Romano Nervoso : 15 ans de Spaghetti Rock et de Punk Al Dente

une interview pour Classic 21 au micro de Jean-Paul Smismans

En octobre dernier, le groupe de La Louvière célébrait "15 ans de Spaghetti Rock et de Punk Al Dente". Giacomo Panarisi et ses acolytes y ont joué leurs meilleurs morceaux, le tout accompagné de quelques guests "di prima qualita". Notre animateur Jean-Paul Smismans les a rencontrés pour faire le point sur toutes ces années passées, et l’avenir qui les attend. Du Spaghetti Rock made in La Louvière Ayant déjà fait partie de Hulk et du groupe Les Anges, Giacomo, batteur à l’origine, devient chanteur par accident et fonde un groupe autour de sa nouvelle fonction. 15 ans plus tard, il tourne toujours avec sa création, une nouvelle recette de rock, le Spaghetti Rock made in La Louvière. Après tout, les Allemands ont bien eu leur Krautrock. Finalement chacun met le rock à sa sauce locale ! Si le mélange détonant de Romano Nervoso fonctionne, c’est parce qu’il associe au son rock, l’énergie du punk, le look du glam et les influences de ses origines italiennes. Après avoir sorti 5 albums, 3 EPs et une flopée de singles, et après avoir donné environ 500 concerts, Giacomo a des tas de souvenirs précis comme son tout premier show, ou les 2 autres au Sportpaleis en première partie d’un certain Johnny. Il répond en toute décontraction et avec grande sincérité à toutes nos questions, n’évitant pas les allusions à ce qui le caractérise probablement le plus : la franchise et le refus de tout compromis. Grand admirateur de Mike Patton et de ses divers projets (comme Faith No More ou Mr. Bungle), il fonctionne un peu comme lui. Il fait ce qui lui plaît quand ça lui plaît, Ce qui l’amène à avoir lui aussi des side projects comme The Devil’s Barkers, The Italian Job ou Giac Taylor, dont nous vous parlions tout récemment sur Classic 21, et des collaborations en fonction des rencontres et des amitiés. Cette rencontre exclusive est à découvrir dans son intégralité ce mardi 17 décembre dès 22h dans Classic 21 Underground avec Laurent Debeuf.