histoire racontee

C’est l’histoire d’une série de lettres et de celle qui les a écrites. Louise avait 14 ans et écrivait à sa prof de lettres. Nous sommes en 1942. En 1944, la jeune fille et sa famille sont déportées à Auschwitz. Les lettres dorment dans un lycée parisien, elles seront retrouvées par une professeure de mathématiques dans une armoire qu’elle rangeait ; c’est alors que la journaliste Stéphanie Trouillard entre en scène. Elle mène l’enquête et réalise en 2017 un webdocumentaire sur Louise Pikovsky. Louise sort de l’oubli ; ses lettres sont déposées au Mémorial de la Shoah à Paris. Stéphanie est venue avec une cousine de Louise, Claire, qui tout d’un coup renoue les morceaux de sa propre histoire.
'Si je reviens un jour, les lettres retrouvées de Louise Pikovsky', c'est un webdocumentaire et une BD par Stéphanie Trouillard et Thibault Lambert, Editions Des Ronds dans l’O.

Louise Pikovsky, la famille retrouvée, par Stéphanie Trouillard

Par Ouï-dire

Angela Davis ! À peine prononcé, ce nom fait surgir un emblème: une coupe afro, un poing levé et une vie en lutte. “Noire, femme et communiste” retrace son parcours, celui d’une femme qui a accompagné et transcendé le soulèvement du peuple noir américain dans les années 60-70. Elle grandit dans le sud des Etats-Unis, au milieu de la haine des blancs, sur une colline où les attentats à la bombe contre les familles noires sont monnaie courante. Elle y développera les bases d’une vie de résistance, sans jamais laisser la haine l’emporter. Réalisation, montage, création musicale: Guillaume Istace 
Voix pour la narration: Consolate Siperius 
Voix pour la traduction: David Manet, Marie Vennin, Guillaume Istace, Pierre Istace Production: Axolotl, Co-production: Théâtre National de la Fédération Wallonie-Bruxelles, RTBF, SONUMA

Noire, femme et communiste : Angela Davis

C’était le premier mai et la porte était ouverte sur le jardin. Comme souvent avec Veronika Mabardi, on avance par spirales, la conversation se noue, s’enroule, elle parle de son frère, qu’elle évoque dans son dernier récit, 'Sauvage est celui qui se sauve' (chez Esperluète). 
Ce sauvage est son frère venu tout petit de Corée, mais aussi tout autre qui cherche, brise des chaînes et se brise parfois lui-même. Comment substituer au mot projet le mot désir ? Veronika Mabardi reprend son livre en mains, lit comme elle parle, parle comme elle écrit. En mêlant l’anodin à la pensée, la poésie à la prose et l’oralité à l’écrit. Cela lui vient-il du théâtre qu’elle a pratiqué ? De cette écriture singulière qui permet aux genres littéraires de muter ? En tout cas, voilà un texte qui sort des rails, rend compte, évoque et convoque, chuchote et réclame, vibre et vit. 
Un entretien en deux parties, sur le fil, brodé avec Veronika Mabardi qui propose également les musiques.

Veronika Mabardi, Sauvage est celui qui se sauve - 1e partie

Elle vient de nous quitter : Andrée Geulen, une sainte laïque sans orgueil qui nous éclaire par sa présence d’esprit, son courage et sa lucidité. Décédée à 100 ans, le 21 mai 22, Andrée Geulen, institutrice non juive, a eu l’intuition de la justice quand bien peu l’avaient en partage… A elle seule, elle va organiser la sauvegarde de près de 3000 enfants juifs pendant la guerre, elle va les conduire, à partir de la Place du Jeu de Balle, où elle avait un centre d’accueil, les cacher, tenir un catalogue codé de leurs noms et adresses. 
Une réalisation de Pascale Tison
Photo : © OREL COHEN / Andrée Geulen-Herscovici dans la Salle des Noms de Yad Vashem (Jérusalem), le 18 avril 2007.

Andrée Geulen, une sainte laïque - 1e partie

C’est la deuxième partie de ce temps de rencontre avec la résistante Andrée Geulen. Elle nous a quittés le 22 mai dernier à l’âge de 100 ans. Andrée Geulen nous raconte comment les enfants juifs qu’elle a cachés étaient répertoriés dans 5 cahiers différents sous des noms codés. C’est le versant pratique de son action qu’elle passe ici en revue, avec sous les yeux, un album de photos et les 5 carnets. Elle nous explique aussi comment l’action du réseau était financée. 
Une réalisation de Pascale Tison

Andrée Geulen, une sainte laïque - 2e partie

Le narrateur est dans son petit appartement, face à la mer à Saint-Malo. Sur Le Sillon. Il désirait cela depuis longtemps : être ici, face à la mer et se lever tôt. C’est ce qu’il va raconter. Il est six heures du matin. Il écoute. Il regarde. Est-il enfermé ? Confiné ? Derrière la grande fenêtre la lumière, les strates, le lointain. Et il y a les personnages-silhouettes. Le narrateur les observe. Peu à peu ils entrent dans la pièce, la pièce de l’appartement et la pièce radiophonique, comme les promeneurs, les joggers, les surfeurs, comme le sable et les rochers. 
Ecriture, enregistrement, composition et réalisation Jean-Guy Coulange. Mixage Pierre Devalet. 
L'exposition de photographies, peintures, films de Jen-Guy Coulange a lieu du 12 juillet au 26 août 2022 au Sémaphore de la Pointe du Grouin à Cancale, France.

Sillon, un poème radiophonique de Jean-Guy Coulange - 2e partie

Transidentités et coming outs Histoires croisées à plusieurs voix. Des personnes témoignent de leur rapport aux identités de genres, aux normes et aux coming outs vécus. Qu’est-ce qu’ils ou elles auraient aimé/aimeraient entendre et dire ? « Ce que j’aurais aimé que l’on me dise » est un documentaire radiophonique, initié par Vinciane Zech, donnant la parole aux concerné·es à propos des transidentités. Réalisation Vinciane Zech Mixage Irvic D’Olivier Montage Irvic D’Olivier Prise de son Hélène Lamy Au RousseauVinciane Zech Musique originale : Isabel Rocher Halolalune production Avec le soutien de ACSR /FACR de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Ce que j'aurais aimé que l'on me dise, de Vinciane Zech

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histoire racontee

Par Ouï-dire
Louise Pikovsky, la famille retrouvée, par Stéphanie Trouillard

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Noire, femme et communiste : Angela Davis

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Veronika Mabardi, Sauvage est celui qui se sauve - 1e partie

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Andrée Geulen, une sainte laïque - 1e partie

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Andrée Geulen, une sainte laïque - 2e partie

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Sillon, un poème radiophonique de Jean-Guy Coulange - 2e partie

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Ce que j'aurais aimé que l'on me dise, de Vinciane Zech

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Andrée Geulen, une sainte laïque - 1e partie

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Sillon, un poème radiophonique de Jean-Guy Coulange - 2e partie

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Ce que j'aurais aimé que l'on me dise, de Vinciane Zech