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Frontière franco-belge : le premier ministre français au péage d'Hordain.

05/06/2017

2 min

| Publié le 12/10/18

Frontière franco-belge : le premier ministre français au péage d'Hordain. Le premier ministre français, Edouard Philippe, et deux de ses ministres (Gérard Collomb et Gérald Darmanin) ont assisté à un contrôle de sécurité transfrontalier, là où avait été contrôlé Abdeslam après les attentats du 13 novembre. Interviews: Itw de Jean-Philippe Bouvier (Préfet délégué pour la défense et la sécurité Région Nord - Pas-de-Calais - Picardie). Itw de Edouard Philippe (Premier ministre français). Vues: Vues de l'hélicoptère transportant le premier ministre français ; vues d'Edouard Philippe et ses deux ministres accueillis par les autorités ; vues d'un chien ayant repéré un véhicule suspect puis fouille minutieuse du véhicule. Texte Journaliste: Chapeau du présentateur : Non loin de la frontière belgo-française, près de Quiévrain, une opération a eu lieu dans le cadre de la lutte contre le terrorisme mais aussi la criminalité organisée. Le Premier Ministre français était présent lors de cette action. Reportage sur place d'Himad Messoudi. Texte du journaliste : Pas le dernier carat, je suis encore un peu long et je parle trop. Mais les sst sont bons et l'ordre ne changera pas C¿est par hélicoptère et sous haute sécurité que le Premier ministre français Edouard Philippe s¿est déplacé à quelques kilomètres de la frontière belge. Nous sommes à la gare de péage d¿Hordain, un péage de sinistre mémoire : c¿est ici que Salah Abdeslam a été contrôle, sans être arrêté, après les attentats du 13 novembre. 18 mois plus tard, gendarmes, douaniers, policiers, militaires, ces 4 services se relaient quotidiennement pour contrôler les 350 kilomètres de frontière franco-belge. Jean-Philippe Bouvier Préfet délégué pour la défense et la sécurité - Région Nord - Pas-de-Calais - Picardie C¿est plus de 18. 000 véhicules, chaque jour, qui traversent ce péage. Les contrôles sont renforcés, avec pour objectif, la traite d¿être humains ou la drogue. Ce véhicule, par exemple, a été formellement marqué par un chien. Mais c¿est bien évidemment le terrorisme qui est la cible numéro 1 des contrôles. Est-ce à dire que ces contrôles sont le signe d¿un manque de confiance de la France envers la Belgique ? Le Premier ministre français se veut rassurant. Edouard Philippe Premier ministre français Un policier belge, expert en réseau terroriste doit, incemment, intégrer les services de sécurité du Nord de la France, pour assurer une meilleure coordination avec nos services. Les relations entre la France et la Belgique, sont bien meilleurs qu¿après les attentats du 13 novembre. H. Messoudi - S. Hermand - Th. Chuffart Eléments de chapeau Commentaires