Durant la Guerre froide, des villes comme Berlin, Vienne… et Bruxelles ont été les épicentres de la guerre secrète que se livraient les services de l’Est et de l’Ouest. Mais c’est probablement la STASI est-allemande qui fut la plus active et la plus performante, réussissant à infiltrer des agents jusque dans les bureaux de l’OTAN ou ceux du Chancelier de la République fédérale d’Allemagne.

Nous sommes à l’automne 1950, dans un petit palais situé au sud de la Géorgie, près de la ville de Borjomi. Pas très loin de la Turquie. C’est dans ce palais de Likani, qui, autrefois, a appartenu  à un grand-duc, que Joseph Staline, le petit père des peuples, a séjourné. Il lui reste moins de trois ans à vivre. Il mourra le cinq mars 1953, à Moscou. C’est dans ce palais que nous allons passer un peu de temps en compagnie de l’écrivain Jean-Baptiste Baltassat qui l’a visité.

LE DIVAN DE STALINE

1000 Jours dans l’Histoire

De 1949 à la chute du mur en 1989, la RDA, petite sœur modèle du grand frère soviétique, a eu pour ambition de fabriquer un " homme nouveau ", le citoyen idéal dans le meilleur des mondes socialistes. Elle a ainsi mis en place un programme d’enlèvement d’enfants à leurs familles. Pour l’exécuter, le régime s’est appuyé sur la plus efficace et la plus redoutable police politique du bloc de l’est : la Stasi et sur les services sociaux à l’enfance.

1000 Jours dans l’Histoire
BERLIN (ET BRUXELLES), NID D’ESPIONS

Tag(s)

1000 Jours dans l’HistoireBERLIN (ET BRUXELLES), NID D’ESPIONS

Tag(s)

1000 Jours dans l’Histoire
BERLIN (ET BRUXELLES), NID D’ESPIONS