Olivier Bruneau, "Dirty Sexy Valley", Le Tripode. Un roman qui rend hommage au slashers et autres films "survivalist"…

Entrez sans frapper

Michel Dufranne et son coup de coeur "Dirty Sexy Valley"

L'H.É.R.O.Ï.N.E. de Juliette Goudot : l'autrice italienne Goliarda Sapienza pour la publication de ses « Carnets » (Le Tripode).

En 1976, Goliarda Sapienza en a fini avec l'écriture de L'Art de la joie : dix ans de sa vie viennent de trouver leur conclusion. Réduite à une grande précarité financière, l'écrivaine ressort de cette aventure épuisée.
Commence alors pour elle, tout d'abord de façon anodine, le projet d'écrire au fil des jours ses pensées dans un carnet. Ce qu'elle ignore, c'est qu'elle poursuivra ce projet durant vingt ans, jusqu'à sa mort en 1996, remplissant ainsi près de 8 000 pages réparties sur plus d'une quarantaine de carnets.

Et c'est un chemin de vie, fuyant l'arrogance des certitudes, qu'elle choisit d'emprunter et que l'on voit se dessiner au gré des pages, à mille lieues de toute sensiblerie : « Si tu ne travailles pas, ça veut dire que tu es une conne comme tant d'autres, qui lisent des choses, en tirent des idées de vie positives et puis n'en font rien. Et toi, Goliarda, l'histoire de Modesta, tu l'as lue, ou pas ? Apprends d'elle, et suis ton chemin. » (Carnets, janvier 1979)
Exceptionnel par son ampleur et sa vérité, ce journal est désormais considéré comme l'autre grand chef-d'œuvre de Goliarda Sapienza.

L'autrice italienne Goliarda Sapienza et ses Carnets

Polar et littérature de genre avec Michel Dufranne avec un recueil de nouvelles belge excellentissime et un premier roman "social" français :

- Étienne Verhasselt, « L'Éternité, brève », Le Tripote
- Alexandre Labruffe, « Chronique d'une station-service », Verticales/Gallimard

Étienne Verhasselt et Alexandre Labruffe

Les sorties BD avec Xavier Vanbuggenhout :

- « La solitude du marathonien de la bande dessinée » de Adrian Tomine (Cornélius) 
- « Jusqu'ici tout allait bien... » de Ersin Karabulut (Fluide Glacial)
- « Tout va bien mon lapin ? » de Didier Paquignon (Le Tripode)

Le grand retour d'Adrian Tomine dans les sorties BD

Le lauréat du PRIX PREMIÈRE 2021 est Dimitri Rouchon-Borie pour son premier roman, Le Démon de la Colline aux Loups, publié aux éditions Le Tripode.

Son livre a été choisi par un jury composé de dix auditeurs.trices de La Première parmi une sélection de dix premiers romans proposés par un comité de professionnels du livre. Le journal d’un homme à l’enfance violée. Une prose vertigineuse. Un premier roman qui cherche la lumière au coeur des ténèbres.

“Depuis sa prison, un homme nous raconte ce que l’on se refuse à concevoir : une enfance violée. Devenu un adulte empli de douleur et de rage, il découvre la puissance de l’écriture et sa vertu libératrice. Dimitri Rouchon-Borie nous fait entendre l’un de ces êtres que rien ne semble pouvoir sauver et qui s’enfoncent dans une nuit pleine d’ombres sauvages. Une nuit dont l’auteur cherche la lumière avec intelligence et sans fausse pudeur.”
(Laurent Dehossay et les jurés du Prix Première 2021)

Prix Première

Dimitri Rouchon-Borie, lauréat du Prix Première 2021

Dimitri Rouchon-Borie pour son premier roman "Le Démon de la Colline aux Loups" (Le Tripode), Prix Première 2021.

Il sera en rencontre dans le cadre de la Foire du Livre avec Florence Aubenas, le lundi 10 mai à 20h00 sur flb.be.

Un homme se retrouve en prison. Brutalisé dans sa mémoire et dans sa chair, il décide avant de mourir de nous livrer le récit de son destin.
Écrit dans un élan vertigineux, porté par une langue aussi fulgurante que bienveillante, Le Démon de la Colline aux Loups raconte un être, son enfance perdue, sa vie emplie de violence, de douleur et de rage, d'amour et de passion, de moments de lumière... Il dit sa solitude, immense, la condition humaine.

Foire du Livre : Dimitri Rouchon-Borie, Prix Première 2021

Le PRIX PREMIÈRE récompense un premier roman francophone. Ce prix s’est imposé en 16 ans comme une des récompenses majeures en littérature belge francophone. Il est doté de 5.000€ et a été remis par Jean-Paul Philippot, administrateur général de la RTBF, ce jeudi 17 mars 2022.

Il a été remis cette année à Mario Alonso pour son premier roman "Watergang" (Le Tripode).

Paul a douze ans et habite à Middelbourg, petit village perdu au milieu des polders. Il y vit avec sa mère, divorcée et contrainte de travailler dans un supermarché, et sa grande soeur, pas encore tout à fait sortie de l’adolescence mais déjà enceinte. Son père est parti refaire sa vie de l’autre côté de la mer. Rien de très folichon, en apparence. Mais Paul n’est pas un garçon comme les autres. Paul voudrait être écrivain. Il passe ses journées à courir le long des canaux, au bord de l’eau, et à remplir son carnet de notes
farfelues sur tout ce qu’il voit. Watergang est son histoire, celle de ceux qu’il aime, et de ce village niché au bout du monde.

Né en Espagne dans les années 60, Mario Alonso arrive en France et se destine à être handballeur professionnel. Il change bientôt d’avis et devient guitariste dans un groupe de New Wave, puis vendeur de manteaux de fourrures et photographe dans une agence publicitaire, avant de se tourner vers le livre. Il publie en 2021 Lignes de flottaisons, un recueil d’aphorismes rafraîchissants édité par Le Cactus inébranlable. Un second
opus est prévu en 2023. Aujourd’hui, l’auteur s’est fixé un nouvel objectif, écrire des romans paysages. Watergang est sa première vague.

Il a été remis à Mario Alonso pour son premier roman "Watergang" (Le Tripode)

Émission spéciale Prix Première 2022

La vie de Gio bascule le jour où il est trépané par un tourne-visse. Son histoire se poursuit en compagnie de deux amis, sur la route, comme un road movie un peu ovni.

Dimitri Rouchon-Borie au micro de Christine Pinchart

" L’homme aura pourtant entendu cent fois l’histoire de sa naissance. Où, quand, comment. L’heure à la minute près, la météo du jour, ce que faisait le père au moment où le téléphone a sonné pour lui demander de venir, oui, maintenant, ça ne peut pas attendre… Le père injoignable, le père inconnu. Le père inquiet qui était déjà là. La deuxième mère. Les deux pères présents pour l’accouchement. Les reconfigurations familiales, les originalités, les banalités. Il y a des anecdotes amusantes. Des pères qui perdent connaissance. D’autres moins amusantes, des abandons. L’homme a déjà à sa disposition une multiplicité quasi infinie de démarrages possibles. La genèse s’inscrit dans le sang, les chansons, la joie, les larmes. L’homme aurait dû avoir deux bras, deux jambes, il aurait dû respirer plus vite. On fait face, on fait avec ce qu’on a. "

La Book-Box de Lucile Poulain

"Parfois l'homme" de Sébastien Bailly

Roman de la condition masculine et de son agonie, Parfois l’homme nous invite au rire en revisitant toutes les étapes de vies désormais pathétiques, hésitantes, égarées. De la naissance à la mort, des premières craintes aux ultimes lâchetés, des émois adolescents aux dernières rancœurs, l’auteur note tout, nous rappelle tout, même les quelques moments de courage, de grâce, de doute : on a beau dire, vivre n’est jamais une mince affaire. Si seulement cela avait le moindre sens.

Sébastien Bailly est né près de Paris et a grandi à Rouen, où il vieillit maintenant. Ancien journaliste, il a notamment travaillé pour Ouest-France, Télérama et Libération, et est aujourd’hui formateur en communication. Admirateur de Perec, on lui doit d’avoir trouvé l’unique " e " qui s’était glissé par erreur dans une réédition de La Disparition. Il a écrit plusieurs ouvrages dont un essai, Les Zeugmes au plat (Mille et une nuits, 2011) préfacé par Hervé Le Tellier. Parfois l’homme est son premier roman.

Sébastien Bailly : "Parfois l'homme" (Le Tripode)

Prix Première 2024

Une émission spéciale en direct de la Foire du Livre de Bruxelles présentée par Laurent Dehossay, avec le lauréat, les jurés et le comité du prix, l’éditeur Frédéric Martin. 

Roman de la condition masculine et de son agonie, "Parfois l’homme" de Sébastien Bailly (Le Tripode) nous invite au rire en revisitant toutes les étapes de vies désormais pathétiques, hésitantes, égarées. De la naissance à la mort, des premières craintes aux ultimes lâchetés, des émois adolescents aux dernières rancœurs, l’auteur note tout, nous rappelle tout, même les quelques moments de courage, de grâce, de doute : on a beau dire, vivre n’est jamais une mince affaire. Si seulement cela avait le moindre sens.

Sébastien Bailly est né près de Paris et a grandi à Rouen, où il vieillit maintenant. Ancien journaliste, il a notamment travaillé pour Ouest-France, Télérama et Libération, et est aujourd’hui formateur en communication. Admirateur de Perec, on lui doit d’avoir trouvé l’unique " e " qui s’était glissé par erreur dans une réédition de La Disparition. Il a écrit plusieurs ouvrages dont un essai, Les Zeugmes au plat (Mille et une nuits, 2011) préfacé par Hervé Le Tellier. Parfois l’homme est son premier roman.

Sébastien Bailly, lauréat du Prix Première 2024 pour son premier roman "Parfois l'homme" (Le Tripode)

Sébastien Bailly, Prix Première 2024 pour son premier roman "Parfois l'Homme" (Le Tripode).

« L’homme aura pourtant entendu cent fois l’histoire de sa naissance. Où, quand, comment. L’heure à la minute près, la météo du jour, ce que faisait le père au moment où le téléphone a sonné pour lui demander de venir, oui, maintenant, ça ne peut pas attendre… Le père injoignable, le père inconnu. Le père inquiet qui était déjà là. La deuxième mère. Les deux pères présents pour l’accouchement. Les reconfigurations familiales, les originalités, les banalités. Il y a des anecdotes amusantes. Des pères qui perdent connaissance. D’autres moins amusantes, des abandons. L’homme a déjà à sa disposition une multiplicité quasi infinie de démarrages possibles. La genèse s’inscrit dans le sang, les chansons, la joie, les larmes. L’homme aurait dû avoir deux bras, deux jambes, il aurait dû respirer plus vite. On fait face, on fait avec ce qu’on a. »

Le talk-show culturel de Jérôme Colin. Avec, dès 11h30, La Bagarre dans la Discothèque, un jeu musical complétement décalé où la créativité et la mauvaise foi font loi. À partir de midi, avec une belle bande de chroniqueurs, ils explorent ensemble tous les pans de la culture belge et internationale sans sacralisation, pour découvrir avec simplicité, passion et humour.

Sébastien Bailly, Prix Première 2024 pour son premier roman "Parfois l'Homme"

"J'entends des voix" de Laurence Bibot : La voix du tram.

Sébastien Bailly, Prix Première 2024 pour son premier roman "Parfois l'Homme" (Le Tripode).

« L’homme aura pourtant entendu cent fois l’histoire de sa naissance. Où, quand, comment. L’heure à la minute près, la météo du jour, ce que faisait le père au moment où le téléphone a sonné pour lui demander de venir, oui, maintenant, ça ne peut pas attendre… Le père injoignable, le père inconnu. Le père inquiet qui était déjà là. La deuxième mère. Les deux pères présents pour l’accouchement. Les reconfigurations familiales, les originalités, les banalités. Il y a des anecdotes amusantes. Des pères qui perdent connaissance. D’autres moins amusantes, des abandons. L’homme a déjà à sa disposition une multiplicité quasi infinie de démarrages possibles. La genèse s’inscrit dans le sang, les chansons, la joie, les larmes. L’homme aurait dû avoir deux bras, deux jambes, il aurait dû respirer plus vite. On fait face, on fait avec ce qu’on a. »

À l'occasion de la sortie de "The Fall Guy" de David Leitch ce mercredi, un film sur l'histoire d’un cascadeur avec Ryan Gosling et Emily Blunt, on reçoit Olivier Bisback, acteur et cascadeur belge, doublure de stars comme JCVD, Benoît Poelvoorde et Gérard Depardieu.

Polar et littérature de genre avec Michel Dufranne : Une thématique très présente pour le moment en polar : technologies et contrôle social :

- Cyril Carrère, La Colère d'Izanagi, Denoël
- Sylvain Forge, Veritas, Fayard
- Benjamin Fogel, L'Absence selon Camille, Rivages/Noir

Le talk-show culturel de Jérôme Colin. Avec, dès 11h30, La Bagarre dans la Discothèque, un jeu musical complétement décalé où la créativité et la mauvaise foi font loi. À partir de midi, avec une belle bande de chroniqueurs, ils explorent ensemble tous les pans de la culture belge et internationale sans sacralisation, pour découvrir avec simplicité, passion et humour.

Sébastien Bailly/Olivier Bisback/Michel Dufranne/Laurence Bibot

Entrez sans frapper 22/04/2024

Au premier regard Ava a appris à juger un homme, et lui donne une note de 0/120 sur l'échelle du connard. Si cet homme obtient un minimum de 8 il finira, au cours d'une fellation, le sexe sectionné dans la bouche et la gorge tranchée.

Ava Weissmann au micro de Christine Pinchart

Spéciale Goliarda Sapienza, la comédienne et écrivaine italienne, athée et anarchiste, l'autrice de "L’Art de la Joie", morte avant de voir son œuvre reconnue.

On en parle avec Nathalie Castagné, romancière et traductrice de l'italien, traductrice officielle de Goliarda Sapienza en France et Frédéric Martin, fondateur et éditeur du Tripode, qui a découvert "L’Art de la Joie" alors que le livre n’avait jamais été publié en Italie et après la mort de Sapienza. Il est l’artisan de son succès en France et a publié l’intégralité de son oeuvre. C’est après ce succès en France que l’oeuvre de Sapienza a finalement été publiée en Italie puis dans près de 35 pays.

Le talk-show culturel de Jérôme Colin. Avec, dès 11h30, La Bagarre dans la Discothèque, un jeu musical complétement décalé où la créativité et la mauvaise foi font loi. À partir de midi, avec une belle bande de chroniqueurs, ils explorent ensemble tous les pans de la culture belge et internationale sans sacralisation, pour découvrir avec simplicité, passion et humour.

Spéciale Goliarda Sapienza avec Nathalie Castagné et Frédéric Martin

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le tripode

Michel Dufranne et son coup de coeur "Dirty Sexy Valley"
Entrez sans frapper

L'autrice italienne Goliarda Sapienza et ses Carnets
Entrez sans frapper

Étienne Verhasselt et Alexandre Labruffe
Entrez sans frapper

Le grand retour d'Adrian Tomine dans les sorties BD
Entrez sans frapper

Dimitri Rouchon-Borie, lauréat du Prix Première 2021
Prix Première

Foire du Livre : Dimitri Rouchon-Borie, Prix Première 2021
Entrez sans frapper

Émission spéciale Prix Première 2022
Il a été remis à Mario Alonso pour son premier roman "Watergang" (Le Tripode)

Dimitri Rouchon-Borie au micro de Christine Pinchart
Dimitri Rouchon-Borie au micro de Christine Pinchart

"Parfois l'homme" de Sébastien Bailly
La Book-Box de Lucile Poulain

Prix Première 2024
Sébastien Bailly : "Parfois l'homme" (Le Tripode)

Prix Première 2024
Sébastien Bailly, lauréat du Prix Première 2024 pour son premier roman "Parfois l'homme" (Le Tripode)

Entrez sans frapper
Sébastien Bailly, Prix Première 2024 pour son premier roman "Parfois l'Homme"

Entrez sans frapper 22/04/2024
Sébastien Bailly/Olivier Bisback/Michel Dufranne/Laurence Bibot

Ava Weissmann au micro de Christine Pinchart
Ava Weissmann au micro de Christine Pinchart

Entrez sans frapper
Spéciale Goliarda Sapienza avec Nathalie Castagné et Frédéric Martin

le tripode

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Étienne Verhasselt et Alexandre LabruffeEntrez sans frapper

Le grand retour d'Adrian Tomine dans les sorties BDEntrez sans frapper

Dimitri Rouchon-Borie, lauréat du Prix Première 2021Prix Première

Foire du Livre : Dimitri Rouchon-Borie, Prix Première 2021Entrez sans frapper

Émission spéciale Prix Première 2022Il a été remis à Mario Alonso pour son premier roman "Watergang" (Le Tripode)

Dimitri Rouchon-Borie au micro de Christine PinchartDimitri Rouchon-Borie au micro de Christine Pinchart

"Parfois l'homme" de Sébastien BaillyLa Book-Box de Lucile Poulain

Prix Première 2024Sébastien Bailly : "Parfois l'homme" (Le Tripode)

Prix Première 2024Sébastien Bailly, lauréat du Prix Première 2024 pour son premier roman "Parfois l'homme" (Le Tripode)

Entrez sans frapperSébastien Bailly, Prix Première 2024 pour son premier roman "Parfois l'Homme"

Entrez sans frapper 22/04/2024Sébastien Bailly/Olivier Bisback/Michel Dufranne/Laurence Bibot

Ava Weissmann au micro de Christine PinchartAva Weissmann au micro de Christine Pinchart

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