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Sophie Rohonyi : "Le stress post-traumatique que les victimes de viol gardent en elles est détectable par IRM"

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| Publié le 31/03/22

Outre la récidive, le taux d’affaires classées sans suite faute de preuve est également consternant. 53%. Pour la députée fédérale, Sophie Rohonyi (Défi), il existe un moyen plus durable de prouver l’acte criminel : « Il faut avoir recours aux preuves psychologiques comme par exemple le stress post-traumatique. Ce stress que la victime garde en elle des années après les faits est détectable par IRM. Il faut que les magistrats puissent y avoir recours davantage », explique-t-elle. « Aujourd’hui, plus de la moitié des plaintes sont classées sans suite faute de preuve car la drogue n’est plus détectable après quelques heures ou parce que la victime souhaite se débarrasser rapidement des traces ADN. »