Il y a quelques jours, Hubert s'est livré à une petite expérience. Il est allé demander aux passants s'ils pouvaient dire où étaient les bureaux du Crédit Communal, de la Smap, du Sarma,... tous ces noms qui ont disparu il y a quelques années et à sa grande surprise beaucoup ignoraient qu'il y avait eu du changement. Car oui, c'est surprenant d'oublier que la SMAP est devenue Ethias ou que le Crédit Communal s'appelle aujourd'hui Belfius.

On n'est pas des Pigeons

Pourquoi les vieilles institutions changent-elles de nom?

on n'est pas des pigeons

Un sourire dans ce journal, celui de 24 enfants âgés de 6 à 14 ans. Ce sont des enfants placés en institution d'accueil. Ils ont découvert un nouveau bâtiment, un nouvel espace de vie qui a été construit à Charleroi grâce à la Fondation Papillon. Une fondation de bénévoles qui vient entres autres en aide à ces enfants.

JT 19h30

Charleroi : une maison pour les enfants placés

Retour en Belgique pour mettre à l'honneur une institution bien connue : l'ONE. L'office de la naissance et de l'enfance fête son centenaire. Aujourd'hui encore, il rend toujours bien des services à de nombreuses familles. Reportage de Kara Delrue et Nicolas Kekatos.

JT 13h

ONE : Un siècle d'accompagnement de la petite enfance

Le procès de la violence.

Conjugale, sexiste, discriminatoire, policière, institutionnelle,…  la violence est de plus en plus souvent dans les gros titres de l’actualité. "La violence en procès" est une conférence-fiction organisée par la Ligue des Droits Humains, en collaboration avec Bruxelles Laïque, dans le cadre du Festival des Libertés, le lundi 21 octobre au Théâtre National. Ce procès d’assises fictif est un dispositif unique. Le public y découvrira un mélange entre conférence et théâtre, expertise et humour, fond et forme. Il nous plongera dans un sujet d’une actualité brulante de manière inédite et démontrera qu’en matière de justice, rien n’est simple.

On en parle avec Pierre Arnaud Perrouty, directeur de la LDH, Claire Marie Lievens, juriste de la LDH et Cédric Tolley, délégué de communication sociopolitique chez Bruxelles Laïques.

Le procès de la violence

Tendances Première : DOSSIER

Chez Ecolo, on est favorable à la suppression des Provinces et du Sénat au profit d’une assemblée citoyenne. "Des réformes ont déjà été proposées mais il n’y a pas de majorité parce que certains partis politiques, comme le MR, bloquent."

QR le débat

Ecolo favorable à la suppression du Sénat et des Provinces

Un avis que partage le président du PTB Raoul Hedebouw. "Il faudrait refédéraliser une série de compétences pour plus de clarté", estime-t-il. "En Belgique, il y a trop d’institutions. Je ne suis pas fermé à une refusion des provinces. Par contre, si c’est pour couper une nouvelle fois dans le service public et dans les provinces, je ne suis pas d’accord."

Raoul Hedebouw (PTB) globalement favorable à la fusion des institutions politiques

"Nous avons beaucoup limité les financements des provinces en leur demandant de ne se concentrer que sur les fonctions de secours (pompiers, par exemple). Je pense qu’il serait intéressant que les provinces apportent aussi leur aide aux communes, notamment via un pool de juristes pour les marchés publics et l’économie circulaire. Les rassemblements de compétences sont plus utiles."

Christie Morreale favorable à une entraide entre les provinces et les communes

Qatargate : six mois après, le Parlement européen est-il mieux armé face à la corruption ? (S. Calderon - 06/06/2023)

Zeno Graton est le réalisateur du film "Le Paradis", premier long métrage pour ce jeune Belge formé à l'INSAS. 
Un film délicat et puissant à la fois sur la rencontre amoureuse entre deux jeunes adolescents dans un centre pour mineurs délinquants. 
Notre invité aborde par le biais de sa caméra les questions actuelles liées à l'identité de genre et aux orientations sexuelles. 
Il faisait partie cette année du jury de la Queer Palm au Festival de Cannes. "Le paradis" est sorti dans nos salles au printemps dernier. Film remarquable par son propos et par la musique du compositeur libanais Bachar Mar-Khalifé.

Zeno Graton, réalisateur du film: "Le Paradis"

Ceci n'est pas un selfie

Robert la Frite est déclaré en faillite (Charleroi matin 27/02/2024)

Nous sommes à la fin du Ier siècle de notre ère, à Rome. Le poète Martial évoque les spectacles qui attirent les foules. Certains très cruels rejouent les mésaventures d’Orphée démembré, de Prométhée enchaîné ou du bandit Laureolus, crucifié et donné en pâture à un ours. Parmi ces spectacles quelques-uns sont consacrés à Mucius Scaevola, un jeune héros du début de la République, qui se signala par un exploit, au cours duquel il sacrifia sa main, lors de la guerre contre les Etrusques au début du VI siècle av. J.-C. Martial écrit : « Ce qui aujourd’hui est un divertissement offert par l’arène de César, au temps de Brutus fut le comble de la gloire. Vois-tu comme elle étreint la flamme, cette main, et se délecte avec l’héroïsme de son châtiment ? Comme elle impose sa domination au feu tout étonné ? L’homme est à lui-même son propre spectateur, et la noble mort de sa main droite fait sa joie. » La main de Mucius Scaevola, on le voit, joue donc un rôle primordial dans ce que nous rapporte le poète. Il en va ainsi chez les Anciens pour qui cet organe revêt un état de supériorité. La main participe de la conception du pouvoir et de l’organisation de la société, en matière de droit, de religion, de hiérarchie. Elle est placée sous le regard des dieux. Elle est la morale même. La manus est une véritable institution qui nous permet de raconter une autre histoire de Rome. Sujets traités : Main,Rome, manus, institution, Martial,poète, Orphée, Prométhée, Laureolus, Mucius Scaevola, Etrusques, César, châtiment, droit, religion, morale Avec nous : Sarah Rey, maître de conférences à l’Université de Valenciennes. « Manus – Une autre histoire de Rome » ; Albin Michel.

La main, une institution à Rome

Un Jour dans l'HIstoire

Robert la Frite a rouvert ses portes!

À Hertain, près de Tournai, une structure d’accueil fonctionnait de façon pirate, dans l’illégalité. La justice a mis un terme à la situation avec une perquisition menée mercredi par une juge d’instruction et une mise sous scellés. Le centre "Les Aquarelles" hébergeait 26 adultes souffrant de troubles psychiatriques.

Soupçons de maltraitance à Hertain - L'institution "Les Aquarelles" sous scellés

Nous sommes le 13 juin 1926. En ouvrant le « Journal de Charleroi », on peut lire, dans la « Chronique régionale », ceci : « Depuis 15 jours, les bains-douches fonctionnent. Sous la surveillance du personnel enseignant et de l’infirmière scolaire, une fois par semaine, les enfants des écoles, à l’exception de ceux des écoles gardiennes, vont prendre leur bain. Comme il fallait s’y attendre, les débuts ont rencontré une légère opposition. Quelques rares parents, heureusement, toujours imbus de préjugés, ont interdit à leurs gosses de répondre à l’appel que leur a adressé leur maître d’école. Ces parents, qui font si aisément fi de l’hygiène et de la santé de leurs enfants, finiront, nous en sommes convaincus, par reconnaître leur erreur. Espérons que ce sera bientôt et que tous les enfants profiteront de la nouvelle institution. » Bien avant la généralisation de la salle-de-bain, en tant que pièce dédiée, dans la majorité des foyers, les bains publics ont été des solutions pensées pour rendre accessible au plus grand nombre le moyen de se laver, d’être propre. A l’heure de la précarisation des populations urbaines et de la consécration du droit à l’eau sans, toutefois en garantir l’accès, revenons sur leur conception depuis le milieu du XIXe siècle. Revenons donc sur l’histoire de notre corps, de notre intimité et des inégalités face à l’hygiène… Avec nous : Sophie Richelle, docteure en histoire à l’Université́ du Luxembourg. « Bains publics – Se laver en ville (1850/2000) » éd. de l’Université de Bruxelles.                                       
Sujets traités : Bains publics, salle-de-bain, hygiène, écoles, institution, foyer, bains publics

Bains publics : La propreté accessible

Un Jour dans l'Histoire

La chaîne de restaurants Lunch Garden va pouvoir poursuivre ses activités après l’accord conclu avec l’investisseur CIM Capital. Au total, 41 des 62 restaurants actuels resteront ouverts. Certains se retrouvent sans emploi, comme Myriam Cremer, travailleuse de chez Lunch Garden pendant plus de 30 ans.

institution

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institution

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