François Georgin, Président de l’asbl « Comité des Fêtes » à Marche-en-Famenne, était ce matin et en direct, l'invité "fil rouge" de Philippe Lorain, et ce, à l’occasion du 51e « Marché 1900 » qui se déroulera ce mardi 15 août.

luxembourg matin

"Marché 1900" ce 15 août à Marche (1ère partie)

"Marché 1900" ce 15 août à Marche (2ème partie)

Céline fait un bon dans le futur. Passé les 80 ans, elle nous raconte comment c'était avant...l'H2O, la pension, Tihange II,... La belle époque!

C'est presque sérieux

Céline Scoyer - Un bon dans le futur

La Belle Epoque est le temps des miracles. Au crépuscule d’un 19 ème siècle qui connaît sa seconde révolution industrielle, chez nous à Blankenberge, petit village où la vie est rude, la Belle époque va métamorphoser la bourgade en véritable place to be pour tout le gotha et l’intelligencia nationale et internationale. Pour UN JOUR DANS L’HISTOIRE, Benjamin Luypaert pénètre dans le centre Belle Epoque de Blankenberge en compagnie de  Dirk Decoster,le responsable de l’ exposition permanente consacrée à cette période magique de 1870 à 1914.

LA BELLE ÉPOQUE

1000 Jours dans l’Histoire

Le « Marché 1900 » doit sa naissance à un défi lancé sur les ondes de la RTB par l’animateur Jean-Claude Menessier en 1967 : créer en cinq jours un marché aux oiseaux, style 1900, avec un minimum de 100 marchands. Défi relevé avec brio. L’année suivante, un nouveau marché aux oiseaux fut organisé, étoffé de stands mettant en avant savoir-faire artisanal, cultures folkloriques, art de la dentelle, tapisserie, produits régionaux. Un demi-siècle plus tard, le Marché, reconnu patrimoine culturel immatériel vivant de Wallonie-Bruxelles, ne cesse de grandir. François Georgin, Président de l'asbl Comité des Fêtes de Marche-en-Famenne, était l'invité de Philippe Lorain en direct ce matin...

Luxembourg Matin

52ème "Marché 1900" à Marche-en-Famenne

Nous sommes le 20 décembre 1912, à Liège. Voilà ce que l’on peut lire dans le journal « La Meuse », fondé cinquante-six ans plus tôt par quatre industriels dont Gérard Nagelmackers, un libéral qui prendra une part active dans la Révolution belge, lisons donc : « Et là, les lèvres mouillées et rouges, le nez épanoui, l’œil dilaté et clair. Savourons en imagination le cochon de lait pâle et tendre, dormant, les yeux clos, un brin de persil entre les dents, dans une béatitude douce, le pâté de foie parfumé et onctueux comme une crème, la dinde obèse et marbrée. Goûtons en imagination à la volaille, au gibier, aux grosses viandes saignantes et juteuses, à la pâtisserie, aux vins généreux, aux liqueurs fines dont le fumet contient des paysages et des pays. Et soyons heureux qu’il y ait, pour nous servir tout cela, une grosse fille aux yeux bleus et vagues, saine et fraîche comme un matin, avec ses joues et ses bras rouges tranchant sur un tablier blanc. Oui, savourons tout cela, et ce que nous mangerons et le décor où nous réveillonnerons avec ses lumières, ses tables blanches et fleuries, ses garçons dociles comme des esclaves et le sourire des femmes épanoui à la tiédeur des radiateurs sonores. Car, le jour de Noël, au moment de nous mettre à table, nous n’aurons peut-être pas faim. » C’est à un Noël liégeois, à la Belle Epoque, que nous vous convions… Invité : Pierre Leclercq, membre du Centre de Gastronomie Historique, animateur de la chaîne YouTube « L’histoire à pleines dents ». Sujets traités : Liège, La Meuse, Gérard Nagelmackers, Révolution, cochon, volaille,gibier, pâtisserie, liqueurs, réveillon, Noël, Belle Epoque,

Noël Liégeois dans la bourgeoisie de la belle époque

DEHOSSAY Laurent

« Cartier ». Un patronyme scintillant qui évoque à lui seul une déferlante d’images somptueuses : diamants et gemmes, horlogerie précieuse, fastes de la Belle Époque. Mais si le mot le plus important, dans « Maison Cartier », c'était « maison »? Car c’est avant tout une histoire de famille! En deux épisodes, Cindya Izzarelli nous raconte qui étaient les artisans de cette brillante success story sur 3 générations. Avec la complicité de Francesca Cartier Brickell, autrice du livre "Les Cartier" (ed. 5 continents- les arènes). Sujets traités : Cartier, bijou, diamants , gemmes, horlogerie, précieuse, Belle Époque, success story, Maison Cartier

La Maison Cartier 1/2

Un Jour dans l'Histoire

« Cartier ». Un patronyme scintillant qui évoque à lui seul une déferlante d’images somptueuses : diamants et gemmes, horlogerie précieuse, fastes de la Belle Époque. Mais si le mot le plus important, dans « Maison Cartier », c'était « maison »? Car c’est avant tout une histoire de famille! En deux épisodes, Cindya Izzarelli nous raconte qui étaient les artisans de cette brillante success story sur 3 générations. Avec la complicité de Francesca Cartier Brickell, autrice du livre "Les Cartier" (ed. 5 continents- les arènes). Sujets traités : Cartier, Belle Époque, diamants , gemmes, horlogerie, maison, success story

La Maison Cartier 2/2

Bruxelles, un jour d’hiver, début décembre 1903. Nous sommes à Ixelles, dans la rue Goffart, proche de l’actuelle chaussée de Wavre. C’est là qu’habite un gamin de presque 13 ans, Victor Kibaltchiche. Famille d’origine russe, bien entendu. Un oncle pendu suite à l’assassinat du tsar Alexandre II, un père subversif et complotiste qui a dû fuir la Russie. On a la fibre révolutionnaire chez les Kibaltchiche ! La mère, elle, est de petite noblesse polonaise. Après des errances, ils se sont fixés chez nous, dans la capitale belge. Victor y est né en décembre 1890. Il faut vous avouer qu’on n’est pas riches chez ces émigrés : on mange bien jusqu’au 10 du mois, plus mal du 10 au 20, pas du tout jusqu’à la fin du mois.

La bande à Bonnot est-elle née en Belgique ?

L'Heure H

Dans Un jour dans l’Histoire, nous vous proposons une plongée dans l’univers violent de la Belle Epoque. Nous vous proposons de découvrir ces terribles années où la police s’est réellement transformée pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Depuis la création de la police criminelle aux laboratoires scientifiques de pointe où ont été développées les empreintes digitales en passant par les premières brigades cyclistes, Nicolas Buytaers vous emmène dans les rues de Paris les plus malfamées en compagnie de son invité, Jean-Marc Berlière, historien et spécialiste de l’Histoire des polices en France, auteur du livre « La police à Paris en 1900 » publié aux éditions Nouveau Monde ! Sujets traités : Belle Epoque, police, brigade, Paris, France ,Nicolas Buytaers

L’histoire de la police parisienne de 1900

Nous sommes le dix décembre 1896. Dans son journal, Jules Renard écrit : « Oui, oui, finissons-en : Sarah, c’est le Génie. Elle me remet droit, comme la foudre. Imaginez le plus bête des hommes. Il n’a pas de talent. Il le sait, et se résigne, mais, parfois, il se dresse avec un éclair dans les yeux et se dit : “Ah ! Si Sarah voulait dire seulement une ligne de moi ! Demain ! je serais célèbre. Sarah c’est le génie.” Imaginez le plus laid des hommes. Nulle ne l’aimera. Il le sait, et se résigne, mais, parfois, il songe : “Ah ! Si je pouvais vivre un peu près de Sarah, dans un petit coin ! Je me croirais le plus aimé des hommes. Je ne demanderais rien aux autres femmes. Les autres, c’est très gentil, très joli, mais, Sarah, c’est le génie. » Ainsi l’auteur de « Poil de carotte » évoque l’icône de la Belle Epoque, la reine de la scène, la muse d’Edmond Rostand : Sarah Bernhardt. Artiste et femme d’affaire qui va pulvériser les limites que la société de son temps impose à son sexe. Une voyageuse qui va triompher sur les scènes du monde entier. Une audacieuse qui va s’emporter pour la défense de Dreyfus, contre la peine de mort. Une être fantasque qui va bâtir, consciemment, sa légende, créant, soigneusement, sa réclame, son buzz. Sarah Bernhardt pour qui Jean Cocteau inventera l’expression « monstre sacré ». Invitée : Cécilie Champy-Vinas, conservatrice en chef et directrice du musée Zadkine. Co-directrice de l’exposition « Sarah Bernhardt – Et la femme créa la star », au Petit-Palais, à Paris, jusqu’au 27 août 2023. Sujets traités : Sarah Bernhardt, Jules Renard, Edmond Rostand, Jean Cocteau, monstre sacré, talent, comédienne, génie, Belle époque, Poil de carotte, triomphe, sexe, star

Sarah Bernhardt va où elle veut

Nous sommes au milieu des années 1880, à Montmartre. Ils sont dans l’énergie de leur vingtaine et le talent éclate au bout de leurs doigts. Henri de Toulouse-Lautrec rencontre Suzanne Valadon. Lui, l’héritier d’une lignée d’aristocrates, elle, la fille du peuple, née de père inconnu. Leur liaison sera brève et tumultueuse, faite de fureur et d’admiration réciproque mais aussi de jalousie et d’attente déçue. Alors que, dans ce Montmartre de la Belle Epoque, centre du monde artistique, Henri va s’enfoncer dans sa nuit de fêtes et d’excès, Suzanne va parvenir à sortir de sa condition précaire, avec obstination, froidement et sans rien concéder. Il meurt, en 1901, alors qu’il n’a pas 37 ans, laissant une œuvre novatrice et incomprise par la majorité de ses contemporains. Elle lui survit jusqu’en 1938, femme-peintre reconnue de son vivant. Suzanne Valadon et Toulouse-Lautrec, l’ordre et le désordre, la glace et le feu : partons sur les traces d’un univers disparu. Invité : Yonnick Flot. Auteur de « Lautrec/Valadon – Montmartre Belle Epoque » édition de la Bisquine. Sujets traités : Henri de Toulouse-Lautrec,Suzanne Valadon, liaison, jalousie, Belle Epoque, Montmartre, femme-peintre

Suzanne Valadon+Toulouse Lautrec : L’ordre et le désordre dans le Montmartre de la Belle Epoque

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Noël Liégeois dans la bourgeoisie de la belle époque

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