Le lancement du « Champ de l'Être, cuisine vivante et gourmande » ne s'est pas fait en un jour ! Il est le fruit d'un long cheminement mené par Aurélie Linckens, qui s'est étalé sur près de dix ans. Le Champ de l'Etre, est un art de vivre, une invitation à se (re)connecter à soi-même et à la Nature, une envie de participer au bien-être global à travers une alimentation écoresponsable.www.lechampdeletre.be

« Champ de l'Être, cuisine vivante et gourmande »

Tendances 1ère: Transition

Robert Colard nous propose de passer des réveillons respectueux de l’environnement, dans un esprit de Transition et surtout ... festifs ! Plus d'informations sur la page Facebook : "Gestes pour Maintenant" !

Passons des fêtes éthiques et durables !

Tendances Première : Inspiration

Liège Matin

Camatche : un atelier écoresponsable

Nathalie Peters, fleuriste depuis toujours, a rejoint le mouvement Slow Flowers Belgique en 2021. Après avoir travaillé de longues années au sein d’une grande pépinière, elle a eu envie de repenser sa manière de concevoir son métier, afin d’être en accord avec ses valeurs. "J’ai été sensibilisée à l’environnement grâce à mes filles. Elles revenaient de l’école en disant qu’on devait tendre vers le zéro déchet et limiter notre consommation de plastique pour préserver notre planète. Ça a créé un véritable déclic. Je me suis alors demandé ce que je pouvais faire, dans mon métier, pour contribuer à l’effort collectif."

La première année, Nathalie s’est contentée de confectionner des bouquets avec des fleurs provenant de producteurs Bruxellois. "Mais faire le trajet entre Baelen et Bruxelles chaque semaine n’était pas très écologique. Financièrement, ça me coûtait plus cher. Et puis, l’envie de confectionner des bouquets avec mes propres fleurs m’envahissait de plus en plus."

C’est ainsi qu’est né son projet Viens on sème. Dans son village, à Baelen dans la province de Liège, Nathalie dispose d’un petit coin de paradis. Un champ de 1000 m2 pour cultiver ses propres fleurs destinées à la vente dans sa propre boutique. "Mes premières fleurs apparaissent au mois d’avril. Des tulipes, des renoncules, des anémones, etc. Au mois de juin, ce sera le tour des pivoines, des bleuets. Et puis tout l’été, les annuelles." Nathalie a un plan de culture échelonné pour avoir des fleurs d’avril à octobre. Et pour passer l’hiver, elle propose majoritairement des fleurs séchées. "Je les cultive en été. Et puis, je les fais sécher dans ma chambre, mon salon, un peu partout. Ça me permet de proposer des couronnes de l’avent ou encore des bouquets de fleurs séchées pour la Saint-Valentin."

Les Ambassadeurs -chronique nature

Viens on sème

Depuis 7 ans, Alexandre Delepiere tient un petit atelier à Schaerbeek dédié à une seule fonction : nettoyer les paires de chaussures qui subissent les affres de la météo belge. Un projet unique et novateur qui séduit et se veut éco-responsable.

Vivre Ici - Prenons-en de la graine

Nettoyer ses chaussures plutôt qu’en racheter : c’est économique et écologique

Textile éco-responsable, matériaux recyclés, production limitée… De plus en plus d’artistes tentent de réduire leur empreinte carbone et d’adopter une démarche plus éthique pour leur merchandising. A l'image de la star flamande Pommelien Thijs, qui vient d'ouvrir son pop-up. Samy et Lou vous en parlent !

La news de Samy et Lou

Quand les artistes s’essaient au merchandising plus écoresponsable

Lucky Sweet est une marque belge de bonbons artisanaux créée en mars 2020 par Caroline Machoel et sa famille, dans leur maison de Floreffe (province de Namur). Né pendant le confinement, ce projet est devenu une véritable success story namuroise. Inspirée par ses enfants et leur idée de bonbons en forme de trèfle, Caroline a transformé un simple passe-temps en une entreprise engagée.

Avec l’aide du Smart Gastronomy Lab de Gembloux, la famille a mis au point une recette authentique et naturelle, à base de seulement cinq ingrédients : sucre, glucose, arômes naturels, colorants naturels et acide citrique. Leur démarche privilégie la qualité, la simplicité et un retour à des valeurs artisanales, loin des confiseries industrielles.

Mais Lucky Sweet, c’est aussi un projet solidaire. Chaque boîte contient un rare bonbon en forme de trèfle à quatre feuilles, dont la découverte permet de reverser 50 centimes à des associations pour enfants en difficulté. Cette approche reflète l’engagement de Caroline envers les causes qui lui tiennent à cœur, tout en garantissant un futur professionnel pour son fils autiste.

Aujourd’hui, Lucky Sweet continue de se développer, distribué dans un nombre croissant d’épiceries locales et reconnu pour son authenticité et son impact positif. Avec ses bonbons porte-bonheur, la famille Machoel apporte douceur et espoir à chaque gourmand.

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Les Ambassadeurs : Ensemble pour la Planète
Les Bonbons Luckysweet fait maison en famille

Les Ambassadseurs, "chronique ensemble pour la planète"
Les Bonbons Luckysweet écoresponsables

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