Une enquête sur les traditions de l’imagerie populaire en milieu urbain et sur ses formes actuelles. En Wallonie, nous avons cherché ce qu’il restait d’un commerce d’images populaires, autrefois florissant et prospère, mais qui n’a néanmoins pas complètement disparu. Une imprimerie située dans le centre de Liège continue de fabriquer des vieilles images. Nous verrons des maisons transformées en véritables petits musées privés, mais où chaque objet a cependant conservé son âme, des quartiers liégeois qui, sans le pouvoir imaginatif des habitants, paraîtraient bien tristes, des artistes naïfs sculpteurs ou peintres.

Images et imagiers en région liégeoise

Folklore wallon

La « Supercherie » d’Anne-Sophie : LE JOURNAL DE GURTY, J’APPELLE PAS ÇA DES VACANCES, tome 8, de Bertrand SANTINI, éd. Sarbacane, 2020.
Victime de l’amour !

Pour ceux et celles qui ne seraient pas au courant, Gurty est une chienne. Gaspard, c’est son humain : il est gentil, joueur, fidèle et d’une propreté irréprochable ! Tous deux ont déjà vécu quelques aventures : Vacances en Provence, Parée pour l’hiver, Marrons à gogo, Printemps de chien, Vacances chez Tête de Fesses, Mes bébés dinosaures et Le fantôme de Barbapuces… Gurty a donc déjà livré bataille à des chats, des rats, des enfants… mais cette fois, dans le huitième tome du Journal de Gurty, elle va devoir combattre un ennemi plus sinistre encore… L’amour ! Dans le train qui conduit Gurty et Gaspard en Provence, ce dernier retrouve par hasard son ancienne fiancée, Myrtille, l’ennemie jurée de Gurty ! Lorsque Myrtille trouve le moyen de s’incruster dans leur maison de campagne, les vacances de Gurty promettent d’être agitées… La guerre entre Myrtille et Gurty est déclarée. Sous son apparente gentillesse, Myrtille dissimule un caractère jaloux et sournois, dont Gurty est la seule témoin. L’imagination de la fiancée diabolique est sans limite pour semer la zizanie entre Gurty, son humain et tous ses amis. La confrontation s’achèvera dans un feu d’artifice final, au propre comme au figuré, où le vrai visage de Myrtille sera révélé aux yeux de tous. Coloré et joyeux, idéal pour le 8-12 ans !

La Supercherie d'Anne-Sophie Delcour

"Le journal de Gurty : j'appelle pas ça des vacances" de Bertrand Santini

Graphiste, graveur, peintre, artiste performer, il aime l’idée de ne pas être catalogué. Les Bruxellois l’ont découvert dans les années 2000 à travers des stickers disséminés dans la ville, on y voyait des visages, des persos comme il les appelle. Quelques années plus tard, il investit le batiment Solvay à Ixelles quelques mois avant sa démolition annoncée… et il le recouvre de son art. Un travail gigantesque voué à la disparition. Le projet porte le nom de Remember/souvenir. 20.000 mètres carrés désafectés magnifiés par ses mots, peintures, dessins… Une aventure improbable qui va draîner plus de 20.000 visiteurs avant de s’évanouir dans la poussière des pelleteuses. Depuis, il continue son chemin d’artiste protéiforme ici et ailleurs dans le monde, où il peint sur les murs de nombreuses villes entre autres choses. Dans les Petits Papiers, il évoque son grand-père Lucien De Roeck, créateur du logo de l’Expo 58. Il raconte aussi les carnets qui l’accompagnent partout, son goût du noir et blanc, sa recherche des mots justes et le partage.

Denis Meyers, artiste graphiste : "J'ai toujours été attiré par les choses blessées"

Les Petits Papiers

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graphisme

Folklore wallon
Images et imagiers en région liégeoise

"Le journal de Gurty : j'appelle pas ça des vacances" de Bertrand Santini
La Supercherie d'Anne-Sophie Delcour

Les Petits Papiers
Denis Meyers, artiste graphiste : "J'ai toujours été attiré par les choses blessées"

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"Le journal de Gurty : j'appelle pas ça des vacances" de Bertrand SantiniLa Supercherie d'Anne-Sophie Delcour

Les Petits PapiersDenis Meyers, artiste graphiste : "J'ai toujours été attiré par les choses blessées"

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"Le journal de Gurty : j'appelle pas ça des vacances" de Bertrand Santini
La Supercherie d'Anne-Sophie Delcour

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Denis Meyers, artiste graphiste : "J'ai toujours été attiré par les choses blessées"