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Culture

Le Mug

Philippe Collin pour son roman "Le barman du Ritz" paru chez Albin Michel

59 min

| Publié le 13/05/24

Le programme de l'émission Le Mug de ce lundi 17 mai Présentation : Elodie de Selys et Xavier Vanbuggenhout 09h10 - Le Mug d'ouverture : Philippe Collin pour son roman « Le barman du Ritz » paru chez Albin Michel Juin 1940. Les Allemands entrent dans Paris. Partout, le couvre-feu est de rigueur, sauf au grand hôtel Ritz. Avides de découvrir l'art de vivre à la française, les occupants y côtoient l'élite parisienne, tandis que derrière le bar œuvre Frank Meier, le plus grand barman du monde. S'adapter est une question de survie. Frank Meier se révèle habile diplomate, gagne la sympathie des officiers allemands, achète sa tranquillité, mais aussi celle de Luciano, son apprenti, et de la troublante et énigmatique Blanche Auzello. Pendant quatre ans, les hommes de la Gestapo vont trinquer avec Coco Chanel, la terrible veuve Ritz, ou encore Sacha Guitry. Ces hommes et ces femmes, collabos ou résistants, héros ou profiteurs de guerre, vont s'aimer, se trahir, lutter aussi pour une certaine idée de la civilisation. La plupart d'entre eux ignorent que Meier, émigré autrichien, ancien combattant de 1914, chef d'orchestre de cet étrange ballet cache un lourd secret. Le barman du Ritz est juif. 09h30 - Chronique 1 : « Sur une bande magnétique un peu folle » - Olivier Monssens 09h40 - Le Mug découverte : Focus sur le « Kunstenfestivaldesarts » à découvrir du 10 mai au 1er juin 2024 dans différents lieux à Bruxelles. Avec Daniel Blanga Gubbay, le directeur artistique et l'artiste Anna Rispoli, pour son projet « A life worth living: a workshop on struggle, care and joy ». A life worth living est une école de 4 jours consacrée à la politique du care et des soins, ouverte à toute personne intéressée par le travail et les pratiques du soin, qui fera rencontrer deux groupes existants. Le premier, Territorio Doméstico, est une collective pour la lutte et l'émancipation des femmes, principalement migrantes, et des travailleuses domestiques et du secteur du soin (« trabajadoras de hogar y cuidado »), basée à Madrid. À l'intersection du féminisme et des droits des travailleur·euses, elles luttent contre les violences racistes, économiques et institutionnelles en proposant une forme de « bio-syndicalisme », qui place la vie au cœur de ses actions. Le second, la Ligue des travailleuses domestiques sans papiers de la CSC à Bruxelles, mène une lutte politique pour l'accès au travail légal et à une vie digne. Cette école sera l'occasion - pour ces deux groupes et les participant·es - d'échanger autour d'outils politiques, des méthodologies artistiques, des conseils sur les soins aux travailleur·euses du soin, des danses de résistance, des chants de lutte et de la joie dans l'activisme. Différent·es intervenant·es, dont Silvia Federici, Lea Melandri et Maddalena Fragnito et Liryc Dela Cruz, sont invité·es au programme. À l'issue de chaque journée, un moment d'échange avec elleux est ouvert à un plus large public. Une source d'inspiration pour tous·tes celleux qui s'impliquent dans des luttes sociales. 09h50 - Chronique 2 : « Images de marques » - Jean-Marc Panis

Casting et équipe

Animateur

Elodie DE SELYS