L'Etat belge est condamné à lever toutes les mesures Covid d'ici 30 jours ou à se mettre en ordre vis-à-vis de la Loi. La  Ligue des Droits humains avait en effet introduit au nom de tous les Belges une action en référé devant le Tribunal de 1ère instance de Bruxelles, et celui-ci leur donne raison.

L'Etat belge condamné à suspendre les mesures contre le COVID

Le lundi 17 octobre prochain, la Ligue des droits humains, en collaboration avec Bruxelles.
Laïque dans le cadre du Festival des Libertés, présentera la troisième édition de son procès fiction au Théâtre National : « On va où, maman ? ». Au centre de ce spectacle-conférence, seront évoqués le placement des enfants en institution, le manque de moyens du secteur de l’aide à la jeunesse et le rôle de la société dans la protection de l’enfant. Un sujet méconnu mais qui concerne directement 6.552 enfants en Fédération Wallonie-Bruxelles sur un total de 21.260 enfants pris en charge par les services de l’aide à la jeunesse. On en parle avec Claire-Marie Lievens qui a écrit et mis en scène le procès, Cécile Ghymers, bénévole à la Ligue des Droits humains et avocate spécialisée en droit de la jeunesse, Joëlle Picard conseillère de l’Aide à la Jeunesse (Service d’aide à la Jeunesse) et Michèle Méganck, juge de la jeunesse.
« On va où, Maman ? », le procès-fiction de la Ligue des droits humains questionne le placement d’enfants - Bienvenue sur le site de la Ligue des droits humains (liguedh.be)

Placement des enfants dans le cadre du  Festival des Libertés, le Procès fictif

Tendances Première : Le Dossier

La Ligue des droits humains s’oppose au projet de loi qui interdirait à des casseurs de participer à des manifestations. Le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne a présenté hier en commission un projet de loi qui vise, entre autres, à interdire à quelqu’un qui a commis des actes de vandalisme sur une manifestation de se rendre à d’autres rassemblements pour une période limitée. La Ligue des droits humains réagit dans le journal Le Soir et parle d’atteinte à la liberté de s’exprimer et d’une société du maintien de l’ordre. Un casseur doit pouvoir continuer à manifester ?

C'est vous qui le dites

Un casseur doit-il pouvoir continuer à manifester ?

La CSC s’inquiète de ne même plus pouvoir jeter un œuf en manifestation à l’avenir. Après la Ligue des droits humains il y a quelques jours, c’est maintenant au tour de la CSC et la FGTB de râler sur le projet de loi anti-casseurs du ministre de la Justice. Pour rappel, le principe est d’interdire aux casseurs de manifester pendant une durée déterminée. Marie-Hélène Ska, secrétaire générale de la CSC, dit dans Sudinfo ce matin que ce sera beaucoup plus compliqué de manifester, qu’il sera même interdit de jeter un œuf. De son côté, Thierry Bodson de la FGTB estime que les politiques de ce pay

La CSC s’inquiète de ne plus pouvoir jeter un œuf en manifestation

Ceci n’est pas un selfie : Claire Marie Lievens, comédienne et juriste au service de la démocratie. Diplômée en droit, humaniste et passionnée par la nature humaine, juriste à la Ligue des Droits Humains, Claire Marie Lievens a créé, écrit et mis en scène trois procès fictifs (ou conférences-fictions) qui se sont joués au Théâtre national dans le cadre du Festival des libertés, à Bruxelles. Ces procès sont de véritables outils d’éducation permanente très puissants, tant pour découvrir le monde judiciaire que pour comprendre et s’approprier des débats intenses, avec légèreté. Attachée au Magic Land Théâtre, elle est persuadée que les salles de spectacle sont des outils essentiels à la démocratie. Avec subtilité et intelligence, elle est arrivée à concilier le droit et le théâtre. Comment ? On le découvre ce jeudi. Ceci n'est pas un Selfie, c’est un tête-à-tête d’une heure mettant en avant une personnalité, sans fard et sans filtre. Son parcours, son univers, mais aussi son regard sur les mots-clés de l'année et ses espoirs pour l’avenir.

Claire Marie Lievens, comédienne et juriste au service de la démocratie

Ceci n'est pas un selfie

Ceci n’est pas un selfie : Claire Marie Lievens, comédienne et juriste au service de la démocratie.

Diplômée en droit, humaniste et passionnée par la nature humaine, juriste à la Ligue des Droits Humains, Claire Marie Lievens a créé, écrit et mis en scène trois procès fictifs (ou conférences-fictions) qui se sont joués au Théâtre national dans le cadre du Festival des libertés, à Bruxelles. Ces procès sont de véritables outils d’éducation permanente très puissants, tant pour découvrir le monde judiciaire que pour comprendre et s’approprier des débats intenses, avec légèreté. Attachée au Magic Land Théâtre, elle est persuadée que les salles de spectacle sont des outils essentiels à la démocratie. Avec subtilité et intelligence, elle est arrivée à concilier le droit et le théâtre. Comment ? On le découvre ce jeudi.

Ceci n'est pas un Selfie, c’est un tête-à-tête d’une heure mettant en avant une personnalité, sans fard et sans filtre. Son parcours, son univers, mais aussi son regard sur les mots-clés de l'année et ses espoirs pour l’avenir.

Ceci n'est pas un Selfie

"La Ligue des droits humains se pose parfois la question de savoir si effectivement, il n’y a pas une volonté politique de ne pas remplir les cadres puisque aujourd’hui, introduire une procédure c’est aller dans l’inconnue au niveau temps et au niveau argent", ajoute Mehdi Aboudi, administrateur de la Ligue. "Et on se rend compte que de plus en plus de freins limitent l’accès à la justice. On se demande quelque part si ce n’est pas pour décourager tout citoyen d’agir."

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Mehdi Aboudi : "Le manque de magistrat ne serait-il pas une volonté politique ?"

La reconnaissance faciale est aujourd’hui à portée de car toutes les caméras de surveillance peuvent potentiellement être dotées d’un logiciel de reconnaissance faciale. Pour utiliser la reconnaissance faciale, il ne faut que trois éléments : des caméras, un logiciel de reconnaissance faciale et une ou plusieurs bases de données. En Belgique, aucune loi n’encadre l’usage de la technologie de la reconnaissance faciale. Et pourtant selon une recherche menée par la KULeuven3 en Flandre et en région bruxelloise, au moins 5 zones de police locale sur 86 répondantes, disposaient de la reconnaissance faciale en 2021, l’une d’elle affirmant même l’utiliser “souvent à très souvent”. En région bruxelloise, des zones de police utilisent notamment le logiciel “BriefCam”, de la société israélienne du même nom, pour analyser, au moyen d’algorithmes, les images des caméras qui filment l’espace public bruxellois. La société BriefCam propose aussi un système de reconnaissance faciale, compatible avec une partie du réseau de caméras à Bruxelles. Il n’y a donc plus de frein “technique” au déploiement de la reconnaissance faciale et une volonté politique forte d’en faire usage dans un futur proche. 
Aline Wavreille nous secoue avec son reportage en deux parties : « Fuyez,vous êtes filmés … et identifiés », produit par la Ligue des droits humains, avec 7 autres associations.

ligue des droits humains

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Tendances Première : Le Dossier
Placement des enfants dans le cadre du Festival des Libertés, le Procès fictif

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Un casseur doit-il pouvoir continuer à manifester ?
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Par Ouï-dire
Fuyez, vous êtes filmés... et identifiés, 1e partie

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Tendances Première : Le DossierPlacement des enfants dans le cadre du Festival des Libertés, le Procès fictif

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Un casseur doit-il pouvoir continuer à manifester ?C'est vous qui le dites

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Ceci n'est pas un selfieClaire Marie Lievens, comédienne et juriste au service de la démocratie

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