Bruxelles, mai 2018. Mark Zuckerberg fait face aux parlementaires européens qui fustigent le rôle de Facebook dans le référendum perdu sur le Brexit. Sûr de sa puissance et de son impunité, Mark Zuckerberg leur lance d'un air faussement contrit : "I'm sorry". Et il quitte la salle précipitamment, sans répondre aux questions embarrassantes. Furieux, les eurodéputés jurent de mettre fin au Far West du numérique. Pour la première fois, des projets législatifs vont empêcher les patrons de la Silicon Valley de dormir sur leurs deux oreilles... Une immersion inédite dans les coulisses d'une négociation historique riche en rebondissements. Réalisation : Yann-Antony Noguès - Production : Check Production / RTBF

Enlevées et violées par des djihadistes en 2014, des femmes yazidies se sont retrouvées enceintes et mères malgré elles. De retour au Kurdistan auprès des leurs, celles qui voulaient élever leur enfant ont enduré le rejet de ce dernier par la communauté yazidie qui refuse d'élever des "enfants de Daesch". Elles n'ont eu d'autre choix que de les abandonner à des adoptions illégales, subissant dès lors une double peine. L'omerta autour de ce sujet est courante dans la population yazidie. Certaines de ces femmes ont choisi la maternité à la communauté et ne sont jamais revenues dans leur famille. Ce n'est pas le cas d'Ana qui se bat pour retrouver son enfant volé il y a des années. Après 8 années d'enquête sur le terrain, le documentaire de Pascale Bourgaux met en lumière la condition difficile de ces "mères-survivantes". Ce documentaire coproduit par la RTBF a obtenu le "Prix pour les Femmes dans les Médias" au Festival FIPADOC 2024. 
Réalisateur : Pascale Bourgaux - Production : Iota Production / Louise Productions Lausanne / RTBF.

La quête des mères Yazidies pour retrouver leurs enfants

Irak, les enfants bannis

Jamais depuis la Seconde Guerre mondiale un tel afflux d’équipement militaire n’avait circulé en Europe. Des drones, des tanks, des lance missiles, des avions, des fusils semi automatiques, des grenades, des munitions. Régulièrement, une nouvelle livraison d’armes est annoncée par les pays qui soutiennent l’Ukraine face à l’agression russe. Les États-Unis ont déjà dépensé 45 milliards de dollars en aide militaire, l’Union Européenne 17 milliards d’euros.  

Comment se déroulent ces livraisons, de la production dans les usines en Europe jusqu’à leur réception en Ukraine ? Dans l’ombre, des intermédiaires peu scrupuleux profitent aussi de cette situation historique. Loin des canaux officiels, ils fournissent en armes les forces armées ukrainienne en les vendant à prix cher. Qui sont ce profiteurs de guerre ?  Le spectre du trafic d’armes en Ukraine est aussi devenu la pierre angulaire de la propagande russe, qui cherche à effrayer les pays qui soutiennent le gouvernent de Zelensky. Le pouvoir ukrainien l’a d’ailleurs bien compris et tente par tous les moyens de contrôler cet afflux inédit d’armes sur son territoire. Quels sont les risques réels ? 

La guerre en Ukraine a accéléré la tendance observée depuis une décennie : l’Europe se réarme, de la Scandinavie à la pacifique Allemagne, en passant par la France qui a décidé d’augmenter son budget défense de 30 % pour les sept années qui viennent. Quelles seront les conséquences dans les années à venir ? Avec des accès exclusifs et des interviews inédites, notamment de Victor Bout, le trafiquant d’armes russe le plus connu au monde qui a inspiré le film "Lord of War", le documentaire « L’Ukraine, le coût des armes » fait le point.

Un réarmement massif en Europe et aux Etats-Unis

Les maîtres du monde, l'Europe face aux géants du numérique
Mark Zuckerberg fait face aux parlementaires européens

Casting et équipe

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Journaliste

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