Un dérapage de Donald Trump encore. Il recevait des Navajos, des Amérindiens, c'est-à-dire des Américains d'origine indienne, qui ont été enrôlés par l'armée américaine. Il a surnommé une sénatrice démocrate qui assistait à la réunion de Pocahontas, du nom de cette Amérindienne qui a marqué l'histoire américaine.

JT 19h30

Trump et les Amérindiens : le Président plaisante sur Pocahontas

Nous sommes en 1937. Dans son ouvrage « Moeurs et coutumes des Indiens sauvages de l'Amérique du Sud », le marquis de Wavrin, explorateur et cinéaste belge,  écrit : « Que d’intenses souvenirs ! Seuls restent dans ma mémoire l’image des heures inoubliables passées au plus profond de la forêt immense,  lorsque les pieds dans l’eau ou dans la boue, le front courbé sous l’éclat du soleil implacable, je m’attardais auprès de ces êtres qui en sont encore à chercher leur voie dans un monde neuf : les Indiens et les fauves. Comment il existe encore dans le monde des contrées inconnues ? Il y a toujours des hommes qui tentent d’y séjourner même au péril de leur vie ? Oui, la race des explorateurs n’est pas morte. Je crois même qu’elle ne disparaîtra jamais. Le jour où le monde entier sera connu, où la civilisation aura pénétré partout, il faudra bien la maintenir dans les pays neufs. Il faudra bien que certains d’entre nous vivent sous ces climats dangereux… ».

LE MARQUIS DE WAVRIN, DU MANOIR À LA JUNGLE

1000 Jours dans l’Histoire

Nous sommes en 1545.  Au cœur de la Cordillère des Andes. La légende raconte qu’un indien du nom de Diego Hualpa, parti à la recherche de ses lamas perdus dans les montagnes, rentre bredouille à la nuit tombée et allume un feu pour se réchauffer. Quelle n’est pas sa surprise lorsque, sous l’effet de la chaleur, le sol se met à fondre et laisse apparaître un liquide métallique argenté… L’histoire ne dit pas si Diego Hualpa extrait , lui-même, par la suite,  le minerai, ni comment les conquistadors, toujours avides de matières précieuses, en sont informés. Mais c’est de cet endroit, au mont Potosi, que, pendant plusieurs générations, l’Europe va se gorger de richesses. De la mine au trésor, c’est le voyage de l’argent que nous allons refaire avec vous.

LE COMMERCE DES MATIÈRES PRÉCIEUSES

Tabac, coca, quinquina, cacao, gaïac, peyotl, poisons, abortifs… De 1492 au milieu du XVIIIe siècle, les Européens s’approprient en Amérique d’innombrables plantes médicinales. Au moyen d’expéditions scientifiques et d’interrogatoires, ils collectent le savoir des Indiens ou des esclaves pour marchander des drogues, et élaborent avec elles les premières politiques de santé. Dans le même temps, inquisiteurs et missionnaires interdisent l’usage rituel de certaines plantes et se confrontent aux résistances des guérisseurs

LES PLANTES MÉDICINALES

En 1608, Québec n'est qu'un nom griffonné sur une vague carte d'Amérique du Nord, délaissé par la France d'Henri IV si ce n'est quelques commerçants de peaux de bêtes et pêcheurs de baleines. Samuel de Champlain, lui, rêve de fonder une véritable colonie. L'alliance qu'il a réussi à négocier avec les tribus des Hurons, des Algonquins et des Montagnais l'amène à se heurter aux farouches Iroquois. Auteur de la BD "Iroquois" qui relate cette histoire, Patrick Prugne revisite avec nous un épisode peu connu mais fondateur de l'histoire du continent américain : une opposition de deux siècles entre les premiers occupants amérindiens et leurs colonisateurs européens.

L’HISTOIRE VRAIE DE SAMUEL DE CHAMPLAIN

Nous sommes, très probablement, le vingt-six mai 1626. Nous foulons le sol de l’ Amérique, c’est sur l’île de Manhattan que cela se passe. Mettons-nous dans la peau des premiers défricheurs, des pionniers. Il y a trois semaines environ,  un homme que l’on dit descendant de protestants persécutés,  d’origine hennuyère, y est installé. Il y a été envoyé, en tant que gouverneur,  par la compagnie néerlandaise des Indes occidentales . Très vite, Pierre Minuit, c’est son nom, nourrit l’ambitieux projet d’acheter l’île aux Indiens. Il y parviendra pour une bouchée de pain. Pierre Minuit, un acteur de la construction américaine, oublié de l’histoire, éclipsé par le hollandais Peter Stuyvesant, officiellement, connu pour être le fondateur de New York. Pierre minuit, un personnage qui dérange d’ailleurs nos amis bataves. De quelles origines était-il : Françaises, hollandaises, allemandes ou bien wallonnes ? C’est son histoire que nous allons vous raconter.

PIERRE MINUIT, L'HOMME QUI ACHETA MANHATTAN

« M.Catlin est parti seul, sans amis et sans conseils, armé de ses pinceaux et de sa palette, pour fixer sur la toile et sauver de l’oubli les traits, les Moeurs et les costumes de ces peuplades dites sauvages, et qu’il faudrait plutôt désigner par le nom d’hommes primitifs. Il a consacré huit années à cette exploration, et visité, au péril de sa vie, les divers établissements d’une population d’environ cinq cent mille âmes, aujourd’hui déjà réduite de plus de la moitié, par l’envahissement du territoire, l’eau de vie, la poudre à canon, la petite vérole et autres bienfaits de la civilisation. » Voilà ce qu’écrit George Sand à propos de George Catlin, peintre de Philadelphie qui, au dix-neuvième siècle,  mit tout son talent et toute son énergie à la sauvegarde de la culture des Indiens d’Amérique du Nord.

GEORGE CATLIN, PEINTRE DES INDIENS

Nous sommes le 4 septembre 1886, en Arizona. Après des années de luttes avec les colons blancs et l’armée américaine, après les raids et les pillages, les fuites à répétition succédant aux arrestations et à la prison, c’est un homme épuisé qui se rend aux autorités des Etats-Unis. Un guerrier hors du commun, un grand stratège mais aussi un être capable des pires cruautés à la mesure de celles qu’il a subies. Ce 4 septembre 1886, Geronimo dépose les armes.

GERONIMO

Plus d'un millier de femmes autochtones assassinées ou disparues au Canada ces dernières décennies ont été victimes d'un véritable "génocide", selon la conclusion controversée d'une commission d'enquête publique qui a rendu son rapport lundi après plus de deux ans de travaux. Des autochtones comme des non-autochtones étaient à l'origine de ces meurtres et disparitions. Certains étaient les partenaires de ces femmes, d'autres des membres de leur famille ou de leur entourage ou encore des étrangers, y compris des tueurs en série, selon ce rapport de quelque 1.200 pages présenté lors d'une cérémonie en présence du Premier ministre Justin Trudeau et des familles des disparues au musée canadien de l'Histoire, à Gatineau, ville québécoise située en face d'Ottawa.

Cérémonie amérindienne de "renaissance" à Gatineau, où s'est rendu Justin Trudeau

Nous sommes le 25 juin 1876, il est 15h. L’est du Montana est une région sauvage et dangereuse en ce début d’été. Patiemment, discrètement, le lieutenant-colonel George Armstrong Custer et son régiment du 7ème de cavalerie s’installent sur les hauteurs bordant la Bighorn River, non loin d’un petit cours d’eau qu’on nomme affectueusement la Little Big Horn. En contrebas, leur cible s’étend sous leurs yeux ébahis. Ce camp amérindien est bien plus grand que ce qu’ils pensaient de prime abord. La colonne se prépare : l’effet de surprise est indispensable pour prendre en tenaille les tribus unifiées. Dans quelques instants, le plus célèbre épisode de la guerre des Black Hills va se mettre en marche. Le destin, lui, se joue à pile ou face...

La bataille de Little Bighorn

L'Heure H

Il est 8h, ce 22 février 1973. Russel Means a la mine des heures sombres. Dans les creux de ses cernes, sur son visage de natif vit le souvenir de tous ceux de son peuple qui furent massacrés par les Visages Pâles. Depuis toujours, ces derniers sont avides de plus de pouvoir, plus de terres, plus de cruauté aussi. Ils n’ont jamais pu s’entendre, ceux qui sont venus d’Europe et eux, qui sont nés ici, sur ces terres sacrées depuis des centaines d’années. Ses longs cheveux tressés, ses bijoux, son aura, tout rappelle au monde entier qui il est. Et d’où il vient.

Massacre de Wounded Knee

Le duo d’artistes Brognon Rollin présente "The Land and the Unfolded Map" au Delta, le centre artistique et culturel de la Province de Namur, jusqu’au 11 juin. L’installation présente deux vidéos qui questionne la destinée des communautés amérindiennes à l’intérieur de la société états-unienne contemporaine. On y découvre des lignes de mains, un motif récurrent dans le travail du duo. Rencontre avec Stéphanie Rollin et David Brognon ainsi qu’avec deux représentants de l’association United American Indian Involvement : Hope Craig-Corlew et Joseph Quintana. 

Le bureau Baumans-Deffet assure la transformation permanente et durable de l'environnement construit. Les architectes ont réhabilité l’ancienne Chaufferie de l’Université du Travail de Charleroi pour y accueillir le Centre de compétences du Design (IFAPME). Visite des lieux en compagnie de Bernard Deffet.

 Réalisation : Fabrice Kada

amerindiens

Trump et les Amérindiens : le Président plaisante sur Pocahontas
JT 19h30

1000 Jours dans l’Histoire
LE MARQUIS DE WAVRIN, DU MANOIR À LA JUNGLE

1000 Jours dans l’Histoire
LE COMMERCE DES MATIÈRES PRÉCIEUSES

1000 Jours dans l’Histoire
LES PLANTES MÉDICINALES

1000 Jours dans l’Histoire
L’HISTOIRE VRAIE DE SAMUEL DE CHAMPLAIN

1000 Jours dans l’Histoire
PIERRE MINUIT, L'HOMME QUI ACHETA MANHATTAN

1000 Jours dans l’Histoire
GEORGE CATLIN, PEINTRE DES INDIENS

1000 Jours dans l’Histoire
GERONIMO

Cérémonie amérindienne de "renaissance" à Gatineau, où s'est rendu Justin Trudeau

L'Heure H
La bataille de Little Bighorn

L'Heure H
Massacre de Wounded Knee

Par Ouï-dire
Façons de Voir : Brognon-Rollin au Delta à Namur - La Chaufferie à Charleroi

amerindiens

Trump et les Amérindiens : le Président plaisante sur PocahontasJT 19h30

1000 Jours dans l’HistoireLE MARQUIS DE WAVRIN, DU MANOIR À LA JUNGLE

1000 Jours dans l’HistoireLE COMMERCE DES MATIÈRES PRÉCIEUSES

1000 Jours dans l’HistoireLES PLANTES MÉDICINALES

1000 Jours dans l’HistoireL’HISTOIRE VRAIE DE SAMUEL DE CHAMPLAIN

1000 Jours dans l’HistoirePIERRE MINUIT, L'HOMME QUI ACHETA MANHATTAN

1000 Jours dans l’HistoireGEORGE CATLIN, PEINTRE DES INDIENS

1000 Jours dans l’HistoireGERONIMO

Cérémonie amérindienne de "renaissance" à Gatineau, où s'est rendu Justin Trudeau

L'Heure HLa bataille de Little Bighorn

L'Heure HMassacre de Wounded Knee

Par Ouï-direFaçons de Voir : Brognon-Rollin au Delta à Namur - La Chaufferie à Charleroi

Trump et les Amérindiens : le Président plaisante sur Pocahontas
JT 19h30

1000 Jours dans l’Histoire
LE MARQUIS DE WAVRIN, DU MANOIR À LA JUNGLE

1000 Jours dans l’Histoire
LE COMMERCE DES MATIÈRES PRÉCIEUSES

1000 Jours dans l’Histoire
LES PLANTES MÉDICINALES

1000 Jours dans l’Histoire
L’HISTOIRE VRAIE DE SAMUEL DE CHAMPLAIN

1000 Jours dans l’Histoire
PIERRE MINUIT, L'HOMME QUI ACHETA MANHATTAN

1000 Jours dans l’Histoire
GEORGE CATLIN, PEINTRE DES INDIENS

1000 Jours dans l’Histoire
GERONIMO

L'Heure H
La bataille de Little Bighorn

L'Heure H
Massacre de Wounded Knee

Par Ouï-dire
Façons de Voir : Brognon-Rollin au Delta à Namur - La Chaufferie à Charleroi