Name: Sébastien, responsable des Storm Ultras à Charleroi
Duration: 335

Pas de vainqueur entre Charleroi et Molenbeek pour cette première journée des playdowns. A la fin du match, des supporters ont menacé les joueurs en leurs lançant : " Si vous descendez, on vous descend". Sébastien, un des responsables des Ultras, s'explique.

Ce matin, il y a 3 débats dans "C'est vous qui le dites" :   


La sortie du patron d'une mutuelle en Flandre a fait grand bruit. Il demande dans le journal Gazet van Antwerpen d'élargir les conditions qui permettent d'accéder à l'euthanasie pour qu'une personne âgée qui ne souhaite pas vivre plus longtemps puisse en faire la demande. Il dit ceci : « De nombreuses personnes âgées sont fatiguées de la vie. Pourquoi voudriez-vous nécessairement prolonger leur vie ? Ces personnes ne le souhaitent pas elles-mêmes et, sur le plan budgétaire, cela ne fait que coûter de l'argent à l'État ». L'euthanasie devrait être plus accessible ?/
Au moment où la France parle d'une taxe lapin qui imposerait le paiement d'un forfait en cas de non-présentation à un rendez-vous médical, des médecins passent un coup de gueule dans La DH à propos de cette situation chez nous. Certains fixent un tarif si le patient ne vient pas au rendez-vous, selon le spécialiste, jusqu'à 100€ mais tous ne le font pas. Un médecin explique dans le journal que les patients cherchent un rendez-vous plus tôt ailleurs et ne prennent pas le temps d'annuler. On doit en arriver à une pénalité automatique ?/
L'augmentation du prix des funérailles a été importante ces dernières années au point que les cagnottes pour payer la facture sont elles aussi en hausse. Après les projets solidaires, c'est la deuxième raison plus importante pour la mise en place d'une cagnotte en ligne selon un site spécialisé. Sudinfo explique ce matin qu'il y a aussi toutes les cagnottes plus confidentielles pour arriver à financer des funérailles. Selon un spécialiste du secteur, il faut aujourd'hui compter entre 5000 et 7000€. Mourir est devenu impayable ?/

C'est vous qui le dites

Ce matin, il y a 3 débats dans "C'est vous qui le dites" :   


Afin de cacher sa grossesse au moment de signer son contrat, une enseignante explique dans La DH qu'elle a calculé le moment de tomber enceinte pour être certaine d'avoir le poste qu'elle a perdu par la suite parce qu'officiellement, elle ne s'intégrait pas au groupe. Elle est persuadée que c'est sa grossesse qui l'a empêchée de poursuivre son travail dans cette école. Dans son cas, elle n'a pas pu être nommée car elle ne cumulait pas assez de jours de cours. Elle va jusqu'à dire qu'une part d'elle regrette cette grossesse. Être enceinte, c'est un frein au boulot ?/
Samedi, les Zèbres jouaient leur premier match en play-downs pour assurer leur maintien en première division. Leur prestation face au RWDM qui s'est achevée sur un 0-0, n'a pas satisfait les supporters qui pour une partie se sont mis à menacer les joueurs. Une tribune entière s'est mise à crier à la fin du match : « Si vous descendez, on vous descend ». Sur X (ex Twitter), ces propos ont été interprétés comme un appel au meurtre. C'est audible dans un stade ?/
Même si légalement l'alcool n'est pas formellement interdit sur le lieu de travail sauf pour certaines fonctions, les entreprises ont l'obligation de mettre en place une politique claire à ce sujet et doivent la faire signer aux travailleurs. Sauf que dans plusieurs parlements du pays, il est possible de consommer à différents moments de la journée, parfois totalement gratuitement comme l'expliquait La DH dans son édition de samedi. Ce serait pour pouvoir discuter de certains projets autour d'un verre. En politique, l'alcool au boulot se justifie ?/

Sébastien, un des responsables des Ultras, s'explique sur le chant polémique face au RWDM
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