En bottes argentées et combinaison spatiale, elle a fait fantasmer une génération entière avide de liberté ! Mais ce serait dommage de la résumer à ça. Dans C’est Génial, on part explorer la face cachée de l’univers pop en compagnie de Barbarella! Pour nous aider dans cette quête, il y aura l’autrice Véronique Bergen et le chroniqueur de BD Matthieu Van Overstraeten. Un dossier préparé par Cindya Izzarelli et une interview menée par Nicolas Buytaers.

Focus sur "Piège de Cristal" Le film sorti en juillet 1988 est un carton avec 140 millions de dollars de recette dans le monde pour un budget de 25 millions de dollars de budget. 5 semaines de tournage ! Pas encore d’effets numériques à l’époque. Scène de l’explosion dans l’ascenseur : maquette de 8 mètres de haut et explosion à base de naphtaline qui provoque une grande flamme sans détruire la maquette. Explosions à l’extérieur de la tour : images de la vraie tour superposées sur une maquette énorme qui explose. Critique élogieuse et quatre nominations aux Oscars 89 : meilleur son, meilleurs effets sonores, meilleur montage et meilleurs effets spéciaux visuels – battu par « Bird » de Clint Eastwood et « Qui veut la peau de Roger Rabbit ? ». On fait le point avec Claude Monnier, auteur du livre « Le cinéma de John McTiernan » et Christophe Corthouts, écrivain belge, fan de « Die Hard ». Un dossier préparé par Gorian Delpature

Piège de Cristal

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Focus sur « The Number of The Beast » 3ème album du groupe anglais Iron Maiden... On parle alors de « New Wave of British Heavy Metal ». Composition du groupe sur « The Number of The Beast » : Bruce Dickinson (chant), Steve Harris (basse), Dave Murray (guitare), Adrian Smith (guitare), Clive Burr (batterie). Les thématiques abordées par le groupe s’ancrent dans la littérature et le cinéma fantastiques : on y croise des enfants aux pouvoirs maléfiques, un condamné à mort qui va se faire pendre, des envahisseurs Vikings, des cérémonies de sorciers dans les bois. Tout le monde n’a pas aimé l’album à sa sortie. Aux USA notamment, des chrétiens fondamentalistes ont brûlé ou fracassé des exemplaires du disque parce qu’ils pensaient que le groupe était sataniste ! « Le chiffre de la bête » : 666, le chiffre du Diable… Avec un zombie qui manipule un diable comme une marionnette sur la pochette du disque… Des manifestations ont eu lieu devant certaines salles de concert aux USA avec distribution de tracts contre ces méchants satanistes et même à une occasion la présentation d’une croix de 8 mètres de haut ! Le groupe a toujours démenti être sataniste, évidemment.

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