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Vivacité

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Talk show

C'est vous qui le dites

90 min

| Publié le 12/01/23

Ce matin, il y a 3 débats dans "C'est vous qui le dites" : La ministre de l'Éducation envoie aujourd'hui un guide pour retravailler les règlements d'ordre intérieur avec, entre autres, un point sur les tenues à l'école. Caroline Désir fait parvenir aujourd'hui une note de 37 pages pour que les écoles puissent mettre à jour leurs règlements sans que ce soit contraignant, il s'agit uniquement de conseils comme on peut le lire dans les journaux de Sudinfo ce matin. Parmi les conseils, un point sur les tenues vestimentaires, pour elle, il n'est plus question de parler de tenue propre, simple et correcte, encore moins de définir une longueur de jupe, elle propose de privilégier d'interdire les vêtements avec une inscription injurieuse. Finalement, c'est quoi une bonne tenue pour aller à l'école ?/ Plusieurs partis demandent l'intervention de l'armée dans le port d'Anvers, un spécialiste répond que l'armée en rue n'a jamais fait autre chose que d'assumer le rôle d'un pot de fleurs. Après les derniers événements survenus dans le milieu de la drogue à Anvers, le bourgmestre de la ville, soutenu par plusieurs partis dont le MR, a fait la demande du déploiement de l'armée dans le port. La ministre de l'Intérieur a répondu que les militaires n'étaient pas formés pour ce rôle et ce matin dans la Dh, un spécialiste de la Défense explique que l'armée n'a aucune expérience dans ce domaine et que lorsque les militaires étaient en rue après les attentats, ils n'ont jamais fait autre chose que d'assumer le rôle d'un pot de fleurs. C'est comme ça que vous voyez les militaires en rue, des pots de fleurs ?/ Un home qui a fait fabriquer du Maitrank par ses pensionnaires s'est fait verbaliser par les douanes. L'Avenir raconte ce matin la scène qui s'est déroulée dans une maison de repos de Virton, en province de Luxembourg. Il y a quelques mois, le journal évoque une activité du home qui consiste à fabriquer un Maitrank maison allant de la cueillette à la mise en bouteille. Elles sont ensuite mises en vente au prix de 7.50 euros pour les résidents et les familles. C'est là que les douanes et accises interviennent pour constater la vente illégale d'alcool et verbaliser la maison de repos sur base de la loi qui interdit toute vente d'alcool sans en avoir l'autorisation et sans payer les accises. Sur une telle activité, il faut fermer les yeux ?/