ministre du Travail et de la Prévoyance sociale, promet un projet de loi sur le statut des ouvriers mineurs pour le 1er février 1945. Avant la guerre, la Belgique faisait appel à des travailleurs étrangers, venus de Pologne, Yougoslavie et Tchécoslovaquie. Suite au départ de ces travailleurs et à la désertion des jeunes pour le métier de mineur, au profit de professions moins pénibles et moins dangereuses, la Belgique manque de bras et la production charbonnière est en baisse. Le ministre expose les avantages garantis aux mineurs. Parmi ceux-ci : l'exemption du service militaire, une prime de recrutement de 1000 francs, 18 jours de congés payés, des prêts à faibles intérêts, l’accès à la sécurité sociale... Par ces mesures, le gouvernement entend bien attirer de nouveaux travailleurs et affirmer que les ouvriers de la mine ont droit à une considération toute particulière de la nation.

Un statut des mineurs pour relancer l'économie

Le Premier ministre Achille van Acker annonce le programme d'approvisionnement du charbon domestique. Jusqu'ici la production allait entièrement à l'industrie, pour favoriser la reprise économique. La pénurie de main-d'œuvre est en train d'être résolue : quelque 25000 prisonniers allemands travaillent à la mine, ainsi que des travailleurs étrangers. La production charbonnière connaît une forte augmentation depuis le début de l'année, passant de 23000 à 60000 tonnes par jour. Tout est mis en œuvre pour que les ménages belges reçoivent leur ration de charbon dans les plus courts délais. Achille van Acker annonce que tout abus, ralentissement de l'approvisionnement, vente au marché noir, seront sanctionnés par la loi.

L'approvisionnement du charbon domestique

Achille van Acker, au titre de ministre du Charbon, entend bien gagner la bataille du charbon. Pour la troisième fois depuis le début de l'année, il s'adresse aux ouvriers mineurs, qu'il encourage à reprendre le travail et à travailler plus dur encore. "La tâche est rude et l'effort est immense" dit-il, mais il faut persévérer. Il souhaite voir doubler la production de charbon, qui est alors de 50000 tonnes par jour. L'avenir du pays dépend de sa production charbonnière.

Ouvriers mineurs, il faut produire plus, encore plus

En Belgique, les cités ouvrières sont l'objet d'une querelle entre partisans de leur démolition et ceux de leur rénovation. Dans le Borinage, une cité charbonnière a besoin d'être rénovée pour fournir aux habitants le confort le plus élémentaire : raccord à l'égout, eau courante,…

Rénovation des cités charbonnières

Dans la région du Borinage, on ferme encore une mine, celle de Tertre. Une de plus. Rencontre avec quelques vieux Borains, des mineurs et descente dans le puits de Hensies-Pommeroeul...

Dans le Borinage...

Le charbonnage d’Ans-Rocourt ferme ses portes. Les travailleurs témoignent du nombre d’années passées dans le fond, certains y ont passé plus de 20 ans. C’est le troisième charbonnage de la région à fermer. Des fermetures qui ont naturellement des conséquences sociales et économiques. Quelques semaines avant la fermeture, la RTB a pu assister à une séance de travail de la commission spéciale d'immigration et d'accueil, présidée par le gouverneur de la province de Liège, Pierre Clerdent. Elle traite notamment de la fermeture des charbonnages où sont employés de nombreux travailleurs immigrés et de leur reclassement. Interventions du président Pierre Clerdent, de Mr Dejardin directeur du charbonnage Ans-Rocourt, Mr Verbrugge directeur provincial de l'ONEM, de Jacques Yerna (secrétaire de la régionale Liège-Huy-Waremme de la FGTB), de Mr Boulanger (Secretaire régional CSC); de Mr Delrez (directeur régional /Mines).

Fermeture du chabronnage d'Ans-Rocourt

L’évocation débute à Comines. Le docteur Deleu filme quelques moments de la vie des pensionnaires d'une maison de retraite à Comines. Dans la même localité, Mademoiselle Leterme, professeur de gymnastique, filme les activités sportives de sa classe pour convaincre ses collègues et la direction de l'école de l'utilité et de la nécessité du développement des cours de gymnastique pour les filles. Un ancien mineur commente la dernière procession religieuse à Comines, filmée par le docteur Deleu. C’est la caméra de Marcel Honorez, qui nous rappelle que les Corons du Borinage servirent de décor au tournage du film "Van Gogh", réalisé par Vicente Minelli, avec l’acteur Kirk Douglas. Enfin, découvrez les images d’une exposition de sculptures organisée à Soignies par les artistes du Hainaut.

Le Hainaut des années 50

Il s’appelait Magawa et sa mission, c’était de détecter les mines. Il avait été dressé pour sentir ces bombes enfuies dans le sol qui font des dizaines de morts chaque année. Grace à sa bravoure, ce rat africain avait aidé à sauver des centaines de vies.  
Il a permis le nettoyage de 225.000 m2 de terres, ce qui représente quand même l'équivalent de 42 terrains de football ! Magawa est mort de vieillesse.

Les Niouzz

Magawa, le rat chasseur de mines est mort

Rencontre avec l'acteur Lino Ventura sur le tournage du film "Une fille dans la vitrine", réalisé par Luciano Emmer, à Charleroi.

Lino Ventura en tournage à Charleroi

Une page d'histoire a été commémorée ce mardi à Huy en présence de représentants français. Cette histoire, c'est celle de 273 mineurs du Nord Pas-de-Calais qui, en 1941, ont lancé une vaste grève, privant de charbon l'occupant nazi. Ces mineurs seront déportés au fort de Huy, avant de rejoindre, pour la majorité d'entre eux, le camp de concentration de Sachsenhausen, connu notamment pour être le camp où les SS apprenaient à oublier la pitié.

L'histoire des 273 mineurs français déportés à Huy

En rentrant du travail, ils sifflotent comme s’ils avaient passé la journée à la plage. Ils ont la bouille réjouie comme si on sortait d’une mine comme on sort d’un transat. Mais la mine des sept nains ne ressemble pas à celle de nos mémoires ou des reportages: ces images de tunnels salissants et dangereux peuplés de forçats de travail. Ou bien de carrières où les oiseaux de Blanche-Neige ne trouveraient plus une branche. 

Qui, en Europe aujourd’hui, a envie de voir une mine (r)ouvrir dans son coin? Et qui voudrait y descendre? 

Pourtant la "transition verte" est vorace. Les éoliennes, les panneaux solaires et les batteries de véhicules électriques grignotent des quantités exponentielles de métaux rares. Où les extraire? En Belgique? Au Congo? Sous l’océan? Avec quels impacts sociaux et environnementaux? Faut-il salir, pour développer nos technologies "propres"? 

Cet épisode d'"Après nous, les mouches?" a puisé des réponses, sonores, dans un auditoire, un labo ou la verdure. Et elles sont parfois blanches lithium, parfois noires charbon et souvent entre les deux.

"Après nous, les mouches?" est un podcast de reportages sonores sur l’environnement, sur Auvio et vos plateformes podcast habituelles. Mais c’est aussi une curieuse expression, en Belgique: celui qui dit "après moi, les mouches!" dit, en gros, qu’il se fiche de ce qui viendra après lui, des suivants. Ce podcast va précisément écouter les "suivants", les jeunes Européens qui héritent de cette terre, notre cocon qui prend l’eau.

Habillage: Miossec, "Après nous les mouches"

Avec Dominique Rosengarten, Eric Pirard (ULiège), Céline Taymans et Tasnim Patel (Institut des sciences naturelles).

Suivez toute l’actualité européenne avec Euranet Plus, le premier réseau d’information européenne.

Lithium &Cie: le temps de la mine est (re)venu (17/20)

Après nous, les mouches? - Episode 17

Nous sommes le 9 septembre 1918, dans le camp de Mochamps, en pleine forêt de Saint-Hubert. Un homme écrit : « À partir du jour où nous avons eu le malheur de tomber entre les mains de l’ennemi comme prisonniers de guerre, c’était comme si nous étions tombés au fond d’un abîme. » Il signe « Gl’Italiani di Moschamps ». Entre décembre 1917 et mars 1918, entre 25.000 et 40.000 soldats italiens ont été retenus prisonniers dans des camps installés sur les territoires belges et français occupés par les armées allemandes. Ils seront mis au travail forcé dans des mines, des carrières, des forêts, des entrepôts de munition, en ville, à la campagne, tout le long de la ligne de front, de l’Alsace à la côte belge, et partout en Belgique. Comment les populations locales ont-elles réagi à leur présence ? Combien ont survécu aux traitements inhumains ? Où sont enterrés les morts ? Pourquoi cette page de la Première Guerre mondiale est-elle si mal connue ? Invité : Pierre Lannoy, chargé de cours à l’Université libre de Bruxelles. Sujets traités : Saint-Hubert, prisonniers, Gl’Italiani di Moschamps, soldats italiens, territoires occupés, armées allemandes,travail forcé, mines, carrières,

Prisonniers italiens de la Grande Guerre en Belgique et France occupées

Un Jour dans l'Histoire

Au début de l'année, le géant minier suédois annonçait avoir découvert le plus grand gisement de terres rares d'Europe à Kiruna, dans le nord de la Suède. Ce gisement doit être exploité dans les prochaines années, mais tout ça pose de nombreuses questions, en termes environnementaux, et aussi pour le peuple autochtone Sami.

'Terres rares, terres samis'

Transversales

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mines

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9000000Le circuit de la mort au Borinage

9000000Marcinelle, 5 ans après ...

9000009Charbonnage de Freyming-Merlebach : le puits numéro 5

ReportageAvec ceux du fond

Ce pays est à vousLa Province du Hainaut

Antenne soirFermeture de Blegny Trembleur

Ce soirLa dernière descente au Roton

Antenne soirProblèmes liés à la fermeture des charbonnages

9000000Les Turcs à 20.000

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InéditsLe site minier d'Hautrage

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