Après un début de mandat mené tambour battant, le président américain prononcera ce soir son premier discours de politique générale devant le Congrès. Il y défendra sa gestion de la crise sanitaire et son gigantesque plan de relance. Certains le surnomment déjà le nouveau Roosevelt. On décrotique le bilan de Joe Biden sur le plateau de CQFD avec Kirsten Maher, membre de "Democrats Abroad" en Belgique, Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgique, chargé de cours à l'UCLouvain, et Philippe Hensmans, directeur d'Amnesty International Belgique.

Philippe Hensmans, directeur d'Amnesty International Belgique

Le film est né de la rencontre de la réalisatrice avec Melati, une jeune Indonésienne qui milite depuis qu’elle a 12 ans, et combat la pollution  plastique qui ravage son pays. Avec Melati, 18 ans aujourd’hui, elles vont aller à la rencontre d’autres jeunes préoccupés par l’avenir de la planète, et surtout de l’être humain. Memory au Malawi, éduque les femmes à refuser le mariage forcé à 15 ans. Mary en Grèce, sauve les migrants qui arrivent sur des embarcations de fortune, avec des gilets de sauvetage remplis de carton d’emballage. Winnie en Ouganda, instaure la permaculture et soigne la terre polluée par des années d’agriculture intensive. René, Xiu, Mohamad, tous luttent pour les droits humains, la liberté d’expression, le droit de manger, d’être éduqué, d’être en sécurité. Une jeunesse combative, qui nous donne des clés pour lire le monde.

l'interview de Christine Pinchart

Rencontre avec Flore Vasseur

Comment concilier la préservation des droits humains, le bien être des sociétés, sans dépasser les limites planétaires ? C’est la question qui a conduit l’économiste britannique Kate Raworth à développer l’économie du Donut. Pour elle, pour tendre au bien être de nos sociétés, il faut inscrire notre économie dans « un espace juste et sûr » situé entre un plancher social et un plafond environnemental. Dans cet épisode on prend le temps de comprendre le concept avec Kate Raworth et de le situer dans l’évolution de la science économique en compagnie de Géraldine Thiry (professeure à l’Ichec et à l’UCLouvain).

Le Donut, boussole économique pour demain?

Déclic - Le Tournant

Thierry Vangulick : campagne pour défendre les défenseurs des droits humains victimes de harcèlement

À 23 ans, Wassim Hallouka est déjà un visage connu de la lutte contre le racisme. Il a remporté le Prix Amnesty Jeunes des droits humains. Ce jeune Bruxellois s'est engagé en faveur d'un rappel qui semble pourtant élémentaire : ne déshumaniser ni les 30.000 victimes palestiniennes, ni le millier de victimes israéliennes du dernier épisode en cours du conflit israélo-palestinien.

Vews

Wassim se bat contre la déshumanisation des civils

Des caméras de surveillance il y en partout .De là à ce qu’elles deviennent des outils de reconnaissance faciale , il n’y a qu’un tout petit pas . Toutes les caméras de surveillance peuvent potentiellement être dotées d’un logiciel de reconnaissance faciale. Pour utiliser la reconnaissance faciale, il faut seulement trois éléments : des caméras, un logiciel de reconnaissance faciale et une ou plusieurs bases de données. En Belgique, cette technologie n’est pas autorisée et doit être donc considérée comme illégale et interdite. Mais Bien que non autorisée, il existe une volonté politique de lui fournir un cadre légal. Selon une recherche menée par la KULeuven3 en Flandre et en région bruxelloise, au moins 5 zones de police locale sur 86 répondantes, disposaient de la reconnaissance faciale en 2021, l’une d’elle affirmant même l’utiliser “souvent à très souvent”. En région bruxelloise, des zones de police utilisent notamment le logiciel “BriefCam”, de la société israélienne du même nom, pour analyser, au moyen d’algorithmes, les images des caméras qui filment l’espace public bruxellois. La société BriefCam propose aussi un système de reconnaissance faciale, compatible avec une partie du réseau de caméras à Bruxelles. Il n’y a donc plus de frein “technique” au déploiement de la reconnaissance faciale et une volonté politique forte d’en faire usage dans un futur proche. 
Aline Wavreille nous secoue avec son documentaire produit par la Ligue des droits humains : Fuyez, vous êtes filmés et identifiés ! 
C’est la deuxième partie d’un reportage qui en compte deux. Avec un entretien avec Rémy Farge, collaborateur à la Ligue des Droits Humains

Fuyez, vous êtes filmés... et identifiés !, deuxième partie

Par Ouï-dire

A la veille du début des élections législatives ce 19 avril en Inde, le bilan du gouvernement de Narendra Modi est amer : les libertés ont été restreintes, les droits humains sont niés et la liberté de la presse régulièrement bafouée...

La restriction des libertés en Inde

Transversales

L'UE va interdire les produits issus du travail forcé : la co-rapporteure Maria-Manuel Leitão-Marques (23/04/2024)

L'Institut Fédéral des Droits Humains a publié son rapport ce 22 mai. Dans celui-ci, l'institut pointe la régression de l'état de droit en Belgique, ce qui "constitue un danger pour la démocratie", selon sa directrice Martien Schotsmans.

Martien Schotsmans: "L'état de droit est en régression en Belgique"

A Bruxelles, le premier centre d'accueil réservé aux demandeurs d'asile LGBTQIA+ vient d'ouvrir. Ces personnes sont victimes de discriminations et parfois de violences dans leur pays d'origine mais aussi dans les autres centres d'accueil.

Un centre d'accueil pour demandeurs d'asile LGBTQIA+

Bulletin d'information

Johanna de Tessières - Elle a photographié entre autres des mères violées dans l'est du Congo, des réfugiés yézidis, des migrants secourus en Méditerranée... mais aussi des femmes qui s'affranchissent des clichés en jouant au foot. Johanna de Tessières collabore régulièrement avec les ONG et la presse. Ses thèmes de prédilection sont liés aux droits humains. Habituée à se rendre dans les zones de conflit, elle y documente les conséquences sur les populations civiles, y compris les migrations. Depuis 2019 elle co-anime des projets photos et d’éducation aux médias à la maison des cultures de Molenbeek.

Johanna de Tessières - Photographier les droits humains

Ceci n'est pas un Selfie

Elle a photographié entre autres des mères violées dans l'est du Congo, des réfugiés yézidis, des migrants secourus en Méditerranée... mais aussi des femmes qui s'affranchissent des clichés en jouant au foot. Johanna de Tessières collabore régulièrement avec les ONG et la presse. Ses thèmes de prédilection sont liés aux droits humains. Habituée à se rendre dans les zones de conflit, elle y documente les conséquences sur les populations civiles, y compris les migrations. Depuis 2019 elle co-anime des projets photos et d’éducation aux médias à la maison des cultures de Molenbeek.

droits humains

Philippe Hensmans, directeur d'Amnesty International Belgique

Rencontre avec Flore Vasseur
l'interview de Christine Pinchart

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Johanna de Tessières - Photographier les droits humains

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Johanna de Tessières: Photographier les droits humains

droits humains

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Ceci n'est pas un SelfieJohanna de Tessières - Photographier les droits humains

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