Ils sont en tous cas nés en Wallonie, dans la "clean room" de l'UCL! Les chercheurs du laboratoire de l'institut d'électronique et de télécommunications et de mathématique ont en effet, il y a une dizaine d'années, mis au point des micro capteurs permettant la captation de data pour la téléphonie mobile. Ils en ont le brevet et travaillent à l'augmentation de la capacité de ces capteurs pour la 6 G et au delà!

On n'est pas des pigeons !

Les capteurs 3,4,5 G dans vos smartphones sont wallons

Les données personnelles que nous laissons chaque fois que nous utilisons notre téléphone ou un ordinateur valent de l'or. Une application française TADATA propose de rémunérer ses utilisateurs qui partageraient leurs données… Elle vise surtout les jeunes pour qu’ils se fassent de l'argent de poche. Le SCAN s'est interrogé sur cette application qui pose question.

Le Scan

Tadata : gagner de l'argent avec ses données personnelles

A quoi sont dus les bugs de la vaccination ? Est-on capable de faire face à une accélération de la cadence ? Le support informatique va-t-il tenir ? Dans le traitement des données des Belges, Frank Robben est incontournable.   Certains disent même omnipotent. Il est l’invité de « Matin Première »

Frank Robben dirige la société ‘Smals’, le bras informatique de l’Etat. Depuis le début de la crise, la Smals est au cœur de tout : la mise en place des bases de données Sciensano, le testing, les call centers, le tracing… et maintenant, la vaccination. 
Une interview pour faire le point sur la gestion de ces différentes bases de données car les critiques fusent de toutes parts, du Conseil d’Etat à l’Autorité de Protection des données. 
Frank Robben (et ses multiples mandats) suscite, lui-même, la controverse.  D’un côté, il dirige des administrations qui gèrent les échanges de données. De l’autre, il contrôle la bonne utilisation des données par la force publique. Pour nombre d’observateurs, il y a là un conflit d’intérêts.

Frank Robben dirige la société "Smals", la boite informatique de l'administration belge

L'invité de Matin Première: Frank Robben, Monsieur "data" de l'Etat belge

La RTBF conçoit et développe des « algorithmes de service public ». Un « algorithme de service public » sert des objectifs vertueux et démocratiques. Ils sont respectueux du cadre juridique, conçus pour mettre en valeur la société plurielle belge francophone. Ils incitent le public à la découverte et à la curiosité dans la consommation de contenus médias.

Algorithme de service public

Lors de nos pérégrinations sur le net, les réseaux sociaux, tels de Petits Poucets, nous semons derrière nous de petits cailloux.
Des entreprises, appelées "data brokers", en français "courtiers en données", se sont spécialisées dans leur collecte et leur exploitation.
Olivier Tesquet est journaliste spécialisé dans le numérique, auteur du livre "A la Trace, enquête sur les nouveaux territoires de la surveillance". Voici comment il parle des data brokers :
"Ce sont des entreprises inquiétantes parce qu’elles évoluent loin de l’attention et de l’œil du public. Ils savent beaucoup plus de choses de nous que l’on ne sait de choses d’eux"
"Toutes les actions quotidiennes vont être horodatées, c’est-à-dire qu’elles vont laisser une trace numérique. Parfois, on n’est pas tout à fait conscient, justement, de tous ces petits cailloux qu’on sème derrière nous. Mais les data brokers ont pris une taille considérable, ils se sont mis à accumuler une quantité de données qui est proprement stupéfiante et qui, pour le commun des mortels, est assez difficile à se figurer. En fait, les data brokers aux Etats-Unis possèdent en moyenne entre 3.000 et 5.000 informations sur chaque Américain. Ça va de la marque de votre voiture, à ce que mange votre chien, la race de votre chien, vos habitudes de consommation, etc."

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