l ile paradisiaque

L'Île Paradisiaque vous convie dans l'exil musical d'un invité. 
Artistes et journalistes se livrent à l'exercice cornélien de l'île déserte. 
Quelle musique emporteraient-ils dans leur retraite estivale, loin du bruit de la foule ? 
Retrouvez Camille De Rijck chaque jour de la semaine à midi.

Production et présentation : Camille De Rijck

Sur l'Île Paradisiaque du philosophe Jacques Rancière

L'île paradisiaque

Production et présentation : Camille De Rijck

Sur l'île paradisiaque de la soprano Sandrine Piau

Mariana Flores étudie le chant à l'Université de Cuyo en Argentine, avec Silvia Nasiff et Maria Teresa D'Amico. Elle se perfectionne ensuite à la Schola Cantorum Basiliensis avec Rosa Dominguez. 
Depuis quelques années, la flamboyante soprano s'est affirmée comme une interprète incontournable du répertoire baroque, prenant part à des productions lyriques à l'Opéra de Paris, au Grand Théâtre de Genève, à l'Opéra Comique (Paris) à l'Opéra de Dijon, au Festival d'Aix-en-Provence, au Teatro Colón à Buenos Aires. Elle travaille régulièrement sous la direction de Leonardo García Alarcón (dont elle partage la vie et deux enfants). Elle a aussi collaboré - entre autres - avec Sir John Eliot Gardiner, Christina Pluhar, Vincent Dumestre, Teodor Currentzis et Gabriel Garrido. 

Elle se produit dans les plus grands festivals du monde et a chanté sur tous les continents.
En Asie, en Europe et en Amérique du Sud avec, notamment, l'une des 60 représentations du Diluvio Universale de Falvetti de Cappella Mediterranea.
Elle a accompagné John Eliot Gardiner aux États-Unis avec son Orfeo/Vespers en 2016. Elle a également parcouru l'Australie avec l'Australian Brandenburg Orchestra.

A l'opéra ces 3 dernières années, vous avez pu l'apprécier dans El Prometeo de Draghi, La Finta pazza de Sacrati, Il Pallazzo Incantato de Luigi Rossi. 

En septembre 2020, le Festival d'Ambronay lui proposait un concert « à la carte » où le public choisissait les plus belles pièces extraites des récitals et des disques de Mariana : Le Donne di Cavalli, Sogno di una notte Veneziana, Héroines du Baroque Vénitien, Teatro dei sensi...

Au printemps 2021 les concerts ont repris. Mariana Flores a célébré comme il se doit les 100 ans d'Astor Piazzolla avec l'Orchestre Philharmonique de Radio France. 

En 2021 est sorti le disque Lamenti & Sospiri,  dédié à la musique de Sigismondo d'India en duo avec Julie Roset.
Elle vient d'enregistrer fin juin 2021 à l'Opéra royal de Versailles La Finta Pazza de Sacrati avec Cappella Mediterranea.

Sur l'Île Paradisiaque de la soprano Mariana Flores

Marie Datcharry débute le piano à l'âge de six ans. Elle étudie au Conservatoire de Bayonne, puis reçoit les précieux conseils de Jacques Rouvier à Paris, avant d'intégrer le Conservatoire royal de Bruxelles dans les classes de Jean-Claude Vanden Eynden (Licence), Dominique Cornil (Master) et Philippe Riga (Accompagnement). 

Lauréate de nombreux concours (Prix de la Dame des Aulnes en 2010, Concours Charlier en 2012, Prix « Coup de cœur » du Festival Musiq'3 en 2014, Prix du Patrimoine du Conservatoire royal de Bruxelles en 2016, Cap-Ferret Music Open et finaliste du Osaka International Music Competition en 2017), elle est également soutenue par la Fondation Vocatio. 

Elle se produit régulièrement en France (Festival Pablo Casals de Prades, Académie de musique française Michel Plasson), en Belgique (Théâtre royal de la Monnaie, BOZAR à Bruxelles) et à l'étranger (Ciclo Música de Cámara de l'UCAM de Murcia, Théâtre de la Poudrière de Neuchâtel, Lyceum Club de Genève, Grand Théâtre de Luxembourg, LacMus Festival Lago di Como, Bachfest de Leipzig). 

Marie se passionne pour l'accompagnement vocal et est sollicitée en tant que pianiste chef de chant sur plusieurs productions d'opéra (Iphigénie en Tauride, Carmen, Werther, Faust, L'Enfant et les sortilèges, Die Zauberflöte, La Bohème, Rigoletto, La Traviata, Macbeth, Cavalleria Rusticana, L'Occasione fa il Ladro, Il Barbiere di Siviglia, Le Téléphone de Menotti), d'opérette (Les Bavards, La Belle Hélène, Orphée aux Enfers d'Offenbach, Eine Nacht in Venedig de Strauss), mais aussi d'oratorio (Requiem de Fauré, Requiem et Messe en ut de Mozart, Messa di Gloria de Puccini, Petite Messe Solennelle de Rossini, Stabat Mater de Dvorak).

Marie Datcharry est accompagnatrice au Conservatoire royal de Bruxelles aux côtés de Jean-François Rouchon et Vincent David ainsi que dans le département chant de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, dirigé par José Van Dam.

Elle accompagne de nombreuses masterclasses, notamment celles de Benoît Mernier, Marie-Nicole Lemieux, Sophie Koch, Alain Garichot, Carlo Rizzi et Stéphane Degout. 

Depuis la saison 2017-2018, elle intervient régulièrement à La Monnaie/De Munt et prend part à plusieurs productions : Push d'Howard Moody, Jeanne d'Arc au bûcher d'Honegger, Is This The End de Jean-Luc Fafchamps, Tosca de Puccini. Elle donnera en mai 2022 La Voix Humaine de Poulenc dans le Grand Foyer de la Monnaie avec la soprano Margaux de Valensart.

Sur l'Île Paradisiaque de la pianiste Marie Datcharry

Sur l'ïle Paradisiaque de la soprano Julie Calbète

Sur l'ïle Paradisiaque de l'historien Jean-Noël Jeanneney

Sur l'Île Paradisiaque de Suzanne Micha, l'âme du Festival de Stavelot

Dès l'enfance, Raphaël Merlin, né en 1982, affirme en musique un désir de diversité. Il est diplômé des conservatoires de Clermont-Ferrand, Boulogne-Bt, CNSMD de Paris et Haute Ecole de Genève : violoncelle, piano, jazz, composition, puis direction d'orchestre, chacune de ces disciplines générant toujours une activité intense, dans un enrichissement mutuel. Une seule spécialisation : la polyvalence. 

En tant que chef, après de nombreuses expériences à la tête d'orchestres de chambre, il fonde en 2014 « Les Forces Majeures » incluant une multitude de quatuors et quintettes constitués. Cet ensemble dynamique et polyvalent (répertoire, création, jazz, projets invovants ...) reçoit immédiatement un succès international pour son disque Rossini (Aparté), réalisé sur mesure pour la mezzo Karine Deshayes et paru en 2016. Un second album, paraît en 2018 chez erato/warner classics, enregistré aux côtés du violoncelliste Edgar Moreau et comprenant les concertos de Gulda et d'Offenbach; parmis les partenaires de concerts de l'orchestre citons Nicholas Angelich, Sayaka Shoji, Sarah Nemtanu, Inva Mula, Florian Sempey, Amel Brahim-Jelloul, Marc Mauillon, Edgar Moreau, Jan Lisiecki ...

Raphaël Merlin a par ailleurs récemment dirigé l'Orchestre de l'Opéra de Rouen pour un projet « Création habitants », mené conjointement avec le chorégraphe Alban Richard, directeur du CCN, et l'Orchestre de l'Opéra de Vichy pour un Barbier de Séville de Rossini.

Au sein du Quatuor Ebène, (1er prix du concours international de l'ARD de Munich 2004), Raphaël reçoit les conseils d'Eberhard Feltz, du quatuor Ysaÿe, Gabor Takacs, Gyorgy Kurtag, joue sur les plus grandes scènes du monde, aux côtés de Mitsuko Ushida, Nicholas Angelich, Matthias Goerne, Natalie Dessay, Martin Fröst, Antoine Tamestit, Gautier et Renaud Capuçon, Nicolas Altstaedt...

Reconnu pour son ouverture sur tous les styles (pop, jazz, world) grâce notamment à des arrangements originaux, et menant une carrière tournée vers tous les publics, le quatuor est invité à jouer l'intégrale des quatuors de Beethoven en 2020 au Carnegie Hall de New York, ce qui l'amène à construire un tour du monde enregistré et filmé (dès 2019) qui veut témoigner de l'expérience intellectuelle et émotionnelle suprême que recèle ce sommet absolu de la littérature. Le Quatuor Ebène enregistre en exclusivité pour Erato/Warner Classics.

Ses œuvres incluent Eléa, concerto pour quatuor à cordes et orchestre, créé à Cracovie et Munich en 2011 par le Quatuor Ebène et le Klangforum Mitte Europa, Pas de Deux pour violon et violoncelle (2014, Concertgebouw Amsterdam), See : Sea & Seeds. Si !, concerto pour violoncelle et cordes (Lockenhaus Festival 2016) et  Passage-Eclair, octuor mixte (Paris, 2018).

Raphaël Merlin, violoncelliste du Quatuor Ebène

Green affectionne tout particulièrement l'opéra. La saison prochaine, elle rejoindra les scènes d'OperaZuid aux Pays-Bas, du Grand-Théâtre de Luxembourg, de la Monnaie et de l'Opera Ballet Vlaanderen. Elle y chantera respectivement, Gertrude dans Roméo et Juliette de Gounod, der Trommler dans der Kaiser von Atlantis de Ullmann, Suor Dolcina et la Seconda Sorella Conversa dans Suor Angelica de Puccini, ainsi que une Knappe & une Blumenmädchen dans Parsifal de Puccini, et enfin, elle sera l'une des solistes dans les Airs de Concerts de Mozart. Elle chantera également dans Ishango, l'Oratorio, avec le Choeur de Chambre de Namur, au Namur Concert Hall. Raphaële est ravie par ces prises de rôles.

On peut la découvrir dans le rôle-titre de « Maria de Buenos Aires » d'Astor Piazzolla, avec l'ensemble ZVEZDOLIKI. Le CD est paru auprès du label Antarctica en octobre 2018, et a été largement applaudi par la presse musicale.

Dotée d'un grand naturel et ayant un don inné pour la scène, Raphaële est rapidement repérée et invitée par le Théâtre Royal de la Monnaie, l'Opéra Royal de Wallonie, l'Opéra des Flandres, ainsi qu'au Palm Beach Opera en Floride.

En 2019/2020, elle a fait partie de l'ensemble Jeunes Solistes de l'Opéra des Flandres.

Elle a eu la chance de travailler avec des chefs d'orchestre renommés tels que Alain Altinoglu, Bassem Akiki, Evelino Pido, David Stern, Antonio Fogliani, Guy Van Waas, et des metteurs en scènes comme Ivo Van Hove, Damiano Michieletto, Olivier Py, Alan Lucien Oyen, John de los Santos, Michael De Cock, Junior Mthombeni et Àlex Ollé. 

À l'aise dans les plus divers répertoires, l'artiste est régulièrement invitée à se produire dans le monde entier, tant avec des ensembles de musique ancienne que contemporaine. En témoigne la compagnie TRANSPARANT, qui l'invite à chanter Zefka dans « Journal d'un disparu » de Janacek dans une mise en scène d'Ivo van Hove à l'Opéra des Flandres. Ou encore, sa participation dans le rôle d'Antonia, dans la comédie musicale « L'Homme de la Mancha », une production portée par le KVS, La Monnaie & le Théâtre De Liège. Toutes les informations sur cette tournée ici.

Raphaële Green, mezzo-soprano

Né à Buenos Aires, Nahuel Di Pierro fait ses études à l’Institut artistique du Teatro Colón. Il a ensuite été membre du Studio de l’Opéra national de Paris et du Young Singer Project du Festival de Salzbourg. 

Il a interprété de nombreux rôles de Mozart tels que Masetto, Leporello (Don Giovanni), Sarastro (La Flûte enchantée), La Voix (Idomeneo), Figaro (Les Noces de Figaro), Guglielmo (Così fan tutte) et Osmin (L’Enlèvement au sérail). 

Son répertoire comprend par ailleurs Le Gouverneur (Le Comte Ory), Lord Sidney (Le Voyage à Reims), Assur (Sémiramis), Selim (Le Turc en Italie), Walter et Melchthal (Guillaume Tell), Basilio (Le Barbier de Séville), Haly et Mustafà (L’Italienne à Alger), Lorenzo (Les Capulet et les Montaigu), Alessio (La Somnambule), Léandre (L’Amour des trois oranges), Créon (Médée), Augure et Pluton (L’Orfeo de Rossi), Ferrando (Le Trouvère) et Colline (La Bohème). 

Il se produit également dans des répertoires tels que Le Messie, la Passion selon saint Jean, le Stabat Mater de Dvořák, la Messe du Couronnement et la Messe en ut, le Requiem de Mozart, L’Enfance du Christ de Berlioz, le Stabat Mater de Rossini et la Messe en mi bémol majeur de Schubert. 

Ses engagements récents et à venir incluent Selim (Le Turc en Italie) à Glyndebourne et à l’Opernhaus de Zurich, ses débuts au Bolchoï dans le rôle de Leporello (Don Giovanni), Cithéron (Platée) à l’Opéra national de Paris, Le Gouverneur (Le Comte Ory) à Monte-Carlo, Claudio (Agrippina) à Drottningholm, le Requiem de Mozart à Valence, Méphistophélès (La Damnation de Faust) avec l’Orchestre national de France et les Wiener Symphoniker, Osmin (L’Enlèvement au sérail) pour l’Opernhaus de Zurich et le Grand Théâtre de Genève, Assur (Sémiramis) pour le Festival Rossini de Pesaro, Cadmus et Somnus (Semele), Selim (Le Turc en Italie) à l’Opernhaus de Zurich et Ercole Amante à l’Opéra Comique, Figaro (Les Noces de Figaro) au Grand Opéra de Houston et Gottardo (La Pie voleuse) au Theater an der Wien.

Production et présentation : Camille De Rijck

Nahuel Di Pierro, basse (depuis le Festival Rossini de Pesaro)

Jérôme Giersé est programmateur musical, organiste et marin.

Jérôme Giersé, directeur de Bozar Musique

Peter de Caluwe, directeur de La Monnaie

Laëtitia Huberti, figure culturelle de la RTBF

Thibaut Lenaerts obtient ses premiers prix de chant chez Greta DeReyghere au Conservatoire royal de Liège et Thierry Migliorini au Conservatoire royal de Mons. Il chante en soliste sous les directions de W. Christie – Les Arts Florissants, H. Niquet – Le Concert Spirituel mais aussi Guy Van Waas, Leonardo Garcia Alarcon, Louis Langré, Jean Tubéry ainsi que Patrick Davin.
Il chante sous la direction de Marc Minkowsky, Frider Bernius, Philippe Hereweghe…
Apprécié comme concertiste et récitaliste, on le retrouve aussi sur les scènes d’opéra telles que Bruxelles - La Monnaie, Liège, Rennes, Avignon, Reims, Versailles sous la direction entre autre de Christophe Rousset.
Thibaut Lenaerts est membre actif du Chœur de chambre de Namur en temps que chanteur mais également en temps que préparateur de l’ensemble.
Il est nommé depuis 2014, assistant du chef Leonardo Garcia Alarcon.
Avec les Arts Florissants, il parcoure le monde ; Rio, New York, Chicago, Los Angeles, Singapour, Moscou, Tokjo, Hong Kong, Istanbul…
Il travaille avec des metteurs en scène tels que Robert Carsen, Frédéric Dussenne, Luc Bondy, José Montalvo, Deborah Warner…
Thibaut Lenaerts enseigne aux Conservatoires royaux de Bruxelles et de Liège.

Thibaut Lenaerts, ténor

Médaille du Gouvernement à l’âge de 15 ans, Elsa de Lacerda gagne le concours du Crédit Communal et joue, quelques mois plus tard en soliste avec l’Orchestre Royal Philharmonique de Liège. Elle intègre ensuite la classe de Endré Kleve au Conservatoire de Bruxelles où elle remporte cinq Premiers Prix avec Grande Distinction. Elsa de Lacerda s’adonne à une autre passion : celle du journalisme musical. Productrice et présentatrice sur Musiq3 pendant 13 ans, elle présente le Concours Reine Elisabeth de violon et produit une émission d’actualité musicale. En 2005, elle fonde le Quatuor Alfama qui se produit notamment à Flagey, Cité de La Musique, Philharmonie du Luxembourg, etc.

Elsa de Lacerda, violoniste

On peut sans conteste affirmer que sa carrière artistique débute en 1989 en participant au concours "jeunes solistes" de la RTBF où il obtiendra le deuxième prix, mais surtout le prix des téléspectateurs avec une majorité absolue.

"Jamais, je n'ai entendu de l'accordéon joué comme cela" était le leitmotiv qui a commenté ses prestations tout au long des différentes épreuves du concours.

Au-delà d'une grande technique et d'un style poétique d'une étourdissante richesse, Christophe révèle au grand public un répertoire que peu de gens imaginent à l'accordéon avec des pièces "classiques" écrites pour l'instrument et notamment le concerto n°1 de Nicolaï Tchaikin qu'il interprétera en final du concours avec l'orchestre symphonique de la RTBF.

L'année suivante, il représentera la Belgique au cinquième concours EUROVISION des jeunes musiciens organisé à Vienne et jouera avec l'orchestre symphonique de la radio Autrichienne dans la salle mythique du MUSIKVEREIN, retransmis en direct par 23 chaînes de télévision.

Christophe à été invité à plusieurs reprises par L'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (A. Piazzolla), l'ensemble "musiques nouvelles" (D. Janssens, R. Lazkano, P. Bartholomée, J.P. Dessy), Le Brussels Philharmonic (Film Fest Gent, N. Piovani) ou encore l'Orchestre National de Belgique (S. Gubaidulina, J-M. Rens, A. Piazzolla).

Depuis 2004, il est membre fondateur d'ASTORIA et se spécialise dans l’interprétation de la musique d'Astor Piazzolla.

Avec ses autres formations, il "s'amuse" à faire découvrir les différentes palettes sonores qu'offre l'accordéon et propose ainsi des répertoires et styles musicaux très variés en passant par le Tango, le Baroque, le Classique, les grands airs d'Opéra, la musique contemporaine, la Musiques du monde, le Jazz et la chanson pour enfants.

Production et présentation : Camille De Rijck

Christophe Delporte, accordéoniste

Diplômé du Conservatoire Royal de Liège, Pierre Doyen parfait sa formation au Royal College of Music – Benjamin Britten International Opera School. Après des débuts remarqués dans Riders to the Sea à l’Opéra Studio de La Monnaie, dans La Serva Padrona, Angélique et Khovantchina sur notre scène, il se produit rapidement dans Don Giovanni, Lucrezia Borgia, Il Viaggio a Reims, Les Contes d’Hoffmann, Les Huguenots, L’Étoile, Faust… On l’entend également dans Monsieur Choufleuri, La Vie parisienne, La Veuve joyeuse, L’Homme de la Mancha, Pénélope… Il se produit régulièrement au Théâtre du Châtelet, à l’Opéra National de Paris, au Théâtre des Champs-Élysées, à l’Opéra de Monte-Carlo, à l’Opéra de Marseille, à l’Opéra Grand Avignon, au Théâtre du Capitole de Toulouse, au Covent Garden de Londres… Ces dernières saisons, il s’est illustré dans Carmen, La Fanciulla del West, Manon, Le Bal masqué, Madama Butterfly, ou encore Andréa Chénier. Familier de notre scène, nous l’avons entendu dans Marullo/Rigoletto, Mercutio/Roméo et Juliette, Lescaut/Manon, Jupiter/Orphée aux enfers, Zurga/Les Pêcheurs de perles, ainsi que dans les Messa di Gloria de Mascagni et de Puccini.

Production et présentation : Camille De Rijck

Pierre Doyen, baryton

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Sur l'Île Paradisiaque du philosophe Jacques Rancière

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Sur l'île paradisiaque de la soprano Sandrine Piau

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Sur l'Île Paradisiaque de la soprano Mariana Flores

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Sur l'Île Paradisiaque de la pianiste Marie Datcharry

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Sur l'ïle Paradisiaque de la soprano Julie Calbète

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Sur l'ïle Paradisiaque de l'historien Jean-Noël Jeanneney

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Sur l'Île Paradisiaque de Suzanne Micha, l'âme du Festival de Stavelot

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Raphaël Merlin, violoncelliste du Quatuor Ebène

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Raphaële Green, mezzo-soprano

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Nahuel Di Pierro, basse (depuis le Festival Rossini de Pesaro)

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Jérôme Giersé, directeur de Bozar Musique

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Peter de Caluwe, directeur de La Monnaie

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Laëtitia Huberti, figure culturelle de la RTBF

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Thibaut Lenaerts, ténor

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Elsa de Lacerda, violoniste

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Christophe Delporte, accordéoniste

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Pierre Doyen, baryton

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L'île paradisiaqueSur l'Île Paradisiaque du philosophe Jacques Rancière

L'île paradisiaqueSur l'île paradisiaque de la soprano Sandrine Piau

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L'île paradisiaqueSur l'ïle Paradisiaque de l'historien Jean-Noël Jeanneney

L'île paradisiaqueSur l'Île Paradisiaque de Suzanne Micha, l'âme du Festival de Stavelot

L'île paradisiaqueRaphaël Merlin, violoncelliste du Quatuor Ebène

L'île paradisiaqueRaphaële Green, mezzo-soprano

L'île paradisiaqueNahuel Di Pierro, basse (depuis le Festival Rossini de Pesaro)

L'île paradisiaqueJérôme Giersé, directeur de Bozar Musique

L'île paradisiaquePeter de Caluwe, directeur de La Monnaie

L'île paradisiaqueLaëtitia Huberti, figure culturelle de la RTBF

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L'île paradisiaqueChristophe Delporte, accordéoniste

L'île paradisiaquePierre Doyen, baryton

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Sur l'Île Paradisiaque du philosophe Jacques Rancière

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Sur l'île paradisiaque de la soprano Sandrine Piau

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Sur l'Île Paradisiaque de la soprano Mariana Flores

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Sur l'Île Paradisiaque de la pianiste Marie Datcharry

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Sur l'Île Paradisiaque de Suzanne Micha, l'âme du Festival de Stavelot

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Raphaël Merlin, violoncelliste du Quatuor Ebène

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Raphaële Green, mezzo-soprano

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Nahuel Di Pierro, basse (depuis le Festival Rossini de Pesaro)

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Jérôme Giersé, directeur de Bozar Musique

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Peter de Caluwe, directeur de La Monnaie

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Laëtitia Huberti, figure culturelle de la RTBF

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Thibaut Lenaerts, ténor

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Elsa de Lacerda, violoniste

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Christophe Delporte, accordéoniste

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Pierre Doyen, baryton