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Musique

Re-Cycle

Ces vinyles mal pressés qui valent de l’or

3 min

| Publié le 19/11/22

Quand vous commandez un burger de bœuf et que vous recevez un chicken burger. Ou quand vous vous apercevez qu’il manque un bouton à la chemise que vous venez d’acheter, vous n’êtes pas content et vous reportez la marchandise. Hé bien, avec les disques vinyles, ne les reportez pas trop vite s’ils comportent des erreurs… Les 2 ''graals'' absolus pour tous les collectionneurs de punk. Comme certaines éditions du 45 tours des Buzzcocks " What do I get " offrent le " Peaches " des Stranglers quand on écoutera le disque. Et tant qu’on parle des Stranglers, on mentionnera que leur album " The Raven " propose parfois du Kenny Rogers sur sa face B. Au rayon métal, sachez aussi que certains exemplaires américains du premier album de Kiss comportent la face A des deux côtés du disque. C’est-à-dire qu’il n’y a pas de face B. Bilan : ce disque mal pressé vaut près de 200 euros aujourd’hui. Et c’est la même chose pour le " Let there be rock " d’AC/DC ! 500 euros avec le single de Queen " It’s a hard life ". Là, ce n’est pas le disque qui est en faute, mais la pochette qui a été imprimée sans titre. Le " mispressed " le plus cher du monde ! C’est près de 10.000 euros que vaut l’album de Depeche Mode " Music for the Masses " avec un visuel différent que celui qui a été finalement choisi. Même Angèle et Johnny Cash ont été " mispressed ". ---Parce que ne pensons pas que " c’était forcément mieux avant ", mais que nous avons remarqué que " tout était dans tout " voire que " rien ne se crée, rien ne se perd, mais tout se transforme " ! Bref, le vintage et ses réinventions dans tous les domaines de la pop-culture ont la cote pour le moment. Et nous allons vous le démontrer dans Re-Cycle chaque samedi à 8h45 dans Bed and Breakfast avec Frederic Vandecasserie.