Name: Chronique Economique
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Les dirigeants européens sont en Chine pour dire au président Chinois qu’ils en ont marre d’être inondés de produits chinois alors qu’une bonne partie des exportations européennes n’arrivent pas à entrer sur le marché chinois . Un Coup de gueule qui selon moi est un coup d’épée dans l’eau. Mots-Clés : Charles Michel,Ursula von der Leyen, rééquilibrer, relations commerciales, Pékin, sommet, commerce, subventions, divergences, guerre, Ukraine, Xi Jinping, véhicules électriques, Russie, Union européenne, Commission, rivaux, systèmes, coopération, concurrence, confrontation, désaccords, Italie, Banque mondiale. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

Aux Etats-Unis, le dernier sondage réalisé par la société de services financiers Empower démontre que, pour les Américains, l'argent fait vraiment le bonheur. A la question « Que devriez-vous gagner pour être heureux ? » les sondés répondent qu'ils devraient gagner 284 000 $ par an pour être heureux, soit à peu près quatre fois plus que ce que l'américain moyen gagne aujourd'hui. Le sondage de la société NPR va encore plus loin. Ils demandent quel est le niveau de richesse souhaité. Et là, la moyenne, c'est 1,2 million de dollars, autrement dit quatre fois le revenu annuel. 

A première vue, ce côté « indécent » par rapport à l'argent peut aussi s'expliquer. Les Américains ont besoin d'argent, beaucoup d'argent, car ils gèrent eux-mêmes les risques liés à leur santé, leur pension ou aux études de leurs enfants. Bref, ils pensent et respirent argent car ils sont seuls, ou presque, à face aux aléas de la vie. 

Chez nous, en Europe, la plupart des services publics sont gratuits et le Belge, ou le français, moyen ne doit pas gérer seul sa pension, ses assurances sociales, sa santé ou encore l'école de ses enfants. C'est normal : l'Etat prélève sous forme de taxes, d'impôts et de cotisations ce qu'il faut pour faire tourner l'Etat dit social. En clair, 50 % de la vie quotidienne d'un Européen échappe à sa responsabilité individuelle et se trouve socialisé, comme on dit. En revanche, l'Européen stresse car il sait que les services publics sont gratuits, ils coûtent aussi, hélas, de plus en plus d'impôts. Et c'est la raison pour laquelle le Belge, ou le français, épargne de plus en plus. Il sait que les services de l'Etat sont défaillants et qu'il devra sans doute compenser le surplus. Mais au-delà de ces considérations, ce qui frappe dans ce dernier sondage consacré aux Américains et à leur rapport à l'argent, c'est qu'il montre une forme de décomplexe par rapport à l'égard de l'argent. 
 --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

L'argent fait le bonheur

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Grâce à l espoir de voir les taux d intérêt baisser plus vite que prévu, les indices boursiers sont tous passés au vert vif. Mais quelles sont les conséquences de ce rallye boursier de fin d année ? Le mois de novembre, qui vient de s’achever, a été excellentissime pour la plupart des indices. Il faut remonter au mois de novembre 2020 en plein COVID, mois durant lequel nos scientifiques ont découvert le vaccin contre ce virus pour retrouver des indices boursiers aussi verts. Et tout ça grâce à quoi ? Essentiellement à un espoir, et comme vous le savez, l’espoir, c’est du bonheur qui attend. Et ce bonheur, c’est la baisse des taux. Depuis deux ans maintenant, les taux d’intérêt n’ont fait que grimper. Alors c’est mauvais pour les actions Et certains secteurs qui vivent de l’endettement, comme le secteur immobilier, souffrent le martyre de cette hausse des taux, jugée trop haute, trop rapide et trop brutale. Mais voilà, la plupart des acteurs de la finance sont aujourd’hui persuadés que la hausse des taux d’intérêt arrive enfin à sa fin et tout le monde va enfin pouvoir respirer. En tout cas, en 2024, les ménages qui veulent emprunter pour acheter une maison ou un appartement, les entrepreneurs qui pourront se financer à un taux plus raisonnable et les États surendettés qui n’aiment pas les taux trop élevés pour ne pas se retrouver asphyxié avec des remboursements démesurés… Mots-Clés : sondage, Financial Times, économistes, Banque centrale, américaine, monde, cours, rallye boursier, fin d’année, affaire, clients, rendements, positifs, concurrence, bonus, banquiers, accident, grimpe, actions, l’or, cryptomonnaies, valeurs soldées, penny stock, mode, faillite, conseils, influenceurs, boursiers, leurres, John Rockefeller, célèbre, milliardaire, histoire, crise, 1929, New-York, évolution. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.

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Coup de gueule de l’Europe contre l’avalanche des exportations chinoises

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