Un belge sur deux a un crédit en cours pour un montant moyen de 864 euros. La plupart du temps, c’est pour la maison qu’on emprunte, ou pour la voiture, mais de plus en plus, les Belges se mettent un crédit à dos pour financer des objets de consommation, type télévision, smartphone, électroménager, voire un voyage ou une fête. Il arrive aussi qu’on emprunte pour rembourser des impôts. C’est le résultat d’une enquête publiée aujourd’hui par Wikifin, la plateforme de conseil et d’éducation financière de l’autorité des services et marchés financiers pour la semaine de l’argent.

On n'est pas des pigeons

Votre crédit mérite réflexion

Un couple d'artisans se retrouve aujourd'hui devant les tribunaux pour faire valoir ses droits face à une banque namuroise. En cause: une erreur de la banque qui a choisi un crédit inadapté aux revenus du couple.

On n'est pas des pigeons !

En litige avec la banque CBC Namur... la galère

Cette semaine, les étudiants ont repris le chemin de l’université. Certains entament une nouvelle année avec des anciennes « casseroles ». Autrement dit, des cours ratés l’année précédente. Ils devront ainsi représenter ces examens, jusqu’à leur réussite. On appelle cela des crédits résiduels. Décryptage avec Philippe Parmentier: Directeur de l’administration de l’enseignement et de la formation à l’UCL

La Semaine Viva - Philippe Parmentier sur le décret paysage dans l'enseignement supérieur

Le crédit vélo a pris sa vitesse de croisière : la hausse de la production a été l’an dernier de 46 % chez Beobank, de plus de 60 % chez Belfius et a même doublé chez KBC-CBC.

Ce sont toutefois les amateurs de la petite reine du nord du pays qui financent le plus leur achat via un prêt bancaire : ils représentent 75 % des demandes chez BNP Paribas Fortis et Belfius et bien plus encore chez KBC-CBC.

Acheter son vélo électrique via un prêt bancaire

2 belges sur 3 ont au moins un crédit et les défauts de paiement sont surtout en Wallonie.

2 belges sur 3 ont au moins un crédit

Vous rêvez d'acheter un appartement ou une maison et vous avez l'impression que c'est impossible de nos jours ? On fait le point.

Devenir propriétaire, un rêve impossible ?

Ce mardi 7 avril 2020 entre 7H15 et 9H00, le BNI de Bastogne organise une vidéo conférence gratuite sur le thème :

" Les indépendants et leurs questions face à la crise. Réponses concrètes d'un banquier-assureur et de deux experts comptables. "

Retrouvez Laëtitia Lapraille, de l'entreprise arlonaise Lapraille et Associés, et qui participe à ce rendez-vous, au micro de Philippe Lorain :

Luxembourg Matin

Coronavirus : Les indépendants et leurs questions face à la crise

Cours d'éveil économique pour les 5èmes et 6èmes : à quoi servent les banques ? Collecter et sécuriser l'épargne, recevoir des dépôts, accorder des crédits et proposer des moyens de paiement.

Le rôle des banques

Viens, je t'explique

LES TRIBUS: Comment créer sa propre entreprise en Belgique lorsqu’on est primo-arrivant ? Créer sa propre entreprise en Belgique lorsqu’on est né à l’étranger peut s’avérer un vrai parcours du combattant. Par où commencer ? Quelles organisations peuvent offrir un soutien adapté ? Comment trouver un financement pour se lancer ? L’accès à l’information est le point de départ et malheureusement l’un des premiers freins à la création d’entreprise pour les personnes nées en dehors de la Belgique. Beaucoup de questions auxquelles il n’est pas toujours facile de trouver des réponses adaptées à chaque situation, et en particulier lorsque le français ou le néerlandais ne sont pas bien maîtrisés. Parmi les personnes financées par microStart, plus de la moitié est née hors de l'Union européenne. Ces entrepreneurs qui ont osé franchir le pas, prouvent que chacun peut devenir entrepreneur.e à condition d’avoir accès à l’information, à un financement et à un accompagnement. Avec Lorraine de Fierlant, Directrice Générale de MicroStart et Jean-Olivier Collinet de Jobyourself. https://microstart.be/fr

Comment créer sa propre entreprise lorsqu’on est primo-arrivant ?

Tendances Première: Les Tribus

Les emprunt hypothécaires redeviennent un peu plus abordables

Aujourd’hui, les étudiants doivent valider les 60 crédits de leur première année de bachelier en deux ans maximum et les 180 crédits de leurs trois années de bachelier en cinq ans (six en cas de réorientation). Selon les derniers chiffres toutefois, près de 70.000 étudiants en Fédération Wallonie-Bruxelles n’y sont pas parvenus et devraient, sauf changement, être non finançables (exclus) à la rentrée prochaine.

Alors faut-il tout bonnement abandonner le report de crédits ?

"À l’analyse, les reports de crédits ne sont pas géniaux", concède Joachim Sosson, directeur des départements pédagogiques et paramédical de la Haute Ecole Albert Jacquard. "Dans la première mouture du décret Marcourt, il y a beaucoup de difficultés qui sont représentées, y compris dans la cohérence des cursus. Le fait de baliser les années est important."

QR le débat

Joachim Sosson : "Les reports de crédits ne sont pas géniaux"

Pour Martin Casier, député au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (PS), il faut conserver la notion de crédits. "On a introduit la notion de crédit parce que c’est ce qui permet la mobilité européenne. Toute l’Europe a une même manière de comptabiliser, ce qui permet aux étudiants d’avoir des Erasmus notamment. Donc revenir en arrière avec des heures de cours comme on avait avant n’est ni souhaitable, ni possible."

Martin Casier (PS) : "Il faut garder la logique des crédits. Revenir aux heures de cours classiques n'est pas possible"

"Il faut pouvoir baliser les reports de crédits pour qu’ils ne s’étalent pas ad vitam aeternam dans le temps et que les étudiants puissent comprendre où ils se situent exactement dans leur parcours", affirme Rodrigue Demeuse, député au Parlement de la Fédération Wallonie (Ecolo). "Par contre, il faut pouvoir avoir une forme de souplesse pour tenir compte des situations individuelles que vivent les étudiants."

Rodrigue Demeuse (Ecolo) : "Les reports de crédits ne doivent pas être éternels"

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