Doa pour son premier roman graphique "La ligne de sang" (Les Arènes BD), adapté de son roman éponyme publié chez Folio.

Lyon, automne 2003. Banal accident de la route à la Croix-Rousse. Les officiers de police Marc Launay et Priscille Mer se rendent sur les lieux. Un motard, Paul Grieux, est dans le coma. Aussitôt, la victime les intrigue.
Aucune adresse à son nom. Aucun proche à avertir. Et surtout son ex-compagne, Madeleine Castinel, a disparu ce soir-là et reste introuvable.
Commence alors une enquête troublante sur fond d'ésotérisme et de magie noire, qui va plonger les policiers dans l'horreur.

Entrez sans frapper

DOA immerge le lecteur en Seine-Saint-Denis, dans le quotidien des acteurs du trafic de came, où petits et gros caïds se font la guerre. DOA (le pseudo de Hervé Albertazzi) écrit dans un style brut qui colle de près à cet univers de violence et de solitude. Les scènes d'action sont réglées au millimètre près et l'auteur jongle avec différents styles de langage. L'écriture de DOA est dense, fouillée, très documentée. Il émane de ce roman policier une énergie sans pareil. 

DOA est romancier et scénariste. Après "Citoyens clandestins", "Le serpent aux mille coupures" et le diptyque "Pukhtu", "Rétiaire(s)" est son 5e roman. Les rétiaires sont des gladiateurs romains redoutables qui finissaient, la plupart du temps, morts dans l'arène. Les personnages de DOA sont, eux aussi, au bord du gouffre.

Sous couverture avec DOA

DOA « Rétiaire(s) »

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DOA « Rétiaire(s) »
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DOA « Rétiaire(s) »Sous couverture avec DOA

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