En 1985, la Belgique a peur. Les tueurs du Brabant fauchent les clients des supermarchés et depuis des mois un mystérieux groupe terroriste appelé C.C.C. (Cellules Communistes Combattantes) fait exploser les symboles du capitalisme. Banques, pipe-line de l'OTAN, sièges de partis ou de multinationales, 24 attentats sont perpétrés par les C.C.C.
Bilan : deux morts, 28 blessés, un milliard de francs belges de dégâts. Ironie du sort, l'épopée sanglante se termine dans un temple de la consommation.

L'opinion publique découvre Pierre CARETTE le chef et ses complices. Trois hommes et une femme qui auront fait trembler la Belgique pendant plus de 18 mois.
A propos de leurs actions terroristes, toutes les hypothèses ont été émises : complot, manipulation de la CIA, du KGB, de la Sûreté de l'Etat, de l'extrême droite... Mais lors du procès, les C.C.C. apparaissent comme des desperados du gauchisme, les derniers croisés de la révolution prolétarienne. De vrais militants, animés par une foi quasi mystique, qui sur bien des points ressemblent aux radicaux islamistes d'aujourd'hui.
Ils payeront cher leur fanatisme, la bande des quatre sera condamnée à la prison à vie et passera plus de 15 années derrières les barreaux.
Aujourd'hui, "Devoir d'Enquête" retrace l'incroyable saga de cette poignée de militants d'extrême gauche qui, envers et contre tout, avaient décidé d'instaurer en Belgique la société idéale, le paradis communiste.

Une enquête d'Emmanuel Allaer et Daniel Remi

Devoir d'enquête (1/07/2015)

La croisade des C.C.C.

Nous sommes au tout début du dix-neuvième siècle. A cette époque, les Européens consacrent 28% de leur budget à régler leur loyer et le prix des transports. 27% de ce même budget est réservé à la nourriture, 22  aux loisirs en y incluant le tabac et l’alcool. Reste 9% pour les vêtements et 14 pour d’autres bien. Un siècle plus tard, le budget nourriture a diminué d’un peu plus de la moitié ( on est à 12%,), quant à la part destinée aux vêtements, elle est rabotée d’un tiers. En revanche, les dépenses pour le loyer, les transports et les télécommunications atteignent 44% du budget, soit une hausse de 57%. Loisirs et culture sont restés stables. D’où viennent nos habitudes de consommation, comment a évolué « l’homo consumens » et vers quel type de société se dirige-t-on ? Descendons dans les caves  pour y voir clair…

L'HOMO CONSUMENS

1000 Jours dans l’Histoire

Historiquement, le capitalisme et la démocratie sont nés dans le même creuset du libéralisme politique. Mais aujourd’hui, alors que les états semblent souvent bien désarmés face aux grandes multinationales, obligés à une course vers le bas qui grève leurs finances publiques, on peut se demander si le capitalisme et la démocratie ne sont pas en train de devenir contradictoires. Avec la globalisation et la révolution technologique, les lois du marché s’exercent à une échelle mondiale alors que le pouvoir des états s’arrête à leurs frontières. Le capitalisme aura-t-il, dès lors, la peau des états ? Démocratie en question(s) tente d’y répondre en croisant les avis de Paul De Grauwe (professeur à la London School of Economics), du philosophe du droit Benoît Frydman (ULB), du président du CRISP Vincent de Coorebyter, et de l’écrivain David Van Reybrouck.

Le capitalisme aura-t-il la peau des états ?

Démocratie en question(s) - Episode 4

Cap sur l'économie écologique La croissance est-elle une réponse crédible à la crise climatique ? On pose la question à Géraldine Thiry, professeure d'économie à l'ICHEC on l'interroge aussi sur la venue de NewB dans le paysage belge. -Soja égal déforestation en Amazonie égal perte de biodiversité, le tout pour fournir largement le marché européens en aliments pour le bétail et la volaille. Alors on fait quoi pour éviter d'être complice ? -Retour sur le travail de Cédric Noël du collectif " A coeur Space"

Alors on change - L'économie écologique

Alors, on change !

L'objet Pop de Nicolas Herman : le Monopoly.

Entrez sans frapper

Le Monopoly

Aurélie Russanowska observe qu'il devient "sexy" de savoir budgéter et de ne rien dépenser. La preuve par la pub.

Quand être économe devient sexy

Tendances Première: Les Tendanceurs

Nous sommes au tout début du XVIe siècle. Dans un recueil de souvenirs intitulé « La Découverte de l'Amérique », évoquant ceux que l’on nommera, plus tard, les Amérindiens, Christophe Colomb, écrit : « Ils […] nous ont apporté des perroquets, des pelotes de coton, des lances et bien d’autres choses qu’ils échangeaient contre des perles de verre et des grelots. Ils échangeaient volontiers tout ce qu’ils possédaient. […] Ils étaient bien charpentés, le corps solide et les traits agréables. […] Ils feraient d’excellents domestiques. […] Avec seulement cinquante hommes, nous pourrions les soumettre tous et leur faire faire tout ce que nous voulons. » Plus de trois siècles plus tard, en 1867, Karl Marx note : « La découverte des contrées aurifères et argentifères de l’Amérique, la réduction des indigènes en esclavage, leur enfouissement dans les mines ou leur extermination, les commencements de conquête et de pillage aux Indes orientales, la transformation de l’Afrique en une sorte de garenne commerciale pour la chasse aux peaux noires, voilà les procédés idylliques d’accumulation primitive qui signalent l’ère capitaliste à son aurore. »  Un siècle après encore, en 1967, dans un discours à Atlanta, Martin Luther King déclare : « il faudra bien un jour poser la question du capitalisme (…). On ne peut pas parler de la conditions des Noirs sans parler de millions de dollars ; on ne peut pas prétendre mettre fin à l’enfermement dans les ghettos sans dire d’abord que certains tirent des profits du ghetto ». Racisme et capitalisme sont-ils indissociables ? C’est la question que nous nous posons aujourd’hui … Invitée : Sylvie Laurent, américaniste, enseignante à Sciences-Po « Capital et race – Histoire d’une hydre moderne » aux éditions du Seuil. Sujets traités ; Amérique, racisme, capitalisme, Amérindiens, Christophe Colomb, coton, domestique, Karl Marx, indigènes, esclavage, Inde, Martin Luther King

Le racisme est-il né du capitalisme ?

Un Jour dans l'Histoire

John D. Rockefeller, avec Standard Oil, devient rapidement l’homme le plus riche du monde en contrôlant presque la totalité du marché pétrolier.

John D. Rockefeller est rapidement devenu l'homme le plus riche du monde

Episode 2 / 2 : Capitalisme et/ou liberté Comment sommes-nous devenus des Européens? Quelles sont nos racines communes? Nos différences? A* Comment se sont-elle construites, déconstruites, reconstruites, exprimées tout au long de l’Histoire? Quelles sont les étapes, les évolutions, les piliers de cette construction Européenne qui n’avait pourtant rien de prédéterminée? La journaliste franco-allemande Géraldine Schwarz propose de sérieux éléments de réponses dans son dernier livre “D’où venons-nous? Ce qui nous unit, ce qui nous divise”, paru aux éditions Flammarion. 

Sujets traités : Racines, Capitalisme, évolutions, Européens, évolution, construction

Quelles racines chrétiennes pour l’Europe? 2 / 2

DEHOSSAY Laurent

Eva Joly est venue nous présenter son livre « J’ai passé une nuit d’hiver dehors », paru aux éditions Les Arènes. Mémoires d’une juge anti-corruption, députée européenne, candidate écologiste à l’élection présidentielle, diplomate et avocate.

capitalisme

La croisade des C.C.C.
Devoir d'enquête (1/07/2015)

1000 Jours dans l’Histoire
L'HOMO CONSUMENS

Démocratie en question(s) - Episode 4
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Alors, on change !
Alors on change - L'économie écologique

Le Monopoly
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Tendances Première: Les Tendanceurs
Quand être économe devient sexy

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Un Jour dans l'Histoire
Le racisme est-il né du capitalisme ?

John D. Rockefeller est rapidement devenu l'homme le plus riche du monde

DEHOSSAY Laurent
Quelles racines chrétiennes pour l’Europe? 2 / 2

L'invitée
Eva Joly

capitalisme

La croisade des C.C.C.Devoir d'enquête (1/07/2015)

1000 Jours dans l’HistoireL'HOMO CONSUMENS

Démocratie en question(s) - Episode 4Le capitalisme aura-t-il la peau des états ?

Alors, on change !Alors on change - L'économie écologique

Le MonopolyEntrez sans frapper

Tendances Première: Les TendanceursQuand être économe devient sexy

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L'invitéeEva Joly

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Tendances Première: Les Tendanceurs
Quand être économe devient sexy

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L'invitée
Eva Joly