christine van acker

Moi je parle 1e partie

Moi je parle 2e partie

Une série documentaire en 6 épisodes de Christine Van Acker

L'en vert de nos corps, 1e épisode

Une série documentaire de Christine Van Acker, en 6 épisodes

L'en vert de nos corps, 2e épisode

Une série documentaire en 6 épisodes, de Christine Van Acker

L'en vert de nos corps, 3e épisode

L'en vert de nos corps, épisode 4

L'en vert de nos corps, 5e épisode

Un documentaire en 6 épisodes, par Christine Van Acker

L'en vert de nos corps - 6e épisode

Christine Van Acker a écrit un pamphlet sous le titre « La dernière convocation » publié au Cactus inébranlable. Avant d’être un livre, la dernière convocation est une réponse au Forem qui l’avait convoquée une énième fois. Artiste, écrivain, réalisatrice, Christine Van Acker avait le statut d’artiste mais un jour, elle prend le temps d’écrire sa réponse, acerbe, audacieuse qui pointe les rouages du chômage toujours prêts à broyer de l’artiste. Du chiffre s’impose là aussi. D’autres depuis comme le musicien Quentin Dujardin se sont également exprimés . Un tour de la question avec Christine Van Acker, Quentin Dujardin, Veronika Mabardi et Alain Dantinne.
Réalisation : Pascale Tison

La dernière convocation, 1e partie

La dernière convocation, 2e partie

Une fiction enregistrée en public, en juillet 2018, au Théâtre des Doms, pendant le Festival d'Avignon.
Un texte de Laurence Vielle, Rémi Pons et Christine Van Acker.
Réalisation Pascale Tison

Barrée, un texte de Laurence Vielle, Rémi Pons et Christine Van Acker

S’intéresser à ce qui ne se voit pas à l’œil nu, c’est fouiller au cœur de ce que nous sommes.    S’intéresser à 'l’autre', l’animal, le végétal, le fungi, le minuscule, l’invisible, c’est poser un autre regard sur l’humain, c’est prendre conscience de ce à quoi  nous devons l’existence, de cette communauté qui œuvre dans l’ombre pour nous maintenir en vie. 
Réalisation :  Christine Van Acker ; Musique, mixage : Thierry Van Roy
Avec : Christophe Herman, médecin
 Jean-Sébastien Goffinet, pharmacien biologiste
 John Wérenne, professeur honoraire à l’ULB
Lecture de 'Prose des cellules He-La' de Marcel Thiry

Une pour tous, tous par une - 1e partie

Une pour tous, tous par une - 2e partie

'Cactus Inébranlable', l’éditeur qui gratte et qui pique, est le nom d’une maison d’édition hennuyère qui vient de fêter ses 11 ans. Ce nom hors du commun reflète la ligne éditoriale de la maison, qui se caractérise par une farouche volonté d’indépendance et un goût prononcé pour ce qui sort du rang. Cette exposition à voir au Daily-Bul, à La Louvière, jusqu’au 17 avril, présente au public les œuvres que l’on retrouve sur les couvertures des livres édités par Cactus Inébranlable : des collages d’André Stas aux dessins de Serge Poliart, en passant par les travaux de Capitaine Lonchamps, Emelyne Duval, Joëlle Pontseel ou Remy Van den Abeele, parmi tant d’autres. 

Le groupe d'entraide pour architecte "Archi-Tuyau" a été mis en ligne sur Facebook il y a maintenant un peu plus de 7 ans. Il compte actuellement plus de 600 membres. De la problématique administrative aux questions techniques, en passant par les coups de gueule / coups de cœur ou astuces à partager entre confrères et consoeurs, toutes les thématiques sont abordées. Ce groupe révèle, comme un baromètre, la pression exercée sur la profession au quotidien. 
Réalisation Christine Van Acker

Façons de Voir - Cactus inébranlable, au Daily-Bul - Archituyau

Par Ouï-dire

-Le groupe d'entraide pour architecte "Archi-Tuyau" travaille sur de multiples thématiques, de la problématique administrative aux questions techniques, en passant par les coups de gueule, coups de cœur ou astuces à partager entre confrères et consoeurs. Ce groupe révèle, comme un baromètre, la pression exercée sur la profession au quotidien. Explications avec Christine Van Acker. 
-Fabrice Kada s’est intéressé à la vie et à l’œuvre de Didier Ghislain (1958-2021), architecte et perspectiviste. Il a collaboré avec de grands noms de la discipline comme Jean Nouvel, Dominique Perrault, Frank Gehry, Shigeru Ban, Odile Decq ou encore Andrée Putman. 
- Façons de Voir part ensuite à la rencontre de Sara Noel Costa De Araujo et de son projet « Homes for Luxembourg » : un projet d’habitat léger modulaire qu’elle a présenté à la 17ème Biennale d’architecture à Venise Au travers de sa proposition d’habitat léger modulaire, l’architecte nous invite à repenser la façon de vivre ensemble dans nos villes et nos campagnes… Un sujet de Fanny Lacrosse.

Façons de Voir, la collection Architecture de mars 2022

Du 19 février au 30 avril, La Maison des Arts de Schaerbeek accueille l’exposition ‘En quelques mots…’, un dialogue entre 12 artistes plasticien·ne·s aux pratiques singulières, ancrées dans une recherche autour du texte et des mots, portée par la plasticienne Lucile Bertrand : avec Daniel Locus, Stefana McClure, Chantal Maes, Florian Kiniques, On Kawara, Barbara Geraci, Godelieve Vandamme, Pierre Buraglio… 
(Photo Stefana McClure, Silenced Voices Forough Farrokhzad (detail), 2021)
Le collectif bruxellois LAb[au] a été retenu pour réaliser une intervention artistique sur la nouvelle passerelle Loredana Marchi du canal ABC. Kontexte est un projet modulaire qui consiste en une série d’éléments lumineux qui génèrent des mots grâce aux afficheurs à 16 segments. 
(Photo Veerle Vercauteren)
Réalisation Christine Van Acker

Façons de Voir : En quelques mots/ La passerelle Loredana Marchi

- La Fédération Wallonie-Bruxelles occupera le Pavillon belge lors de la Biennale d'architecture de Venise en 2023. Un appel à projets est lancé pour trouver le(s) prochain(s) commissaire(s) du Pavillon (jusqu’au 9 mai). Fabrice Kada a rencontré quelques anciens commissaires : Chantal Dassonville (Pierre Hebbelinck en 1996), Rotor (Usus/usures en 2010) et Traumnovelle (Eurotopie en 2018). 
- Le collectif bruxellois LAb[au] a été retenu pour réaliser une intervention artistique sur la nouvelle passerelle Loredana Marchi du canal ABC. Kontexte est un projet modulaire qui consiste en une série d’éléments lumineux qui génèrent des mots grâce aux afficheurs à 16 segments. Un sujet de Christine Van Acker 
- Fanny Lacrosse part quant à elle à la découverte des architectures fictives du photographe Xavier Delory dans son atelier bruxellois. Maisons clef-sur-porte aux fenêtres et portes obstruées, tours d’appartements constituées par l’empilement de petites maisons bruxelloises, etc. les photographies de Xavier Delory réinventent et questionnent l’architecture de nos villes sous un angle critique et poétique.

Façons de Voir - La collection Architecture d'avril 2022

L’exposition d’art textile ‘Asia Europe 5’ présente les œuvres de 36 artistes contemporains asiatiques et européens. Les créations sont réalisées à l’aide de diverses techniques à partir d’objets du quotidien, d’éléments organiques ainsi que de technologies basées sur l’impression 3D. A voir au TAMAT Musée de la Tapisserie et des Arts Textiles, à Tournai, jusqu’au 29 mai. La deuxième phase du projet de restructuration et rénovation du Centre Adeps de Loverval s’accompagne d’une intégration d’œuvre d’art, conçue par Adrien Tirtiaux. L’œuvre, une frise constituée de 155 lettres métalliques apposées sur les façades extérieures du centre ainsi qu’à l’intérieur des halls sportifs, se diffuse sur tout le site. Réalisation Christine Van Acker

Façons de Voir : Asia Europe 5, au TAMAT/Adrien Tirtiaux

3 sujets architecture au menu de ce Façons de Voir :
Le Design Museum de Bruxelles présente l’exposition "Charlotte Perriand, politique du photomontage" (jusqu’au 28 août). Architecte et designeur, elle a consacré son existence à améliorer les conditions de vie du plus grand nombre, créant un "art d’habiter" en lien avec la nature. 
La deuxième phase du projet de restructuration et rénovation du Centre Adeps de Loverval s’accompagne d’une intégration d’œuvre d’art, conçue par Adrien Tirtiaux. L’œuvre est une frise constituée de 155 lettres métalliques apposées sur les façades extérieures du centre ainsi qu’à l’intérieur des halls sportifs. 
Les inondations de juillet 2021, ont marqué durablement l’Histoire de la Belgique comme la catastrophe naturelle la plus meurtrière du pays. A Liège, l’exposition collective ‘Fluctuations’ (jusqu’au 6 juin) tente d’apporter au travers des outils de l’architecture, des pistes concrètes pour réconcilier les habitants avec leur fleuve.

Façons de Voir - La collection Architecture de mai 2022

-Jusqu’au 21 août, le BAM (Beaux-Arts-Mons) accueille une grande exposition thématique consacrée au peintre montois d’envergure internationale Anto-Carte. Sujets religieux, paysages ou scènes de la vie quotidienne : l’exposition Anto-Carte, De terre et de ciel, croise l’ici-bas au sacré et rassemble plus de 80 peintures qui offrent une lecture originale sur les grands thèmes de l’iconographie chrétienne, à la lisière de l'expressionnisme et du symbolisme. Ses peintures célèbrent tant l’héritage et le savoir-faire des grands maîtres, que la grandeur du monde paysan. 
-Atlas de récits d’un territoire habité – Walcourt : ce recueil de dix cartes thématiques (59 x 42 cm dépliées), proposée par l'architecte et paysagiste en collaboration avec le Centre culturel de Walcourt, reflète des ensembles de relations au territoire dans leur complexité, leurs raisons et leurs paradoxes et propose divers itinéraires de marche. 
Réalisation Christine Van Acker

Façons de Voir - Anto Carte au BAM / Atlas de récits d’un territoire habité

- Atlas de récits d'un territoire habité, à Walcourt : un recueil de dix cartes thématiques, proposé par l'architecte et paysagiste Virginie Pigeon, qui reflète des relations au territoire et propose divers itinéraires de marche. 
- Conversation avec l’architecte Wim Cuyvers, forestier et philosophe, autour de quelques notions centrales de sa pensée : l’appropriation informelle de l’espace public, l’extérieur, les relations humaines, les vertus de l’échec, l’inéluctabilité de la mort. 
- Le Logis-Floréal, un projet coopératif. Il y a 100 ans, les premières cités-jardins font leur apparition en Belgique. Une philosophie de vie collective et coopérative qui peut apporter des solutions à la crise actuelle du logement ?

Façons de Voir : la collection Architecture de juin

Les étudiants en muséologie de l’UNamur, sous la houlette du Professeur Michel Lefftz, remettent en lumière le travail du Maître de Waha, dans une exposition à voir jusqu’au 31 août au FAM, à Marche-en Famenne. L’exposition allie nouvelles découvertes avec un regard original quant à l’influence de la sculpture de la fin du Moyen Âge sur l’art moderne wallon. Ce sculpteur de la première moitié du 16e siècle, probablement établi à Marche, n’a pas encore révélé toute sa part d’ombre mais le mystère qui l’entoure se réduit. S’il demeure toujours anonyme et porte encore le nom du village où sont conservées ses œuvres emblématiques, sa production est de mieux en mieux définie. Une partie de l’exposition est consacrée aux peintures et gravures d’artistes wallons de l’entre-deux-guerres, et notamment les expressionnistes wallons, qui ont puisé leur inspiration dans la statuaire médiévale populaire. Réalisation Christine Van Acker

Le Maître de Waha, un anonyme populaire

Fabrice Kada nous présente l’exposition Sick Architecture au CIVA, qui explore les liens entre architecture et maladie, depuis le début du 20e siècle jusqu’au COVID-19. Fanny Lacrosse, quant à elle, est partie à la rencontre de Arnd Amand (photo) à Auderghem. Il a remporté en 2021 le Grand Prix d’Architecture de Wallonie (prix : réalisation hors Wallonie) pour la construction d’un foyer dédié à l’éducation et la remédiation à Rwamishiba, un petit village du Rwanda. 
L’Hôtel Torrentius à Liège, classé au Patrimoine exceptionnel de Wallonie, ouvre pour la première fois ses portes au public et propose jusqu’au 27 août une exposition sur l’un des plus grands noms de l’architecture belge, Charles Vandenhove. Christine Van Acker a visité l’expo baptisée Le songe de Torrentius.

Façons de Voir : La Collection Architecture de juillet 2022

Un documentaire de Christine Van Acker : 
« Administrativement, il s’appelait Désiré Disant, mais sa famille et ses amis l’appelaient Georges. C’était mon arrière-grand-père. Il y a quelques années seulement, en allant visiter Denise Disant, l’une des petites filles de Georges, cousine de mon père, j’ai appris qu’il avait été envoyé au bagne pendant trois ans à la fin du XIXe siècle, il y a approximativement 130 ans. La seule chose que je savais de lui, c’est qu’il s’était pendu juste après la guerre 14-18. Mon père non plus n’avait jamais entendu parler de l’épisode bagne. Notre histoire familiale est mitée, pleine de trous. J’ai tenté de repriser celui-ci. »
Avec le psychanalyste transgénérationnel Pierre Ramaut et l’historien Michel Pierre.
Photo : Michel Pierre

L'eau a coulé, les ponts sont restés

Jusqu’au 6 novembre, à la Maison des Arts de Schaerbeek, l’exposition Couleur/Lumière présente une sélection d’expériences intimes, poétiques et déconcertantes, à la croisée des arts et des sciences, de la couleur et de la lumière. Avec La Vie en kit, Elodie Degavre part sur les traces de trois figures belges méconnues (Paul Petit, Jean Englebert, Lucien Kroll), mais dont les esprits ont pourtant tenté de forger l’habitat de notre pays dans les années 70, elle dévoile des pistes de réflexion sur le logement d’hier et d’aujourd’hui, ainsi que sur les relations sociales qui en découlent. Réalisation Christine Van Acker

Façons de voir : Couleur-Lumière, à la Maison des Arts/La Vie en Kit

Un documentaire de Christine Van Acker : 
« Administrativement, il s’appelait Désiré Disant, mais sa famille et ses amis l’appelaient Georges. C’était mon arrière-grand-père. Il y a quelques années seulement, en allant visiter Denise Disant, l’une des petites filles de Georges, cousine de mon père, j’ai appris qu’il avait été envoyé au bagne pendant trois ans à la fin du XIXe siècle, il y a approximativement 130 ans. La seule chose que je savais de lui, c’est qu’il s’était pendu juste après la guerre 14-18. Mon père non plus n’avait jamais entendu parler de l’épisode bagne. Notre histoire familiale est mitée, pleine de trous. J’ai tenté de repriser celui-ci. » 
Avec le psychanalyste transgénérationnel Pierre Ramaut et l’historien Michel Pierre.
Photo : Michel Pierre

L’eau a coulé, les ponts sont restés

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Moi je parle 1e partie

Moi je parle 2e partie

L'en vert de nos corps, 1e épisode

L'en vert de nos corps, 2e épisode

L'en vert de nos corps, 3e épisode

L'en vert de nos corps, épisode 4

L'en vert de nos corps, 5e épisode

L'en vert de nos corps - 6e épisode

La dernière convocation, 1e partie

La dernière convocation, 2e partie

Barrée, un texte de Laurence Vielle, Rémi Pons et Christine Van Acker

Une pour tous, tous par une - 1e partie

Une pour tous, tous par une - 2e partie

Par Ouï-dire
Façons de Voir - Cactus inébranlable, au Daily-Bul - Archituyau

Par Ouï-dire
Façons de Voir, la collection Architecture de mars 2022

Par Ouï-dire
Façons de Voir : En quelques mots/ La passerelle Loredana Marchi

Par Ouï-dire
Façons de Voir - La collection Architecture d'avril 2022

Par Ouï-dire
Façons de Voir : Asia Europe 5, au TAMAT/Adrien Tirtiaux

Par Ouï-dire
Façons de Voir - La collection Architecture de mai 2022

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Façons de Voir - Anto Carte au BAM / Atlas de récits d’un territoire habité

Par Ouï-dire
Façons de Voir : la collection Architecture de juin

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Le Maître de Waha, un anonyme populaire

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Façons de Voir : La Collection Architecture de juillet 2022

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L'eau a coulé, les ponts sont restés

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Façons de voir : Couleur-Lumière, à la Maison des Arts/La Vie en Kit

Par Ouï-dire
L’eau a coulé, les ponts sont restés

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Moi je parle 2e partie

L'en vert de nos corps, 1e épisode

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L'en vert de nos corps, 3e épisode

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L'en vert de nos corps, 5e épisode

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