Name: Quel est le bilan de ChatGPT après 2 ans d'existence ?
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Son "père", Sam Altman, le patron D’OpenAI, la maison mère de ChatGPT, nous a fait découvrir son bébé il y a deux ans, le 30 novembre 2022. Une semaine après, nous étions déjà 1 million de personnes à tester sa puissance. Aujourd’hui nous sommes 250 millions d’utilisateurs de par le monde.

Ce qui est complètement dingue c’est que, pour le grand public, la plupart du temps, l’intelligence artificielle égale ChatGPT. Or les ingénieurs d’OpenAI sont loin d’être les premiers, ni les seuls, à avoir planché depuis des années sur l’intelligence artificielle. On recense aujourd’hui 110 concurrents à ChatGPT. Mais voilà, dans le business, il y a souvent une prime au premier, au pionnier. Et le résultat est déjà palpable au niveau financier. Au départ, OpenAI était valorisée à 29 milliards de dollars, ce qui est quand même énorme. Deux ans plus tard, la valorisation est montée à 160 milliards. C’est ce qu’on appelle une explosion de la valorisation.
--- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

Le capitalisme a démontré la semaine dernière qu’il pouvait être ingénieux, excessif, mais que ce même capitalisme peut aussi sécréter ses propres anticorps contre ses propres excès, démonstration avec des exemples liés à l’actualité. Elon Musk, comme vous le savez, avait racheté Twitter pour 44 milliards de dollars. Il avait appliqué la méthode forte à ce réseau social en virant environ 80% du personnel en deux ans. Le résultat, c’est que les banques américaines qui lui ont prêté une partie de l’argent pour le rachat ont perdu beaucoup d’argent. La preuve ? La valorisation de X, le nouveau nom de Twitter, a sombré de 65% en deux ans. Alors en temps normal, les banquiers auraient poussé à la porte le patron d’une entreprise qui leur aurait fait perdre 65% de leur mise, mais comment peut-on virer Elon Musk ? On vient d’apprendre que pour compenser leurs pertes, Elon Musk leur a offert 25% de sa nouvelle société X et Y, une société spécialisée dans l’intelligence artificielle et qui doit donc concurrencer Openai, la maison mère de Chatgpt. Ça, c’est pour l’ingéniosité du capitalisme. Parlons des anticorps contre ses excès du capitalisme. Alors l’excès, c’est par exemple la rémunération de Carlos Tavares, patron emblématique de l’industrie automobile Stellantis, le groupe automobile de quatorze marques dont Peugeot, Opel, Fiat, Jeep et Chrysler, pour ses excellents résultats. Mais Carlos Tavares a été viré ce dimanche avec les honneurs, certes, mais viré. Car le conseil d’administration a aussi compris que les résultats obtenus par ce patron l’ont aussi été en se focalisant sur le court terme au détriment du long terme… Mots-Clés : difficile, exclus, business, lucratif, Tesla, secteur spatial, langue, peur, proche, allié, Trump, président, États-Unis, réalité, prêt, argent à perte, raison, nouvelle, valorisé, milliards, dollars, compensation, million, euros, rémunération, exploits, franco portugais, redressé, groupe, PSA, Peugeot Citroën, faillite, travail de titan, fusion, cerise sur le gâteau, marge, inhabituelle, secteur, actionnaire, goinfrer, dividendes plantureux, force, jouer, cost-killers, oubli, investir, pression, cadres dirigeants, problèmes sur le terrain, Pire, fonction, poigne de fer, preuve, doublé, effacé, cours, capitalisme, familial, danger, arrêter les frais, péché, arrogance, trait de caractère, pardonnable, case licenciement, officiel. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

Le capitalisme face à ses excès...

Chronique Economique

Le danger guette la deuxième économie de la zone euro. En France, c’est un sentiment d’humiliation qui prévaut en ce moment dans les milieux dirigeants. Et pour cause, ce mercredi, la France a vu son taux d’emprunts, son taux d’intérêt à dix ans, dépasser pour la première fois celui de la Grèce. Même si ça n’a duré que quelques minutes, les marchés financiers mettent quasiment sur le même pied la deuxième économie de la zone euro et un pays comme la Grèce, qui sort pourtant d’une faillite retentissante et qui a été mis, souvenez-vous, sous tutelle du Fonds monétaire international. Et l’humiliation ne s’arrête pas là. Car l’écart de taux entre la France et le meilleur élève de la zone euro, c’est-à-dire l’Allemagne, est au plus haut depuis 2012. Et donc, les investisseurs internationaux se méfient désormais de la France et le montrent clairement en demandant à la France un taux d’intérêt non seulement plus élevé que l’Allemagne, mais également que la Grèce. Alors si ça, ce n’est pas une humiliation publique, je ne sais pas ce que c’est. Et la cause de cette dégradation de la signature de la France, elle est politique… Mots-Clés : Premier ministre, Michel Barnier, majorité, budget, logique, passer en force, procédure, article 49.3, vote, députés, goût, gauche plurielle, parti, extrême droite, Marine Le Pen, vote, mention, motion de censure, danger, chaos, crise financière, discours, attention, investisseurs internationaux, dette publique française, paniquer, taux d’intérêt, élevé, dette publique, virage, scénario, grecque, opposition, rassurer, Françaises, propos, exagérés, pays, riche, épargne privée, important, pire, sauver sa tête, réalité, déclassé, voix, international, amoindrie, stress financier, difficulté, ménages, emprunter, loger, taux, crédits immobiliers, emprunt, augmenter, final, gauche, droite, extrême droite, protéger, citoyen, drame, éviter, payer, bagatelle, milliards, euros, rembourser, intérêts, dette publique, enseignement, justice, défense, imbécile, situation difficile, catastrophique, promenade de santé. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

Chronique EconomiqueChatGPT fête ses deux années d'existence

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ChatGPT fête ses deux années d'existence