Concours Reine Elisabeth - Entretien avec le chef d'orchestre Alain Altinoglu. Orchestre Symphonique de la Monnaie (1)L'info culturelle
L'info culturelle
2 min
| Publié le 31/05/23
Concours Reine Elisabeth : Regard en coulisse - Le marathon mené par l’Orchestre Symphonique de la Monnaie Dernière ligne droite pour les candidats. Les douze finalistes du concours ont le regard rivé sur leur prochaine épreuve. Une ultime prestation les attend. Au cours de la finale, ils seront accompagnés par Alain Altinoglu et par l’Orchestre Symphonique de la Monnaie. La Finale du Concours Reine Elisabeth, ces jeudi 1er vendredi 2 et samedi 3 juin dès 20h15 au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles. Diffusion en direct sur Musiq3, la Trois et Auvio. Accompagné par l’Orchestre Symphonique de la Monnaie, chaque candidat va devoir traverser une ultime soirée d’épreuve au cours de laquelle il interprétera, devant public et jurés, trois à six pièces au choix desquels on retrouve au moins un air d’opéra et deux langues différentes. L’exercice est complexe. Le temps file imperturbable. Chaque finaliste a désormais un œil rivé sur la petite aiguille de la trotteuse et l’autre sur la partition. Coup d’œil en coulisse Au moment d’écrire ces lignes, moins de six jours se sont écoulés depuis la proclamation des douze finalistes. Désormais, chaque candidat a pu s’entretenir avec le chef d’orchestre Alain Altinoglu pour déterminer ensemble, autour d’un piano, le tempo souhaité et les grandes lignes de l’interprétation. Les douze finalistes du Concours Reine Elisabeth ont également eu une session de répétition avec l’orchestre au grand complet (pendant quarante minutes) avant la générale prévue ce jeudi 1er juin et l’épreuve de la finale qui s’ouvrira le soir même. Au fil de ces différentes étapes de travail, l’Orchestre Symphonique de la Monnaie a la lourde tâche d’accompagner et de soutenir les candidats jusqu’aux termes de leur prestation. Le chef d’orchestre Alain Altinoglu est à la tête de l’Orchestre Symphonique de la Monnaie. Il définit pour nous le rôle d’un orchestre accompagnateur. Alain Altinoglu au micro de François Caudron (c) Vincent Callot