guerre civile

Plus de 100 morts au Burundi

Au Venezuela, le Président Nicolas Maduro crie victoire au lendemain d'une élection gagnée d'avance, boycottée par l'opposition. Une élection sur fond de violences, de guerre civile. Rien que dimanche, jour de scrutin, 10 personnes ont perdu la vie.

JT 13h

Venezuela : un vote sur fond de guerre civile

Les grondements continus du conflit dans le pays ont conduit à une activité militaire effrénée dans de nombreuses régions du Sud Soudan depuis la proclamation son indépendance, il y a presque 7 ans.

Cette terrible guerre civile a laissé des étudiants incapables de retourner dans lors écoles, et ce depuis presque cinq ans.

Un accord de cessation des hostilités signé à la fin de 2017 interdit l'occupation d'écoles et exige des partis qu'ils se retirent des écoles qu'ils ont occupées.

Maurice Munir, le directeur d’école que l'on voit dans les images dit: "l'école n'a pas de matériel et il n'y a pas de fournitures, donc nos enfants sont assis à la maison parce qu'il n'y a pas d'enseignement pour eux".

Maintenant, les autorités locales dans la région promettent que des écoles comme celle-ci seront bientôt rouvertes, peut être même pour février.

Ecoles fermées au Sud Soudan

Le plus haut responsable politique des rebelles au Yémen a été assassiné dans une frappe de la coalition militaire menée par l'Arabie saoudite, ont annoncé lundi ces insurgés en menaçant de venger sa mort.

Il s'agit d'un coup très dur pour les rebelles Houthis en guerre contre le pouvoir du président Abd Rabbo Mansour Hadi aidé depuis mars 2015 par cette coalition de plusieurs pays commandée par le royaume saoudien, voisin du Yémen.

Le pays est toujours meurtri par les violences

Sur un autre front du conflit, des dizaines de personnes participant à une cérémonie de mariage ont été tuées ou blessées dimanche soir dans des frappes dans le nord-ouest du Yémen, présentées par les rebelles comme une nouvelle bavure de cette même coalition.

Celle-ci est intervenue au Yémen pour aider le pouvoir du président Abd Rabbo Mansour Hadi à stopper la progression des Houthis pro-iraniens qui s'étaient emparés de vastes pans du territoire dont la capitale Sanaa.

Trois ans plus tard, le pays est toujours meurtri par les violences, sans aucune solution politique en vue.

Le 19 avril, Saleh al-Sammad, chef du Conseil politique suprême de la rébellion, est "tombé en martyr" dans une frappe de la coalition sur la province de Hodeida (ouest), ont annoncé les rebelles dans un communiqué diffusé par leur agence de presse Saba.

C'est le plus haut responsable rebelle à être tué depuis le début du conflit. Son nom figurait sur une liste de 40 responsables Houthis dévoilée en novembre 2017 par l'Arabie saoudite qui a mis à prix leur tête avec des récompenses totalisant 440 millions de dollars.

Sammad a été remplacé comme chef du Conseil politique par Mehdi Hussein al-Machat, selon le communiqué.

Des sources gouvernementales yéménites ont confirmé, sous le couvert de l'anonymat, que "Sammad a été tué par une frappe de la coalition jeudi dernier dans le secteur de Brihi", au sud-ouest de la ville de Hodeida, chef-lieu de la province du même nom.

La coalition elle-même n'a pas commenté dans l'immédiat ces informations.

Assassinat du chef politique rebelle au Yémen, menaces de vengeance

Le chef de l'ONU a annoncé jeudi, à l'issue de consultations de paix sur le Yémen en Suède, une série d'accords entre belligérants pour faire provisoirement taire les armes dans plusieurs régions dévastées de ce pays au bord de la famine.

Conflit au Yemen : poignée de mains symbolique entre les belligérants

KOSOVO : STIMJE (bourgade du sud du Kosovo) : retour des premiers réfugiés albanais. Vue de la ville saccagée et pillée par les forces serbes. Aujourd'hui, STIMJE, est sous contrôle de l'OTAN, vue des chars en rues. RACAK (village où 41 personnes avaient été massacrées). Les habitants ont déserté les maisons. Vue de maisons saccagées. Les forces serbes sont parties mais l'OTAN n'est pas encore sur place ; la sécurité est assurée par les soldats de l'UCK. In situ de Christian DUPONT. Sur 2300 habitants, 100 seulement sont revenus, vue d'une femme qui fait sa lessive. Son mari, faisait partie de l'UCK et combattait l'armée serbe. Aujourd'hui, il a rejoint sa famille, interview de Hassan METUCHI. Interview de Hamide METUCHI, qui a été emprisonné par les Serbes, à leur retour, tout était saccagé. Vue du cimetière, lieu où ont été enseveli les 41 victimes du massacre de RACAK.

JT 15/06/1999

Reportage à Racak avant le déploiement de OTAN

Toujours sous le choc des attaques terroristes de Pâques, le Sri Lanka célèbre ce weekend le dixième anniversaire de la fin d'une guerre civile sanglante qui a coûté la vie à au moins 100.000 personnes, un conflit dont les cicatrices ne sont toujours pas refermées.Avant les cérémonies samedi, la sécurité a été renforcée dans le nord de l'île où vit la minorité tamoule, qui rassemble 2,5 des 22 millions d'habitants du pays à majorité bouddhiste.

Le Sri Lanka commémore le dixième anniversaire de la fin de la guerre civile (cérémonie à Colombo)

Le réalisateur César Diaz pour son film "Nuestras Madres", Caméra d'Or au Festival de Cannes 2019, qui représentera la Belgique aux Oscars.

Guatemala, en 2013. Le pays vit au rythme du procès des militaires à l'origine de la guerre civile. Les témoignages des victimes s'enchaînent. Ernesto, jeune anthropologue à la Fondation médico-légale, travaille à l'identification des disparus. Un jour, à travers le récit d'une vieille femme, Ernesto croit déceler une piste qui lui permettra de retrouver la trace de son père, guérillero disparu pendant la guerre. Contre l'avis de sa mère, il plonge à corps perdu dans le dossier, à la recherche de la vérité et de la résilience.

Entrez sans frapper

"Nuestras Madres", le film qui représentera la Belgique aux Oscars

Belfast, en Irlande du Nord, une ville déchirée par une guerre de religions, une ville où règne la ségrégation sociale. Après le décès en août 1976, de trois jeunes enfants, dans un accrochage entre soldats britanniques et l'IRA, des femmes catholiques et protestantes, luttent ensemble pour la paix. Paix et justice pour certaines, la paix tout simplement pour d'autres, les revendications varient selon l'appartenance sociale des militantes. Du côté de la classe ouvrière, catholiques et protestantes constatent que leurs problèmes sont finalement les mêmes.

Irlande du Nord, la paix des femmes

9000009

La Géorgie, une république du sud de l'ex-empire soviétique, république frontière, champ de bataille entre rénovateurs et conservateurs russes. La Géorgie est un Etat en miettes. Affaiblie par le conflit en Ossétie du Nord, humiliée par la défaite en Abkhazie, déchirée par la guerre civile, son économie est à genoux : les magasins sont vides, les écoles sont fermées faute de chauffage, le pain est devenu la seule nourriture pour beaucoup de Géorgiens et l'insécurité règne en maître. A tel point que le pays a été contraint de faire à nouveau appel à la Russie.

Géorgie : souvenirs du chaos

L'Hebdo

Le 16 septembre 2000, un attentat souffle deux immeubles et en endommage une dizaine d'autres à Volgadonsk, à quelque mille kilomètres au Sud de Moscou. Il fait 19 morts et des centaines de blessés. Les autorités russes accusent les indépendantistes tchétchènes : la guerre peut commencer. Cinq mois plus tard, à Volgadonsk, un terrain vague a remplacé les constructions soufflées. Dans les immeubles restés debout, les murs se lézardent, les crevasses s'agrandissent. La municipalité n'a pas d'argent et dans le coin, aucune usine ne fonctionne. Le maire a donc décidé que les habitants retourneraient dans leurs appartements endommagés. Mais ceux-ci refusent : manifestations, grève de la faim, les habitants érigent un campement de tentes : la contestation gronde. A quelques semaines des élections présidentielles, loin de Moscou et de ses luttes pour le pouvoir, Volgadonsk renoue avec la démocratie active....

Tchétchénie : les murs de Volgodonsk

Birmanie : vers une guerre civile ?

Le rêve n’a guère duré : trois mois après la première élection démocratique d’un président hutu, Melchior Ndadaye, est assassiné par des militaires tutsis. Sa mort plonge le Burundi dans la guerre civile. Un an plus tard, si le calme semble revenu, le pays est toujours en état de choc. En témoigne ce reportage de Jean-François Bastin et Isabelle Christiaens.

Burundi : le rêve évanoui

En 1963, des insurrections militaires fomentées par les officiers du FALN, des guérillas urbaines et rurales menées par des groupes d'extrême-gauche et soutenues par Cuba, ont mené le Venezuela au bord de la guerre civile. En ce mois de décembre 1963, l'action terroriste est poussée au maximum et de nombreuses fusillades éclatent à Caracas. C'est dans ce climat extrêmement tendu que Raul Leoni, candidat de l'Action Démocratique est sorti vainqueur des élections présidentielles du 1er décembre 1963. Ce reportage de Pierre Manuel est réalisé à Caracas et dans ses "ranchitos", ainsi que dans la Sierra De Falcon. Avec des interviews de Uslar Pietri, fondateur du Front national Démocratique, de Mariano Pierisalas, premier ministre et d'un dirigeant du MIR, mouvement de la gauche révolutionnaire.

Venezuela, entre Castro et les caudillos

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Nous sommes en 1782 . Dans un ouvrage intitulé « Esprit et génie de M. l’abbé Reynal », publié par l’abbé Hédouin. Guillaume-Thomas Reynal, né en Aveyron en 1713, est un historien proche des protestants qui a abandonné le sacerdoce et fréquente les salons littéraires où il s’est fait connaître comme apôtre de la liberté. Adversaire du colonialisme, dénonçant le despotisme et le cléricalisme, il écrit : « Les guerres civiles prennent leur esprit des causes qui les ont fait naître. Lorsque l’horreur de la tyrannie et l’instinct de la liberté mettent à des hommes braves les armes à la main, s’ils sont victorieux, le calme qui succède à cette calamité passagère est l’époque du plus grand bonheur. Toutes les âmes ont acquis de l’énergie et l’ont communiquée aux mœurs. Le petit nombre de citoyens qui ont été les témoins et les instruments de ces honteux troubles réunissent plus de forces morales que les nations les plus nombreuses. L’homme le plus capable est devenu l’homme le plus puissant et chacun est étonné de se trouver à la place que la nature lui avait marquée. Mais lorsque les dissensions ont une origine impure, lorsque les esclaves se battent pour le choix d’un tyran, des ambitieux pour opprimer, des brigands pour partager les dépouilles, la paix qui termine ces horreurs est préférable à la guerre qui les enfanta. » Qu’est-ce qu’une guerre civile ? La définition originelle en est « la guerre que se font les citoyens ». Qu’elle est son sens ? Quelles en sont les causes ? Existe-t-il un lien entre les guerres civiles d’hier et celles d’aujourd’hui ? Invité : Guillaume Barrera « La guerre civile » paru aux éditions Gallimard.

Comprendre la guerre Civile

Un Jour dans l'Histoire

Refuge au Tchad pour des exilés soudanais (LP 16/05/2023)

https://bff-service.rtbf.be/auvio/v1.18/mosaic/tag?tagSlug=guerre-civile-386283

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